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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 18), revue historique

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Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 18 : caricatures contre l’Eglise ; mondaines Lionnes ; inoculation ; courses de taureaux ; tapissiers ; cartes à jouer...
Numéro 18
(Avril/Mai/Juin 2006)
 
Inconnue, semble-t-il, des médecins grecs et romains, la variole aurait décimé les belligérants lors du siège de la Mecque en 570, avant d’être introduite en Espagne par les Maures, d’où elle aurait gagné l’Europe, notamment l’Helvétie et la Gaule, ainsi que le rapporte Marius, évêque d’Avenches qui dans sa chronique décrivit une maladie mortelle « cum (...)
Publié le jeudi 14 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Probablement venues d’Orient, les cartes entrent timidement en Europe au XIVe siècle et ont depuis longtemps séduit les âmes lorsqu’elles récréent Charles le Fou. Quand, par les points, elles se font (...)
 
On pensa longtemps les cartes inconnues chez nous sous Charles V. En effet, elles ne figuraient pas expressément dans son édit de 1369 qui défendait « tous geux [jeux] de dez, de tables, de palmes (...)
 
Aux approches de la Révolution, il y eut un bouleversement dans les cartes à jouer comme dans l’almanach. En 1792 on publia des cartes satiriques à l’effigie de Louis XVI : la partie de cartes du roi (...)
 
De l’Arbre charmeur cachant selon Jeanne d’Arc une mandragore, à la fontaine des Fées adulée des fiévreux, en passant par la chapelle témoin des prières de la Pucelle ou encore l’ermitage dont jamais on (...)
 
Les légendes entourant les endroits fréquentés par la jeune Jeanne d’Arc dans son pays natal, semblent avoir été forgées à partir de l’ouvrage du moine italien Philippe de Bergame intitulé De claris (...)
 
Vestige des februales latines, la fête des Brandons met en scène un feu de joie, allumé par de jeunes mariés et dont on enflamme quelques tisons que l’on porte dans les champs pour s’assurer de bonnes (...)
 
Dans l’est de la France, les jeunes gens étaient à l’honneur durant les Brandons. A Nancy, où les réjouissances se déroulaient dans la cour du palais ducal, les jeunes gens placés sur les balcons (...)
 
Objet de nombreuses superstitions, le dauphin est honoré par les Anciens avant d’être un mets de prédilection sur les tables du Moyen Age. Sa grande force et sa légendaire sociabilité alimentent (...)
 
Passé de mode, le port de la barbe conquiert les laïques après l’accident survenu à François Ier, mais partage les gens de robe et ceux d’église dont les tentatives d’éradication à grand renfort (...)
 
Les chanoines du Mans ne furent pas si complaisants que ceux de Paris. A la mort de leur évêque, Charles d’Angennes lui succéda. Cette nouvelle ne fut point désagréable aux chanoines ; ils (...)
 
Le mythe du moulin à barbe, machine aussi singulière que folle permettant de raser plusieurs personnes en une seule minute et compromettant l’avenir de la corporation des barbiers-barbants établie (...)
 
Vers 1840 apparaît la Lionne, élégante frénétique annonçant les Vésuviennes, affectant de dédaigner les grâces féminines auxquelles elle préfère les façons masculines et « l’excentricité tapageuse ». (...)
 
Lorsqu’en 1842 Soulié publiait Le Lion amoureux, il n’était question que de Lionnes, de Panthères, de Tigres et de Rats ; une Physiologie du Lion devenait nécessaire : elle parut sous la signature de (...)
 
Venu d’Angleterre, où il était le héros d’une aventure galante excentrique ou scandaleuse, dignité d’une semaine au plus, le Lion français de 1840, qui constituait, lui, la fine fleur du monde élégant, (...)
 
Particulier à Marseille, l’usage de manger des pois chiches le dimanche des Rameaux n’avait aucune analogie avec la cérémonie religieuse, n’étant relatif ni au jeûne défendu par l’Église le dimanche, ni (...)
 
De curieux concours de beauté se déroulaient autrefois dans certains villages du Pas-de-Calais. A Elnes, toute la jeunesse du pays prenait son « esbattement public » le 11 novembre, fête de (...)
 
Les grincheux se plaisent à répéter que les vacances scolaires sont trop longues et que nos collégiens ont à peine le temps de travailler. Ils évoquent le temps où les congés étaient plus rares et plus (...)
 
