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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Citations, locutions et expressions latines utilisées dans la langue française : traduction, explications, commentaires

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Citations / locutions latines
Citations et locutions latines utilisées en français, traduites, commentées, expliquées ; phrases françaises d’auteurs célèbres utilisant l’expression.
Citations / locutions latines
 
La voix du peuple est la voix de Dieu
Publié le vendredi 22 juillet 2016, par Redaction
 
 
À plus forte raison
 
Du côté, d’auprès
 
Appel d’une peine top petite
 
À part
 
D’après les conséquences
 
De ce qui précède, tout d’abord, sans voir les conséquences
 
De ce qui précède, d’après les conséquences
 
À parce que
 
Par, d’après l’absurde
 
A tort et à travers, littéralement : de ci, de là
 
Du fond du coeur
 
Sans avoir fait de testament
 
Par un mouvement de colère
 
Commençons par Jupiter... (Virgile, Églogue III, v. 60)
 
À partir de l’œuf
 
Et qu’un seul vous apprenne à les connaître tous (Virgile, Énéide, liv. II, v. 65)
 
L’abus n’empêche pas l’usage
 
L’abîme appelle l’abîme
 
La pièce est jouée
 
Pour cela
 
Contre la personne
 
Pour l’honneur, gratuitement
 
Au choix, à la volonté
 
Pour la plus grande gloire de Dieu
 
Retourner vers ses pères
 
A la mémoire éternelle du fait
 
À la chose
 
Avec le plus grand soin (Horace, livre I, satire V, vers 32)
 
A l’usage du Dauphin
 
Selon la valeur
 
Le procès est encore devant le juge
 
Souvenez-vous de conserver une âme toujours égale
 
La mort frappe d’un pied indifférent...
 
Plus durable que l’airain
 
Triple airain
 
Adieu pour l’éternité !
 
Fais ce que tu fais
 
Je reconnais la trace de mes premiers feux (Virgile, Énéide, liv. IV, v. 23)
 
Marquer un jour avec la pierre blanche, regarder un jour comme heureux
 
Le dé est jeté, le sort en est jeté
 
Mère nourricière
 
Ces deux mots, qui sont empruntés à l’alphabet grec, signifient au figuré : le commencement et la fin (alpha étant la première lettre de l’alphabet grec et oméga la dernière). Saint Jean dit, dans son (...)
 
Un autre moi-même
 
Les Muses aiment le chant de deux voix qui s’alternent (VIRGILE, égl. III, v. 59)
 
Il retranchera les ornements ambitieux
 
Ami du genre humain
 
J’aime Platon, mais j’aime mieux la vérité
 
Et moi aussi, je suis peintre !
 
Le serpent sous l’herbe
 
Mon âme frémit d’horreur au souvenir (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 12)
 
Annibal est à nos portes
 
On vous ouvrira
 
Arcadiens tous deux
 
Argument qui s’adresse à la bourse
 
Argument du bâton
 
L’art est long, la vie courte
 
L’âne frotte l’âne
 
Un âne sur les toits
 
La fortune favorise les audacieux (VIRGILE, Énéide, livre X, v. 284)
 
Les enfants audacieux de Japhet
 
Écoutez l’autre partie
 
Le vent de la faveur populaire
 
Précieuse médiocrité
 
Exécrable soif de l’or (VIRGILE, Énéide, liv. III, v. 57)
 
Bienheureux les pauvres d’esprit
 
Bienheureux ceux qui, loin des affaires... (Horace, Épodes, ode II, v. 1)
 
La guerre détestée des mères
 
Qui donne vite, donne deux fois
 
Les choses répétées, redemandées, plaisent (Horace, Art poét., v. 365)
 
Le voyageur qui n’a rien passera en chantant devant les voleurs
 
Tête morte
 
Dans le dur cachot
 
Mets à profit le jour présent sans croire au lendemain (HORACE, liv. I, ode XI, v. 8)
 
Tes arrière-neveux cueilleront ces fruits (VIRGILE, égl. IX, v. 50)
 
La comédie châtie les mœurs en riant
 
Cas de guerre
 
Prends garde de tomber
 
Que les consuls prennent garde
 
Que les armes le cèdent à la toge
 
Il se trompe toujours à la même corde (HORACE, Art poétique, v. 356)
 
Fermez les ruisseaux, esclaves, les prés ont assez bu
 
Courir au-delà des mers, c’est changer de climat, mais non changer de cœur (HORACE, liv. I, épit. XI, v. 27)
 
