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14 janvier 1782 : mort du baronnet Jean Pringle, médecin

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14 janvier 1782 : mort du baronnet Jean Pringle, médecin
Publié / Mis à jour le jeudi 19 novembre 2009, par LA RÉDACTION
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Né le 10 août 1707, à Stikel-House, dans le comté de Roxburg en Angleterre Jean Pringle fut l’un des plus célèbres médecins militaires du siècle dernier.

Porté par la direction naturelle de son esprit à la recherche de la vérité par la voie expérimentale, Pringle profita des postes éminents qui lui furent confiés pour recueillir des histoires d’épidémies qui sans lui seraient restées ensevelies dans l’oubli. Mais on ne saurait trop lui reprocher d’avoir oublié que l’observation se borne à fournir des matériaux dont l’utilité ne devient manifeste qu’après qu’ils ont été élaborés par un jugement sain, et qu’en interdisant au médecin, comme il le voulait, le droit d’invoquer la théorie au lit du malade, on le transforme en une véritable machine, semblable à l’ours de la fable, qui écrase son ami pour le délivrer d’une mouche importune. C’est pour avoir agi ainsi lui-même, et s’être laissé guider par les seules inspirations du hasard, qu’il eut la malheureuse prérogative de sanctionner du poids de son exemple l’homicide coutume de prodiguer le quinquina et les autres excitants dans les fièvres graves, et qu’après s’être montre l’ennemi de toute théorie médicale, il prétendit assujettir la pratique à sa doctrine absurde de la putridité des maladies, tristes débris du système de Sylvius. Le mal qu’il a fait à la thérapeutique n’est pas compensé par les perfectionnements qu’il a portés dans l’hygiène militaire. — Jourdan.

 
 
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