En 1908, un chroniqueur français vitupère contre le projet de l’Angleterre d’adopter le passage annuel à l’heure d’été, qualifiant de sophisme le raisonnement établissant le gain de jour et l’économie de (...)
 
Emaillées d’accidents parfois mortels, les ancestrales courses de taureaux suscitent dès le XVIe siècle l’opprobre de Pie V qui menace leurs adeptes d’excommunication. Mais fortes de complicités (...)
 
Au XVIIIe siècle, les jours de grandes fêtes religieuses, à l’extrémité de la rue de Sèvres, le peuple était convié au combat du taureau. Dans un champ clos entouré de gradins, on venait applaudir (...)
 
Regroupés très tôt en corporation, les tapissiers, dont l’activité initiale est la décoration murale des églises, fréquentent les « grands » du royaume et jouissent à ce titre de nombreux privilèges. Des (...)
 
Mercier avait tort de présenter dans son Tableau de Paris les magasins de meubles comme une innovation récente. Existant depuis le Moyen Age, ils étaient fort achalandés. Les tapissiers qui les (...)
 
Les hauts dignitaires du royaume eurent très tôt leurs tapissiers attitrés qui, outre leurs véritables fonctions de courtepointiers, assuraient certaines charges particulières. En 1450, Pierre de (...)
 
Choyée mais non reconnue, la mystérieuse religieuse noire mise au couvent, y reçut toute sa vie des visiteurs de marque et signait Marie-Louise de Sainte-Thérèse comme pour mieux marteler ses origines (...)
 
Dès le XIIIe siècle, les troubadours dénoncent de leurs fabliaux satiriques la traque des hérétiques par une Église dont les serviteurs, cupides, desservent les intérêts du peuple. Mais au XVIe siècle (...)
 
Une description du monstre suivait le préambule de Luther ayant trait à son pape-âne : « Et d’abord, 1° Tête d’âne qui désigne si bien le pape. (...) Autant la cervelle d’âne diffère de l’intelligence de (...)
 
Au mariage de Luther le 13 juin 1525, les adversaires du moine répondirent par des pamphlets où bouteille et paillardise jouèrent un grand rôle, les papistes allant jusqu’à présenter les noces comme (...)
 
Vers la fin du règne de Henri IV, la province du Labourd se plaignant d’être infectée de sorciers, le roi nomma une commission pour informer, dont le président Pierre de Lancre déploya dans (...)
 
Sous la Révolution fut publié un Almanac Royaliste pour l’année 1795, troisième du règne de Louis XVII, dédié entre autres aux armées catholiques et royales de la Vendée et de la Bretagne, et à tous les (...)
 
En 1387 un barbier et un pâtissier de la rue des Marmousets à Paris tenaient boutique à côté l’un de l’autre ; la cave du barbier était attenante à celle du pâtissier dont on estimait fort les pâtés qu’il (...)
 
L’Histoire éclipse l’aventure de ce simple ouvrier menuisier menant de front apprentissage et étude de l’architecture pour exceller dans son art. Jeune auteur du premier traité de menuiserie, il bâtit (...)
 
Construite en 1765 sur l’emplacement de l’ancien hôtel acheté par Catherine de Médicis en 1572, la Halle aux blés fut l’année même de l’achèvement de sa couverture par Roubo, le théâtre de réjouissances (...)
 
Divisant savants et philosophes, l’inoculation, dont les premiers succès à l’étranger sont rendus publics en France en 1723, enregistre une éphémère victoire en 1754 avec l’opération sur le fils de (...)
 
Inconnue, semble-t-il, des médecins grecs et romains, la variole aurait décimé les belligérants lors du siège de la Mecque en 570, avant d’être introduite en Espagne par les Maures, d’où elle aurait (...)
 
Après que Tronchin eût inoculé avec succès les deux enfants du duc d’Orléans en 1756, Louis XV consentit à lui donner une audience et lui réserva son plus gracieux accueil. On le dit cultivé ; on vante (...)
 
Au XVIIe siècle, certains médecins invoquent l’aura seminalis chère aux stoïciens, pour expliquer la découverte de l’étrange fruit d’une grossesse extra-utérine, d’autres l’attribuant aux « écarts (...)