Je pense, donc j’existe
 
Forcez-les d’entrer
 
J’accorde
 
Le sommeil frère de la Mort (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 278)
 
Par le conseil et l’exécution
 
Tout est consommé
 
Les contraintes se guérissent par les contraires
 
Un seul cœur, une seule âme (Actes des Apôtres, chap. IV, verset 32)
 
En public
 
Corps du délit
 
La corruption de ce qu’il y a de meilleur est la pire
 
Je crois
 
Je le crois parce que c’est absurde
 
Croît insensiblement avec le temps comme un arbre (HORACE, liv. I, ode XI, vers 45)
 
Moyen de juger
 
Dans quel intérêt ?
 
À chacun le sien
 
Qui fait tout trembler en fronçant le sourcil (HORACE, liv. III, ode I, v. 8)
 
Au courant de la plume
 
Retour en arrière
 
La censure pardonne aux corbeaux et poursuit les colombes
 
Je suis Davus, et non Oedipe
 
De l’avantage et du désavantage
 
Des goûts et des couleurs il ne faut pas disputer
 
De toutes les choses qu’on peut savoir, et de quelques autres
 
Du fond de l’abîme j’ai crié
 
Du fumier d’Ennius
 
C’est toi qui es représenté dans ce récit
 
De vu, pour l’avoir vu
 
Renverser les superbes (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 852)
 
Un empereur doit mourir debout
 
Nous sommes trompés par l’apparence du bien
 
Il faut détruire Carthage
 
Les fautes de ma jeunesse
 
D’une dent dédaigneuse
 
En montrant des dents blanches
 
Au Dieu inconnu
 
Ce qui manque, chose dont on regrette l’absence
 
Finit en queue de poisson
 
Oublier la sagesse à propos
 
Dieu me l’a donné, Dieu me l’a ôté, que le nom du Seigneur soit béni !
 
Intervention d’un Dieu descendu de la scène au moyen d’une machine
 
Le Dieu, voici le Dieu ! (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 46)
 
O dieux ! — donnez — une meilleure destinée aux hommes pieux (VIRGILE, Géorgiques, liv. III, v. 513)
 
J’ai perdu ma journée
 
Des niaiseries sérieuses
 
Il est digne d’entrer
 
Commencer c’est avoir à moitié fin
 
Les dieux en ont ordonné autrement
 
Apprenez à connaître la justice et à ne pas mépriser les dieux (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 620)
 
Les membres dispersés du poète
 
Je distingue
 
Diviser pour régner
 
J’ai dit
 
Ruse ou courage, qu’importe contre l’ennemi ? (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 390)
 
Tant que vous serez heureux, vous aurez beaucoup d’amis
 
Il est doux, il est beau de mourir pour la patrie (HORACE, ode II, liv. III, vers 13)
 
En mourant, il revoit en souvenir sa chère Argos (VIRGILE, Énéide, liv. X, v. 782)
 
Nous abandonnons nos chères campagnes (VIRGILE, Égl. I, vers. 3)
 
Pour fuir un défaut, les maladroits tombent dans le défaut contraire (HORACE, liv. I, sat. II, vers 24)
 
Loi dure, mais c’est la loi
 
Et pourtant elle se meut !
 
C’est toujours bien
 
Voilà l’homme !
 
Edition première
 
Je suis celui qui est
 
Hélas ! Les années s’enfuient rapidement ! (HORACE, liv. II, ode XI)
 
De la même farine, de la même pâte
 
Par l’épée et par la charrue
 
Pourceau du troupeau d’Épicure
 
Donc
 
Il arracha au ciel sa foudre, aux tyrans leur sceptre
 
Vous serez comme des dieux (Genèse, chap. III)
 
Il est de la nature de l’homme de se tromper
 
En tout il y a des bornes (HORACE, liv. I, sat. I, vers 160)
 
Et les champs où fut Troie (VIRGILE, Énéide, liv. III, vers 2
 
Et moi aussi j’ai vécu en Arcadie !
 
