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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 44), revue historique

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Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 44 : Orviétan de charlatans ; Cognac ; Cerf et légendes ; Puits de Sigismond ; Pâtés de Périgueux ; Brasseries à femmes...
Numéro 44
(1er semestre 2014)
 
Liée dès le Ier siècle à la sainte Vierge, Metz lui consacre bientôt plusieurs chapelles et lui doit de repousser miraculeusement ses ennemis, les habitants manifestant leur foi par le biais de parfois bien curieux ex-voto. C’est dans l’église de Metz une tradition ancienne et constante, appuyée sur des monuments respectables, que saint Clément, son (...)
Publié le samedi 5 avril 2014, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Roi de Bourgogne poussé par sa seconde et fielleuse épouse à faire assassiner son propre fils, Sigismond, qui par l’Église sera élevé au rang de saint en raison de la vie pénitente qu’il mena pour (...)
 
L’édification de l’église en hommage à saint Sigismond étant achevée, le petit-fils de Theudoald continua l’œuvre de son aïeul. Au lieu des cabanes qui, jusqu’alors, avaient abrité les pèlerins venus des (...)
 
Sigismond et son frère Godomar (ou Gondemar, ou Gondomar) furent élevés dans la religion catholique, Gondebaud, leur père, professant l’arianisme. La mort violente de Sigismond parut une expiation (...)
 
Croirait-on que vers 1670, un apothicaire avait acquis une solide réputation en commercialisant, notamment, une eau soi-disant minérale qui n’était en réalité que l’eau de la Seine mise en bouteille et (...)
 
Dans son Esprit universel paru en 1667, Barbereau explique de quelles affections ses remèdes sont censés venir à bout : « Je n’ai pu dénier à mes amis et aux infirmes de donner au public le petit narré (...)
 
Voyant le jour au moins dès le XIVe siècle, les Charités normandes, qui forment jusqu’au XVIIIe de puissantes corporations dont les statuts règlent jusqu’aux plus infimes détails de fonctionnement, (...)
 
Il est pris, pour réglementer les élections et pour déterminer les pouvoirs des chefs en même temps que l’obéissance des frères, les plus sages précautions. Chaque année, à jour fixe, ont lieu deux (...)
 
Le premier coup porté par la Révolution aux Charités le fut par la constitution civile du clergé ; nombre de frères quittèrent le chaperon dans les paroisses que desservaient des prêtres assermentés. (...)
 
En 1787, Roland de la Platière, futur ministre girondin sous la Révolution, rédige un mémoire exhortant les Français à produire de l’huile à éclairer à partir des cadavres, et de l’acide phosphorique avec (...)
 
L’extraction de la graisse humaine à partir des cadavres était déjà pratiquée en France avant que Roland de la Platière en eût vanté les mérites en 1787. Dans une lettre d’octobre 1756 adressée à Maître (...)
 
Si la vogue des perruques semble menacée sous Louis XIV, les tenants de la chevelure naturelle rivalisant d’élégance en souffrant la frisure, on assiste bientôt à un redoublement d’ingéniosité chez les (...)
 
De toutes les panacées offertes à la crédulité publique, il n’en est peut-être aucune dont la réputation ait surpassé celle de l’orviétan, électuaire venant prétendument à bout de moult affections et (...)
 
Les Contugi, célébrités dans le domaine de la vente d’orviétan, défendirent avec acharnement leurs prérogatives, et cependant qu’en 1728 un arrêt du roi avait ordonné une révision générale des privilèges (...)
 
Entre autres rivaux, le célèbre marchand d’orviétan Christophe Contugi eut à lutter contre Christophe Poloni, docteur en médecine, Romain d’origine et se prétendant fils de Vetrario. Venu en France pur (...)
 
Egalement désignée sous le nom de foire de la Pierre-Levée, la foire de la Saint-Luc, initiée au XIIe<:SUP> siècle, groupait les marchands venus parfois de loin, autour du célèbre dolmen et le (...)
 
Le psaltérion et le tympanon produisirent, en se combinant avec l’antique monocordion ou monocorde, la classe spéciale des instruments à cordes et à clavier, parmi lesquels il faut citer le (...)
 
