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L'étymologie de mots et l'origine de locutions de la langue française. Racines, évolution de locutions et mots usuels ou méconnus

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Savoir : Mots, Locutions
L’étymologie de mots et l’origine de locutions de la langue française. Racines, évolution de locutions et mots usuels ou méconnus
Savoir : Mots, Locutions
 
Si le parrain innocent du mot Silhouette, qui désigne la simple représentation de l’ombre projetée par un objet et plus particulièrement de la figure et du corps humain, est un certain Étienne de Silhouette qui vécut au XVIIIe siècle et s’illustra en préconisant des économies drastiques pour relever les finances de l’État, le terme, devenu d’usage (...)
Publié le vendredi 8 novembre 2024, par Redaction
 
 
En rivalisant, avec émulation, à qui mieux mieux
 
D’origine incertaine cependant que nombre d’auteurs le pensent dérivé du nom du dieu suprême des basilidiens Abraxas formé de sept lettres qui additionnées donnaient le nombre 365, le mot d’enchantement (...)
 
Les définitions des mots croisés ne manquent ni de charme ni d’humour. Par exemple, l’agronome, qu’il faut deviner à travers cette définition-devinette : laboureur en chambre. Quant à la définition de (...)
 
La formule se décoche à chaque coup de téléphone. Mais pourquoi l’emploie-t-on ? D’où vient cette étrange expression ? Le Figaro revient sur son origine.
 
Jean-Baptiste Bonaventure de Roquefort (1777-1834) et tous les étymologistes, avant ou après lui, s’accordent à dire qu’amadouer vient d’amador qui signifiait autrefois amoureux. Quelques-uns cependant (...)
 
Imposant momentanément au XVIIIe siècle à ce mot le genre masculin tout en lui conservant son orthographe, l’Académie y renonça en 1878, laissant à squelette le privilège d’être le seul substantif (...)
 
Cet adjectif illustre combien fautes et bévues peuvent être introduites dans la langue française par l’ignorance usurpant le ton et l’autorité du savoir véritable. Les premiers qui eurent besoin de ce (...)
 
« Bonne après-midi » ou « Bon après-midi » ? Les formules sont courantes. Est-il pour autant correct de les employer ? Le Figaro revient sur le bon usage de la (...)
 
Arobase, arobas, arrobe, escargot... en français comme dans toutes les langues la forme de l’@, caractère né au Moyen Age et non à l’orée de l’ère numérique, lui vaut des appellations aussi fantaisistes (...)
 
On admet pour l’expression « Au temps pour moi » exprimant la reconnaissance d’une erreur de la part du locuteur, deux graphies différentes : la première, plébiscitée par l’Académie française ; la (...)
 
Curieux destin que celui du mot aucun signifiant quelqu’un, dont on a délaissé le singulier sous forme positive pour l’accompagner dès le XIIIe siècle d’une négation lui conférant alors le sens de nul, (...)
 
L’origine du nom bachelier fut longtemps discutée. C’était, nous apprend le Thresor de la langue francoyse tant ancienne que moderne, « le premier degré de titre entre nobles, dont le prochain, en (...)
 
Réconciliation éphémère et peu sincère
 
Quand l’on rapproche ces deux termes, c’est en général pour les opposer. À l’origine, pourtant, l’un et l’autre eurent pour outil de travail un... banc.
 
Langage corrompu et inintelligible
 
Femme de lettres. Devenu péjoratif, le terme désigne aujourd’hui une femme à prétentions littéraires
 
Amusant hasard, l’histoire des mots a voulu que le mot basilic, associé avec le temps à une incarnation du diable, ait la même origine que son homonyme basilique, la maison de Dieu étant, en quelque (...)
 
Comment s’est opéré le passage du nom des parents naturels auquel on accolait le suffixe latin aster (âtre), à ce même nom accompagné du préfixe beau ou belle pour désigner les membres par alliance d’une (...)
 
Berner est un mot à sens clair et lumineux pour tout le monde. Il s’emploie surtout dans le sens de tromper grossièrement. Les Valères de Molière ne trompent pas les Gérontes, ils les bernent ; il y a (...)
 
Sait-on qu’au milieu du XIXe siècle, les mots blague et blagueur n’avaient pas encore leur place au sein du Dictionnaire de l’Académie, assimilés peut-être par elle et à tort à des expressions (...)
 
Celui ou celle qui mène une vie au jour le jour, en marge du conformisme social, correspondant à l’existence des artistes errants composant un mouvement littéraire et artistique au XIXe (...)
 
Vacarme assourdissant, tapage
 
Café ou restaurant de piètre qualité
 
On pourrait volontiers prêter à notre mot français « bouquin » d’être issu de l’anglais « book », lui-même dérivé de l’autre mot anglais « bough » signifiant « flexible ». Or il faut, pour dénicher la (...)
 