Et maintenant soyez instruits
 
Et comme les coureurs, ils se passent le flambeau de la vie (LUCRÈCE, liv. II, vers 79)
 
Les ruines mêmes ont péri (LUCAIN, La Pharsale, liv. IX, v. 969
 
Quand même tous, moi non
 
J’ai trouvé
 
Brusquement, sans préparation
 
A titre, à mérite éga
 
Du haut de la chaire
 
Rien ne vient de rien
 
De la bouche des enfants sort la vérité
 
En homme qui connaît parfaitement la matière
 
On reconnaît le lion à la griffe
 
Par suite d’un vœu
 
Excepté ce qui doit être excepté
 
Périsse la mémoire de ce jour !
 
J’ai achevé un monument (HORACE, liv. III, ode XXIV, v. 1
 
Qu’un vengeur naisse un jour de ma cendre ! (VIRGILE, Énéide, liv. IV, v. 626)
 
Pèse Annibal... (JUVÉNAL, satire X)
 
Croyez-en celui qui en a fait l’expérience
 
Hors des murs
 
L’indignation fait jaillir le vers !
 
Le bruit, la renommée vole
 
Ne rien faire
 
Faites silence (HORACE, liv. III, ode I, vers 2)
 
Heureuse faute !
 
Heureux celui qui a pu pénétrer le fond des choses !
 
Le travail marche activement
 
Hâtez-vous lentement
 
« Dieu dit : Que la lumière soit faite, et la lumière fut faite. » Cette parole créatrice est devenue la devise de toute grande découverte. On représente généralement l’inventeur de l’imprimerie tenant (...)
 
Que votre volonté soit faite !
 
Le fidèle Achate
 
S’emploie en bonne et en mauvaise part pour marquer que la fin d’une chose est en rapport avec le commencement. « Vous avez connu ce jeune homme à Paris. Vous savez quelle fut sa vie : excès, (...)
 
Devise de la ville de Paris. Construite dans une île dont la forme offre quelque ressemblance avec la coque d’un navire, la vieille Lutèce avait pris pour armes un vaisseau. A une époque beaucoup (...)
 
Il a du foin aux cornes
 
Sources des eau
 
Peut-être un jour ces souvenirs auront pour vous des charmes (VIRGILE, Énéide, liv. I, vers 203)
 
Heureux vieillard ! (VIRGILE, Égl. I, v. 46)
 
Heureux celui qui connaît les divinités des champs ! (VIRGILE, Géorgiques, liv. II, v. 494)
 
Sur le vert feuillage (VIRGILE, Égl. I, v. 80)
 
Le temps s’enfuit, perdu pour toujours (VIRGILE, Géorgiques, liv. III, v. 284)
 
La furie française
 
La fureur fournit des armes (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 150)
 
La race irritable des poètes (HORACE, liv. II, épître II, v. 102
 
Les savants ne sont pas d’accord
 
En gros
 
Aie ton corps, garde ton corps.
 
Nous avons un accusé qui avoue (CICÉRON, Exorde du Discours pour Ligarius)
 
Les livres ont leur destinée
 
Le trait mortel reste attaché à son flanc
 
Ils ont mis leur confiance les uns dans leurs chars, les autres dans leurs chevaux
 
 Hic
Ici. C’est ici
 
Ici et maintenant
 
Ici gît
 
Voilà ce que je désirais (HORACE, liv. II, sat. VI, vers 1)
 
C’est une entreprise, c’est un travail difficile (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 129)
 
Je le veux, je l’ordonne ; la raison, c’est ma volonté ! (JUVÉNAL, sat. VI, v. 223)
 
Aujourd’hui moi, demain toi
 
L’homme est un loup pour l’homme
 
Je suis homme, et rien de ce qui touche un homme ne m’est étranger (TÉRENCE, l’Homme qui se punit lui-même, acte I, scène 1)
 
L’honneur nourrit les arts
 
Je frémis en le racontant (VIRGILE, Énéide, liv.&nbs;II, v. 204)
 
Ici finit le monde
 
Là nous nous sommes arrêtés, et nous avons pleuré en pensant à Sion
 
L’État dans l’État
 
Sur une âme vile
 
À l’article de la mort
 
Dans la queue le venin
 
En entier
 
Au dernier moment
 
En flagrant délit
 
En masse, en bloc
 
Tu vaincras par ce signe
 
Entre vos mains
 
En plein sujet (HORACE, Art poétique, v. 148)
 
La vertu est éloignée des extrême
 
Dans l’état de nudité
 
En paix
 
Dans les pays occupés par les infidèle
 
Intérieurement, dans le secret de la pensée
 
Dans la nature, dans la réalité
 
Dans les siècles des siècles
 
Porter du bois à une forêt ne serait pas plus insensé ! (HORACE, liv. I, sat. X, v. 34)
 
