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Livre histoire DONON (Au pied du). Scènes de moeurs vosgiennes par Ernest-Antoine Seillière

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DONON (Au pied du)
Scènes de moeurs vosgiennes
(par Ernest-Antoine Seillière)
Publié / Mis à jour le jeudi 12 juin 2014, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Il fallait être un familier de la région septentrionale des Vosges, féru d’histoire et de littérature, et assez amoureux de « l’une des plus fraîches et des plus riantes vallées au pied du Donon » pour écrire un récit aussi captivant qui éclairait, de surcroît, les lecteurs sur la vie quotidienne au cœur de cette contrée forestière.

C’est, en effet, dans cette perspective qu’Ernest-Antoine Seillière retrace l’histoire d’un Parisien d’origine, Maurice Ambert, qui, las des plaisirs de la capitale, a quitté une bohème artistique de luxe pour un travail d’architecte à Strasbourg et qui, recru de labeur, a entamé un voyage à pied dans les Vosges. Il connaît le plaisir d’être « seul et libre face à la nature » et, un jour de mai 1852, après avoir entendu son guide lui parler de la Meix, un village englouti, puis rencontré un braconnier à qui il arrive de conduire la schlitte (cette tueuse d’hommes, d’où les croix noires au bord des chemins), et enfin un curé, qui s’est fait charpentier et maçon pour reconstruire son église, il arrive à la commune d’Hermont.

L’intrigue se noue dans cette localité, où vit « une population d’environ quatre cents personnes, schlitteurs, bûcherons, marnageurs (charpentiers de forêt), charbonniers, flotteurs, tous assez pauvres diables ne possédant pas un sou vaillant » et la jolie Marguerite, pour qui le sabotier du village fabrique spécialement des petits sabots en bois noir et verni. Maurice plonge dans cette vie âpre, dessine les plans du portail et de la tour de l’église pour le curé, assiste à la préparation de la fête paroissiale (rôtis pantagruéliques, vaudes de sarrasin, nouilles et crêpes, tartes de couetches et de...

 
 
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