Homme qui aime les querelles et qui sème la division et la discorde
 
Le roman de Garin-le-Loherain, qui date du douzième siècle, nous montre le roi Pépin créant un maître-braconnier. A coup sûr, cette nomination serait plaisante si l’on supposait au mot braconnier le (...)
 
On appelle cabri (du latin capra) le petit d’une chèvre. Les sauts joyeux auxquels l’animal se livre ont évidemment donné naissance à l’expression cabriole d’où l’on a tiré plus tard cabriolet, sans (...)
 
Personne frappée de répulsion et de mépris
 
Si la réputation du curé de Calemberg, exerçant en Allemagne et dont les facéties ont couru l’Europe, fournit de prime abord une justification crédible de l’étymologie de notre mot calembour apparu à la (...)
 
On entend aujourd’hui par ce mot les commérages, les faux rapports, les diffamations, les médisances qui se débitent soit dans la conversation des gens du monde, soit dans les réunions de vieilles (...)
 
La canicule actuelle est une fausse canicule ; ce n’est plus la canicule des anciens ; mais elle est restée cependant vraie en général. Nous voulons dire que la définition s’est faussée, mais comme (...)
 
D’où vient le nom de carabin que l’on donne familièrement et spécifiquement aux étudiants en médecine ?
 
Action d’extorquer de l’argent ou tout autre avantage par la menace de révélations compromettantes ou diffamatoires
 
Langage bizarre ou inintelligible
 
Ce n’est pas d’aujourd’hui que le mot chien adressé à quelqu’un est une injure. On en a usé de cette manière chez les Hébreux, les Grecs et les Romains, et la tradition en a été recueillie par les (...)
 
Pourquoi certain morceau d’étoffe, généralement taillé en rond, de couleurs variées, indiquant un grade, l’appartenance à une nation, à une armée ou à un parti, et qu’on porte au chapeau, s’appelle une (...)
 
De très vieille date, les bateaux qui faisaient le service de transport sur nos rivières portèrent le nom de coches, forme adoucie de coques, pour coquilles qui faisait image. Nous n’avons pas cessé (...)
 
Le cocktail serait né dans une pharmacie du Nouveau Monde, affirme une légende attribuant à un apothicaire, natif de Bordeaux et installé jusqu’en 1791 à Saint-Domingue, d’y avoir connu la formule (...)
 
Le mot collation a une origine curieuse. Formé du latin collatio, conférence, il servit d’abord à désigner un usage pieux des couvents, qui consistait à lire les conférences des pères de l’Eglise, (...)
 
Faire la cour
 
C’est au sujet de ce mot qu’on pourrait dire, autant d’hommes, autant de sentiments. Encore ne comptons-nous les femmes ni les enfants. Les uns croient qu’il s’agit de quelques plantes (...)
 
Excellent(e) cuisinier ou cuisinière
 
Presque toujours indésirable en Europe contrairement à celle du Nil longtemps fertilisante, la crue, qui pour l’abbé Furetière en 1690 dans son Dictionnaire universel signifie augmentation, est le (...)
 
En latin, une coquille de limaçon se dit cochlea, et c’est probablement par suite de la comparaison d’une cuillère à une coquille que l’on a fait dans la même langue le mot cochlear ou cochleare pour (...)
 
Personne pédante, vaniteuse de son savoir
 
Lieu sans issue, impasse
 
On pensait jadis que le mot écarlate désignait une couleur rouge au début et finalement un drap fin de toutes nuances, mais au début du XXe siècle, le médiéviste Henri Pirenne émettait l’opinion que (...)
 
Quelle définition du verbe « enchanter » est donnée dans nos premiers dictionnaires ? Un sens très éloigné de celui d’aujourd’hui...
 
L’estaminet : quelle place il occupe dans notre existence nationale ! On dit aujourd’hui : café, taverne, brasserie, bar, mais qu’importe, sur la pancarte de bois, sur la façade peinte à la chaux (...)
 
Onomatopées utilisées dans des refrains de chansons populaires
 
Avare, usurier
 
Fanfaron, homme faisant étalage d’exploits imaginaires en simulant la bravoure
 
Foutre le camp signifie s’en aller précipitamment. Jean-foutre signifie propre-à-rien.
 
« La gente féminine » ou « la gent féminine » ? Les formules se retrouvent souvent à l’écrit. L’une des deux est pourtant inexacte. Laquelle ? Le Figaro revient sur leur bon (...)
 
Le verbe Glaner signifie « ramasser les épis de blé restés sur le champ après la moisson ». L’origine de ce verbe a longtemps fait débat.
 