Mince est le sujet, mais non la gloire de le traiter (VIRGILE, Géorgique, liv. IV, v. 6)
 
Dans le vin la vérité
 
Souvent la peur d’un mal nous conduit dans un pire (HORACE, Art poétique, v. 31)
 
De là la colère
 
Que les ignorants apprennent, que ceux qui savent se souviennent
 
Reine, vous m’ordonnez de rouvrir de cruelles blessures (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 3)
 
Malheureux dans l’œuvre tout entière celui qui ne sait la rendre complète (HORACE, Art poétique, v. 34)
 
Cheval gros comme une montagne (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 15)
 
Le verre en main
 
Reste entre les deux ; au milieu tu seras en sûret
 
Dans l’intérieur des murs
 
Intérieurement et sous la peau (PERSE, sat. III, v. 30)
 
Malgré Minerve (HORACE, Art poétique, vers 385)
 
Par le fait seul
 
La colère est une courte folie (HORACE, liv. I, épître II, v. 62)
 
Celui-là a commis le crime, à qui le crime est utile
 
Allez-vous en, la messe est dite
 
Les mœurs oratoires et le pathétique
 
Le droit n’est pas toujours d’accord avec le fait ; ainsi pendant que Louis XVIII en exil se considérait comme étant de droit souverain de la France, Napoléon, à Paris, l’était de fait. Notre grand (...)
 
Je le jure
 
La loi du langage (HORACE, Art poétique, v. 72)
 
L’homme juste et ferme en son dessein...
 
Un travail opiniâtre vient à bout de tout (VIRGILE, Géorgiques, liv. I, v. 145)
 
Faute échappée à la plume
 
Faute échappée à la langue
 
Laissez toute espérance, vous qui entrez !
 
Faisant l’éloge du temps passé (HORACE, Art poétique, vers 173)
 
On ne peut désirer ce qu’on ne connaît pas
 
Qui suit, mais à un long intervalle (VIRGILE, Énéide, liv. V, v. 320)
 
Ordre clair comme le jour
 
Courage !
 
Le maître l’a dit
 
Second espoir de la grande Rome (VIRGILE, Énéide, liv. XII, v. 167)
 
De loin le respect est plus grand
 
Déployer des ailes plus grandes que le nid dont on est parti
 
Les ombres des hautes montagnes grandissent (VIRGILE, églogue I, v. 83)
 
Ce qui est mal acquis se dissipe de même
 
Tes jours sont comptés ; tu as été trouvé trop léger dans la balance ; ton royaume sera partagé
 
Le souvenir reste profondément gravé dans le cœur (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 26)
 
Donnez des fleurs à pleines mains ! (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 883)
 
Les idoles ont des mains et ne toucheront pas
 
Le travail surpassait la matière
 
On doit le plus grand respect à l’enfance
 
C’est moi, moi qui l’ai fait ! (VIRGILE, Énéide, liv. IX, v. 427)
 
Par ma faute
 
De la source même des grâces, des plaisirs (LUCRÈCE, Poème de la nature, liv. IV, v. 1126)
 
Souviens-toi que tu es poussière
 
L’esprit meut la matière (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 727)
 
Le souffle divin (HORACE, livre I, satire IV, vers 42)
 
Une âme saine dans un corps sain
 
Ce coin de terre me sourit plus que tous les autres (HORACE, liv. II, ode IV, vers 13
 
Des maux — choisir — le moindre
 
Chose étonnante à dire !
 
Le mouvement redouble sa vigueur (VIRGILE, Énéide, liv. IV, v. 175)
 
Douceur et finesse (HORACE, liv. I, sat. X, v. 44)
 
Rebelle aux conseils
 
Monstre horrible, affreux, énorme, privé de la lumière (VIRGILE, Énéide, liv. III, v. 658)
 
Ceux qui vont mourir te saluent
 
De son propre mouvement
 
Beaucoup de choses en peu de mot
 
Beaucoup d’appelés, peu d’élus
 
En changeant ce qui doit être changé
 
Chassez le naturel à coups de fourche, il reviendra toujours (HORACE, liv. I, épitre X, v. 24)
 