Sait-on qu’il existait en France, au début du XXe siècle, une mosquée âgée de six siècles et demi ? Elle se trouvait dans le département des Ardennes, à Buzancy, petite ville, chef-lieu de canton, où ont (...)
 
Le nom de tulipe que portent également la plante et sa fleur, n’est pas d’une date aussi ancienne que la découverte de la fleur même. La tulipe n’avait originairement aucune dénomination (...)
 
Appartenant à ce conseil d’hommes d’affaires énergiques et peu scrupuleux auxquels le prudent Colbert sut recourir et sur lesquels il se déchargea de certaines responsabilités compromettantes, Louis (...)
 
Vers 1675, la Ferrière et ses bois, le beau palais construit sur le modèle de la résidence de Vaux avec ses étangs superposés, ses grottes où jouent les naïades, ses charmilles touffues et silencieuses, (...)
 
De toutes les formes revêtues par la prostitution moderne, une des plus pernicieuses fut la « brasserie à femmes », naissant au sein du Quartier-Latin au lendemain de l’Exposition universelle de 1867 (...)
 
A la fin du XIXe siècle, l’attention de la Préfecture de police fut appelée sur la présence, au sein des « brasseries à femmes », de jeunes filles mineures excitées à la débauche et dont on favorisait la (...)
 
En 1885, un ancien chef du service de la Sûreté nous révèle qu’à cette époque, l’une des principales brasseries à femmes était située dans un quartier populeux du centre de la capitale. Vingt-cinq filles en (...)
 
En 1811 paraissait un ouvrage intitulé Voyage au Mont Saint-Michel, au Mont-Dol et à la Roche-aux-Fées, par de Noual de la Houssaye, membre du collège électoral du département d’Ille-et-Vilaine. Un (...)
 
En 1614, un certain sieur du Praissac se livre à un étrange calcul destiné à savoir si, en la résurrection, la surface de la Terre pourra contenir tous les hommes, en donnant à chacun un pied carré. (...)
 
Une des pratiques les plus répandues jadis consistait à jeter l’eau des seaux et autres récipients aussitôt que dans une maison une personne venait de mourir. Dans un ouvrage intitulé Usages, coutumes (...)
 
Si les vins d’Aunis et de Saintonge ont d’ores et déjà acquis au XIIIe siècle une solide réputation auprès des pays d’Europe du Nord, il faut attendre le XVIIe siècle pour qu’apparaisse l’eau-de-vie, (...)
 
Les producteurs charentais d’eau-de-vie eurent à lutter dès le XVIIIe siècle contre la concurrence que leur faisaient certains produits similaires comme les tafias et les guildives. En 1713, ils (...)
 
Les premières parties recueillies lors de la distillation se nommaient esprit fort ; puis venait la seconde ou esprit faible. En donnant un coup sec sur le fond d’une futaille, le pouce appuyé sur (...)
 
Jouant un grand rôle dans les légendes du Moyen Age, le cerf était regardé comme doué d’une certaine vertu prophétique, et en maintes circonstances nous le voyons indiquer l’existence de reliques (...)
 
On honorait jadis, dans quelques villes, des reliques de cerf, mais sans doute sans savoir d’où elles venaient. Aussi ignorons-nous ce que sont devenus les restes des saints cerfs que nous allons (...)
 
S’attelant notamment à la fabrication d’ustensiles de cuisine et autres baignoires, les chaudronniers ne possèdent pas de statuts avant le XIVe siècle, et se différencieront plus tard selon la (...)
 
Si l’Histoire retient le nom du franc-comtois Courtois comme celui grâce auquel pâtés de perdrix et truffés acquirent à la ville de Périgueux une réputation européenne, c’est un certain Villereynier qui, (...)
 
En 1910, l’écrivain périgourdin Joseph Durieux explique qu’au XVIIe siècle il se faisait déjà un grand commerce de pâtés à cette époque, où le service des colis-postaux ne fonctionnait pas comme (...)
 
Les fournitures de pâtés faites au compte de la ville de Périgueux commencent en 1732, ou plutôt font l’objet, depuis cette date, d’une désignation spéciale. 1732. - 60 livres payées à Villereynier, (...)
 
Liée dès le Ier siècle à la sainte Vierge, Metz lui consacre bientôt plusieurs chapelles et lui doit de repousser miraculeusement ses ennemis, les habitants manifestant leur foi par le biais de (...)