Jeune homme faisant le galant auprès de la gent féminine
 
Qualifiant à l’origine un valet chargé de servir les soldats, et notamment de porter leurs armes, le mot goujat serait issu du vocable gascon goujon utilisé pour désigner un (...)
 
Cette locution ne regarde pas celles et ceux qui n’ont que cinq pieds de haut, et quelque petite fraction. Avec pareille taille, on ne saurait atteindre, ni décrocher les andouilles suspendues (...)
 
Les variantes d’un vers de la farce de Patelin nous mettent sur la voie de son étymologie. Patelin se vante à sa femme de sa capacité : Je suis, dit-il, la meilleure tête du pays ; il n’est personne (...)
 
Jeune ouvrière du textile, jeune couturière. Par extension, jeune femme pauvre et séduite
 
Habitants d’Orléans
 
Mauvais drôle, coureur, maraudeur
 
Parmi ceux qui emploient le mot harassé, bien peu savent que ce mot fait allusion à une ancienne coutume judiciaire aujourd’hui entièrement disparue. On sait que le duel judiciaire a longtemps (...)
 
Il n’est guère de mot dont l’origine soit plus simple et plus incontestable ; il n’en est guère aussi auquel on ait prêté des étymologies plus tourmentées...
 
Dérivé, selon les linguistes d’aujourd’hui, de l’hortus gardinus de l’époque gallo-romaine, le mot qui nous occupe ici n’en évoque pas moins le « paradis » de l’Antiquité, parc ou grand jardin irrigué et (...)
 
« Les castors emploient les mois de juillet et d’août à construire leurs digues et leur cabane », souligne Pierre Larousse en citant Buffon dans son Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle. (...)
 
S’employant au figuré pour désigner ce qui n’est pas clair, le terme louche apparaît en français au XIIe siècle, signifiant alors « qui ne voit pas bien », avant de passer quelques siècles plus tard du (...)
 
Être malfaisant qui, selon certaines croyances, avait le pouvoir de se métamorphoser en loup la nuit et qui reprenait forme humaine le jour. Aujourd’hui, personnage effrayant dont on menaçait (...)
 
Cet animal, dont le nom fut longtemps masculin, suscita des débats théologiques visant à déterminer si consommer sa chair était chose autorisée durant le carême
 
L’académicien Charles Nodier (1780-1844) nous explique que « ce mot très caractéristique, très populaire, sans être trop trivial, et que Désaugiers, toujours si correct, a souvent employé dans ses jolies (...)
 
D’où vient ce mot désignant un assemblage disparate de morceaux hétérogènes ? Est-ce par les cartes, la cuisine ou la littérature qu’il est entré dans la langue (...)
 
Cousin étymologique de notre malle, le désormais célèbre mot anglais mail désignait, à l’origine dans notre langue et avec une prononciation toute différente, un marteau avant que le XVIIe siècle ne (...)
 
Personne mal élevée, qui fait preuve de grossièreté
 
L’expression « merci » est de nos jours autant employée par déférence que par respect. Une politesse désintéressée, à l’origine bien mercantile... Mais d’où vient ce terme ? Le Figaro revient sur son (...)
 
Des amours « fous » ou « folles », des aigles « impériaux » ou « impériales » ? La langue française regorge de petites subtilités. Claude Duneton (1935-2012) analysait ces cas uniques dans une chronique. La (...)
 
Formule souvent employée lorsque l’on veut obtenir le silence, intimer l’ordre à quelqu’un de ne souffler mot, l’interjection motus a un temps divisé les lexicographes, certains invoquant le latin, (...)
 
Si au milieu du XVIIIe siècle, l’Académie française considérait le mot orgue comme masculin, tant au singulier qu’au pluriel, elle entérine en 1762 dans son célèbre dictionnaire et sans raison (...)
 
Nombre de dictionnaires, tant anciens que modernes, expliquent que du latin panis vient naturellement panier, ustensile propre à porter le pain. Mais cette explication est erronée, car si panier (...)
 
Dans le conte Cendrillon prenant vie en 1697 dans sa version la plus connue grâce à Charles Perrault, l’auteur mentionnait une pantoufle « de verre » et non « de vair (...)
 
Ce nom était, dans l’origine, un titre honorable. Lucien, qui connaissait parfaitement les tours et les finesses de sa langue, ne fait point difficulté d’appeler Patrocle, l’intime ami d’Achille, son (...)
 
Personne gauche, lente et maladroite
 
Où l’on apprend que ce mot serait le fruit de deux autres signifiant à l’origine le parler de la patrie
 
Terme d’argot dont usaient, sous Napoléon Ier, les militaires pour désigner les bourgeois, il s’est conservé depuis et sert, par extension, à qualifier un homme (...)
 