Rien de trop
 
Que le cordonnier ne juge pas au delà de la chaussure
 
Afin qu’il n’y soit rien changé
 
Si vous faites intervenir un dieu, que le drame soit digne qu’un dieu le dénoue (HORACE, Art poétique, vers 191)
 
Dont la voix n’a pas l’accent des mortels
 
Non inférieur à plus — que le soleil
 
Plus rien au delà
 
L’arc d’Apollon n’est pas toujours tendu (HORACE, liv. II, ode VII, v. 19)
 
Je ne vous connais pas
 
Le mot publié ne revient plus
 
À marquer d’une pierre noire
 
Rien de nouveau sous le soleil
 
Pensant qu’il n’y a rien de fait tant qu’il reste quelque chose à faire
 
Ne s’étonner de rien (HORACE, liv. I, ép. VI, vers 1)
 
N’avoir rien à se reprocher, n’avoir à pâlir au souvenir d’aucune faute (HORACE, liv. I, ép. I, v. 61)
 
Rien n’est impossible aux mortels (HORACE, liv. I, ode III, v. 27)
 
Ne vous fiez pas aux apparences (VIRGILE, églogue II, v. 17)
 
Feuilletez-les le jour, feuilletez-les la nuit (HORACE, Art poétique, v. 269)
 
Ne me touchez pas (Évangile selon St-Marc, ch. XVI)
 
Ne jetez pas des perles devant les pourceaux
 
Non deux fois pour la même chose
 
Ce n’est pas ici le lieu
 
Connaissant le malheur, j’ai appris à secourir les malheureux (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 630)
 
Tous, nous ne pouvons pas tout (VIRGILE, Églogue VIII, v. 63)
 
Je ne mourrai pas tout entier
 
D’un pas inégal (VIRGILE, Énéide, liv. II, vers 724)
 
Nous ne pouvons
 
Connais toi toi-mêm
 
La manière est nouvelle, mais non la matière
 
Dernières paroles
 
Aucun jour sans tracer une ligne
 
Les Dieux aiment les nombres impairs
 
Maintenant vous pouvez congédier votre serviteur
 
C’est maintenant qu’il faut boire, se réjouir (HORACE, liv. I, ode XXXI, vers 1)
 
O profondeur !
 
Toi mon appui, toi mon honneur ! (HORACE, liv. I, ode I, vers 2)
 
O Rome fortunée, sous mon consulat née !
 
Trop heureux s’ils connaissaient leur bonheur ! (VIRGILE, Géorgiques, liv. II, vers 458)
 
O néant des choses de ce monde !
 
O campagne, quand te reverrai-je !
 
O temps ! O moeurs !
 
O la campagne ! (VIRGILE, Géorgiques, liv. II, vers 486)
 
O si !...
 
O esprits vains des hommes, ô coeurs aveugles !
 
Ils ont des yeux, et ne verront point
 
Je hais le vulgaire profane et je l’écarte (HORACE, liv. III, ode I, vers 1)
 
Tout — danger — inconnu est terrible
 
Tout superflu est rejeté par l’estomac rassasié (HORACE, Art poétique, vers 337)
 
La perfection, c’est de réunir l’utile et l’agréable (HORACE, Art poétique, vers 343)
 
Je porte tous mes biens avec moi
 
Être servile en tout pour arriver au pouvoir
 
L’amour subjugue tous les coeurs
 
Tout homme est menteur
 
La bouche bien ouverte (HORACE, Art poétique, vers 323)
 
Ils ont une bouche, et ne parleront pas
 
Il a donné à l’homme un visage élevé — vers le ciel
 
Bouche à la parole retentissante (HORACE, liv. I, sat. IV, vers 42)
 
Noble oisiveté
 
Du pain et les jeux du cirque (JUVÉNAL, satire X, vers 81)
 
On rend la pareille
 
Épargner les faibles, abattre les superbes (VIRGILE, Énéode, liv. VI, v. 852)
 
La montagne est en travail
 
Patient parce qu’il est éternel
 
Les hommes, en petit nombre, que Jupiter a aimés (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 129)
 
Chantons des choses plus relevées ! (VIRGILE, Églogue IV, v. 1)
 
La pauvreté, qui ose tout, me pousse (HORACE, liv. II, épitre II, v. 51)
 
C’est l’âme qui fait l’éloquence
 
Le châtiment suit le crime en boîtant (HORACE, liv. III, vers 32)
 
Les travaux commencés s’arrêtent
 
De nouveau suspendue aux lèvres de celui qui parle (VIRGILE, Énéide, liv. IV, v. 79)
 
Par le juste et l’injuste
 
Dans le royaume des ombres (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 269)
 
Comme un cadavre
 
Il a passé en faisant le bien
 
Citoyens, applaudissez !
 
La mort sous mille aspects (VIRGILE, Énéide, liv. III, vers 369)
 
Poetus, ce n’est pas douloureux
 
Le noir souci monte derrière le cavalier
 
A la suite de cela, donc à cause de cela
 
Après la mort il n’y a rien
 
Le rameau, détaché, est soudain remplacé par un autre (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 143)
 
Premièrement à moi
 
Au premier occupant
 
Le premier entre ses égaux
 
Plaire aux grands n’est pas un mérite à dédaigner
 
Combattre — pour ses autels et ses foyers
 
Pour sa maison
 
Le boeuf tombe à terre (VIRGILE, Énéide, liv. V, v. 481)
 
O honte !
 
Une fille née sans mère
 
Déjà brûle le palais d’Ucalégon, voisin du nôtre (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 311)
 
Horace (Art poétique, v. 428) conseille aux auteurs de se défier d’un critique trop bienveillant, qui ne fait entendre que des exclamations louangeuses. Boileau a dit : Un flatteur aussitôt cherche (...)
 
Foi punique
 
On y coud un morceau de pourpre (HORACE, Art poétique, v. 15)
 
Il faut rendre à César ce qui est de César
 
Cherchant quelqu’un à dévorer
 
Tel qu’au début
 
Quel artiste le monde va perdre !
 
Quandoque bonus dormitat Homerus
 
Combien différent de ce qu’il était !
 
Quantité suffisante
 
Que celui qui a des oreilles, entende
 
Qui aime bien, châtie bien
 
Qui ne sait dissimuler, ne sait régner
 
Parce que je m’appelle lion
 
Ce qui est bon, ce qui est mauvais
 
Quoi de nouveau ?
 
Le droit de tout oser (HORACE, Art poétique, v. 10)
 
Les Grecs payent les folies des rois
 
Tout ce que je voulais devenait un vers
 
Quel est ce nouvel hôte entré sous notre toit ? (VIRGILE, Énéide, liv. IV, v. 10)
 
Ce qui est admis par tous, partout et toujours
 
Que les dieux détournent ce présage ! (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 190)
 
Ce qui était à démontrer
 
Ce que j’ai écrit est écrit
 
Tout ce que vous me montrez de pareil me trouve incrédule et me déplaît
 
Où je n’ai eu que trop de part (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 6)
 
Je devrais les... (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 135)
 
Quand Jupiter veut perdre un homme, il lui ôte la raison
 
Jusques à quand...
 
Oiseau rare sur la terre
 
De rares naufragés nageant sur le vaste abîme (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 118)
 
L’exemple du monarque est la loi sur la terre (Vers de CLAUDIEN)
 
En abandonnant peu glorieusement mon bouclier (HORACE, liv. II, ode V, v. 10)
 
Vous avez mis le doigt dessus, vous avez deviné la chose
 
Il se souvient d’Argos
 
Qu’il repose en paix !
 
Qui empêche de dire la vérité en riant ? (HORACE, livre I, satire I, vers 24)
 
Un rat, objet ridicule
 
Pourriez-vous ne pas rire ?
 
Masse confuse et informe
 
Si quelque Dieu nous presse, un autre nous délivre
 
Le saint des saints
 
On écrit l’histoire pour raconter, non pour prouver
 
Là est et sera éternellement assis le malheureux Thésée (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 617)
 
Il se hâte toujours vers le dénouement
 
Troupeau servile
 
Mots longs d’une toise (HORACE, Art poétique, v. 97)
 
Si un augure voit un augure...
 
S’il est permis de comparer les petites choses aux grandes
 
Si vous voulez que je pleure, commencez par pleurer vous-même (HORACE, Art poétique, v. 102)
 
Si tu veux la paix, prépare-toi à la guerre
 
C’est ainsi que l’on arrive aux cieux
 
Que la déesse qui règne à Chypre te protège ! (HORACE, liv. I, ode III)
 
Ainsi passe la gloire de ce monde
 
Ainsi vous — travaillez — et ce n’est pas pour vous
 
Les semblables se guérissent par les semblables
 
O mon livre, tu iras à la Ville sans moi !
 