Sorte de bazar de fines porcelaines et de curiosités artistiques, de charmantes et délicates inutilités, qui en font un bric-à-brac
 
Il a été exprimé deux opinions sur l’origine de ce mot : l’une, qui le fait venir de pilier, et l’autre, de Puits Lori
 
Femme prétentieuse, usant de manières affectées et ridicules
 
En 1856, le philologue François Génin propose une étymologie à rebours de celle aujourd’hui retenue par l’Académie française dans la dernière édition (commencée en 1992) de son Dictionnaire, et s’étonne de (...)
 
Homme sans tenue, sans consistance, ou dont on fait peu de cas, un importun, un fâcheux, un mauvais plaisant, quelquefois un original
 
Ce mot est employé pour désigner une personne manquant de courage, un couard, un froussard ou encore un peureux. Si trois étymologies ont été avancées, invoquant le latin ou l’ancien français, aucune (...)
 
« Années de jeunesse », telle est la définition proposée par un verbicruciste pour le mot « printemps ». Il n’en faut pas plus pour ressentir une certaine exaltation, quelque âge que nous ayons atteint. (...)
 
Ressasser, répéter de façon insistante
 
Avant d’être des noms communs, rodomont et matamore ont été les noms de héros littéraires. Rodomont vient de Rodomonte, proprement « ronge-montagne », personnage du Roland furieux que l’Arioste avait (...)
 
Où l’on apprend que le verbe sabler utilisé dans le sens de boire d’un trait n’aurait aucun lien avec jeter le sable comme on l’admet pourtant, mais serait un dérivé du verbe siffler utilisé dans sens (...)
 
On appelle saint-frusquin ce qui constitue la propriété de quelqu’un, ses biens, ses hardes, et quelquefois aussi son argent
 
Sans hésiter, franchement
 
Pour concilier autant que possible le respect du deuxième commandement — Tu n’auras pas d’autre Dieu que moi — avec le besoin qu’on éprouve parfois de jeter dans son discours quelque terme énergique, on (...)
 
Homme qui a la tête pleine d’un docte fatras
 
Signifiant aujourd’hui « une nouvelle faisant sensation », ce mot, d’origine anglaise et dont l’apparition dans notre langue est signalée en 1957, a une origine commune avec notre « écope » désignant (...)
 
Souvent employée à l’occasion des festivités de fin d’année ou en de mémorables occasions, l’expression Se mettre sur son trente-et-un n’a aucun lien avec la date du 31 décembre, mais trouverait son (...)
 
Si le parrain innocent du mot Silhouette, qui désigne la simple représentation de l’ombre projetée par un objet et plus particulièrement de la figure et du corps humain, est un certain Étienne de (...)
 
Consacré au milieu du XIXe siècle en Angleterre par l’écrivain Thackeray et son Livre des snobs, l’usage de ce mot qui désigne chez nous un personnage fat, ridicule, vaniteux mais n’avait pas encore (...)
 
On dérive ce mot de sorbere, sorbillare, sorbillum, humer, boire à petits coups, potion ou tisane. Il serait peut-être imprudent de rejeter cette étymologie. Mais peut-être aussi qu’en cherchant (...)
 
Faut-il écrire temps avec le p dont l’orna la Renaissance ou sans ce p dont le Moyen Age se gardait de l’affubler ?
 
Dans l’origine, pour signifier assembler deux objets en sens inverse, placer deux personnes de manière que la tête de l’une soit aux pieds de l’autre, on a fait le verbe béchevetter, de bé, venant du (...)
 
Ces effusions de sympathies mutuelles que la chaleur communicative des festins provoque de nos jours ne furent, au début, qu’un acte de précaution et un témoignage de défiance. Les institutions ont (...)
 
Consacré au XVIIIe siècle par Voltaire et désignant au sens propre le chaos originel, le mot français tohu-bohu, que l’on trouve au XIIIe siècle dans notre langue sous la forme de toroul boroul, est (...)
 
Où l’on apprend que cette locution qui signifie librement, sans façon, sans cérémonie, ou encore sans préambule, et que d’aucuns estiment tirée de tout de gob que l’on rencontre au XVIe siècle, serait en (...)
 
Jardin à fruits
 
Descendant, pour les uns, en droite ligne du cri anglais ut ! abondamment prononcé en France par l’occupant dans le Berry durant la guerre de Cent Ans, issue selon les autres d’une anecdote se (...)
 
Formule de politesse courante, « bonsoir » peut pourtant être source de confusions : à partir de quelle heure faut-il employer ce mot ?
 
Dans les Poésies de Froissart figure le poème de la Cour de may, au sein duquel Amour enseigne à un jeune homme comment il doit se comporter avec les dames, et use de l’expression « avoir coppé l’oe (...)