La foule sans nom
 
Sans quoi non
 
Laissez venir à moi les petits enfants
 
Qu’ils soient comme ils sont, ou qu’ils ne soient pas
 
Nous nous sommes arrêtés quand la terre nous a manqué
 
Que la terre te soit légère !
 
Ils ont leur soleil et leurs étoiles (VIRGILE, Énéide, liv. VI, v. 641)
 
Réformez votre cheval qui vieillit
 
À voix basse
 
L’esprit est prompt et la chair est faible
 
Debout sur un seul pied (HORACE, liv. I, satire IV, v. 10)
 
L’état où sont actuellement les choses
 
Le nombre des sots est infini
 
Nations, soyez dans l’étonnement !
 
Il est doux, quand la mer est agitée... (LUCRÈCE, Poème de la Nature, liv. II, vers 1)
 
À l’ombre du hêtre
 
J’élèverai jusqu’aux astres mon front orgueilleux
 
Le fond, le principe, l’essence
 
À chaque jour suffit sa peine
 
De son espèce
 
Justice excessive devient injustice
 
Il y a des larmes dans les choses mêmes et ce qui est périssable frappe l’esprit (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 462)
 
Il en est qui aiment à soulever sous les roues d’un char la poussière olympique (HORACE, liv. I, ode I, v. 3)
 
Des mots et des paroles et rien de plus
 
Levez-vous et marchez ! (Évangile selon saint Mathieu, IX)
 
Lève-toi, bourreau !
 
Élevez vos coeurs
 
Souffre et abstiens-toi
 
Comme les rêves d’un malade
 
Tant il était difficile de fonder l’empire romain !
 
Tant de ressentiment peut-il entrer dans l’âme des dieux ! (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 11)
 
Ceux qui viennent tard à table ne trouvent plus que des os
 
Un trait impuissant et sans force (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 544)
 
Le temps destructeur, l’homme plus destructeur
 
Un témoin, pas de témoin
 
La mer ! la mer !
 
Je crains les Grecs, même quand ils font des présents (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 49)
 
Je crains l’homme d’un seul livre
 
Tolle !
 
Prends et lis
 
Autant d’hommes, autant de sentiments
 
De tout l’espace du ciel à la terre
 
Dieu a livré le monde à leurs disputes
 
Chacun est entraîné par son penchant (VIRGILE, églogue II, v. 65)
 
Tu es cet homme
 
Toi aussi !
 
Il s’agit de vous (HORACE, liv. I, ép. XVIII, vers 80)
 
Un autre en a eu l’honneur
 
Et tous les autres
 
La patrie est où l’on est bien
 
Là où brillent un grand nombre de beautés (HORACE, Art poétique, vers 351)
 
La dernière raison
 
La dernière chose qui meure
 
Du bec et des ongles
 
À la ville et à l’univers
 
La poésie est comme une peinture (HORACE, Art poétique, v. 361)
 
On est porté à rire avec ceux qui rient, à pleurer avec ceux qui pleurent (HORACE, Art poétique, v. 101)
 
Unir l’utile à l’agréable
 
Retire-toi, Satan !
 
Malheur à l’homme seul !
 
Malheur aux vaincus !
 
Vanité des vanités !
 
Chose variable et toujours changeante — que la femme (VIRGILE, Énéide, liv. IV, v. 569)
 
Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu
 
Sa démarche révèle une déesse (VIRGILE, Énéide, liv. I, v. 603)
 
Les paroles s’envolent, les écrits restent
 
La franchise fait des ennemis, la flatterie des amis
 
J’empêche
 
Réciproquement
 
Les dieux furent pour le vainqueur, mais Caton pour le vaincu
 
Je vois le bien, je l’aime et je le fais mal
 
Mes yeux ont vu le sauveur que vous nous donnez
 
Le bon vin réjouit le coeur de l’homme
 
Un homme de bien qui sait parler (QUINTILIEN, Institutions oratoires)
 
Elle acquiert des forces dans sa course
 
La vertu après l’argent ! (HORACE, liv. I, ép. I, vers 55)
 
La force comique
 
Donner sa vie à la vérité (JUVÉNAL, satire IV, v. 91)
 
La blessure vit toujours au fond du coeur
 
La voix de celui qui crie dans le désert
 
Ma voix s’arrête au gosier (VIRGILE, Énéide, liv. III, v. 58)
 
La voix du peuple est la voix de Dieu