Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 25), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 25 (Janvier/Février/Mars (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 25 : écrouelles ; Hanse parisienne ; Louis Alibaud ; crieurs publics ; peste du riz ; jeu de soule...
Numéro 25
(Janvier/Février/Mars 2008)
 
A partir de la fin du XIIe siècle, le luxe de la table s’accroît rapidement, malgré les lois somptuaires publiées par Philippe-Auguste qui n’arrêtent point les progrès de la gourmandise, comme il est aisé d’en juger par le déroulement d’un souper du temps pour célébrer le jour des Rois. Les convives arrivant, se saluent réciproquement : « Dam Dieu vous (...)
Publié le lundi 18 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Née au Moyen Age, une croyance attribuait aux rois de France le don miraculeux de guérir les écrouelles en les touchant de leurs mains sur lesquelles avait été faite une onction avec l’huile de la (...)
 
La tradition rapporte que la sainte Ampoule, « après la conversion et le baptême de Clovis, la veille de Noël 496, fut apportée par une colombe, à la vue de tous les assistants, jusque sur l’autel où (...)
 
Nous devons à André du Laurens, jeune professeur de Montpellier et médecin ordinaire auprès du roi Henri IV, le premier récit écrit scientifique ayant trait à la cérémonie singulière du toucher royal. A (...)
 
Ancêtre commun du football et du rugby, le jeu de la soule, dangereux au point d’être prohibé en 1369 mais qui avait conquis la France au XVe siècle, opposait deux paroisses ou les mariés aux (...)
 
Ce fut seulement à la fin du XVIIIe siècle que la soule fut supprimée dans le Poitou, par un arrêt du parlement du 1er juin 1779 qui nous livre quelques détails sur son organisation dans cette (...)
 
Dans le Morbihan, François de Pontivy appelé le Souleur, avait acquis une immense réputation dans ces jeux, et s’était rendu redoutable aux paysans de toutes les communes voisines, un seul homme, Ivon (...)
 
Salutaires à la propreté du corps et capables de réprimer les ardeurs des sens selon certains, les vertugales, qui créent un embonpoint postiche, sont représentées par d’autres comme des « dissolutions (...)
 
Dans sa Réponse à monsieur le C..., la Vertugale n’épargne pas le vilain l’ayant invectivée, prétendant avoir été inventée par un homme sage : « Il a voulu que fusse ronde ; Plus parfaicte figure au monde (...)
 
Composé après qu’un déluge se fût abattu sur Brive-la-Gaillarde en mai 1634, un sermon en impute la responsabilité aux seuls hommes, créatures qui ayant offensé Dieu, sont punies pour leur ingratitude (...)
 
Désignés en 1467 sous le nom de bonnetiers, les aumuciers et chapeliers de coton assurent depuis longtemps la fabrication de produits très prisés et se hissent au sein de l’aristocratie marchande des (...)
 
C’est à partir du règne de Louis XII que l’histoire commence à faire mention des Six-Corps, qu’on voit apparaître, en 1501, dans la fête donnée par la ville de Paris pour l’entrée de la reine Anne de (...)
 
Imaginée de toutes pièces, une histoire mise au jour pour la première fois par Savary dans son Dictionnaire du commerce, prétend qu’au commencement du XVIIe siècle, le bruit se répandit à Paris qu’un (...)
 
Agents actifs des feuilles démocratiques et moniteurs ambulants de l’insurrection contre la nouvelle monarchie, les crieurs publics se jouent de la Préfecture de Police de Paris, qui souhaite en (...)
 
Homme d’une impétuosité sans égale et n’ayant jamais su l’art des ménagements, Rodde ne connaissait pas la peur. Son style était brutal, quoique ennobli souvent par la passion ; sa sensibilité, violente (...)
 
L’époque des croisades fut, dans toute la chrétienté, féconde en prodiges tels que des papillons, grenouilles et oiseaux prenant la route de Jérusalem ; prodiges qui rencontraient cependant des (...)
 
La légende affirme que la pomme limousine lestre - on prononce lettre - dut son nom à un prince qui passait un jour dans un village du côté de Tulle ou de Brive. C’était au mois de juin ; le soleil (...)
 
Entre la petite ville de Stolberg, fondée au XVIIe siècle par des protestants français, et Aix-la-Chapelle, on rencontre une grande tour couverte de lierre : c’est la Frankenburg, débris respecté (...)
 
Sur l’indication de voyageurs lui ayant signalé le succès de la culture du riz en Piémont depuis deux siècles, une Compagnie dite du Riz ou des Rizières de France et composée d’hommes d’affaires, se (...)
 
Le problème des dîmes, impôts en nature sur les fruits de la terre, représentant le dixième des récoltes et levés essentiellement par les ecclésiastiques, se posa lors des essais d’implantation des (...)
 
Ripostant aux attaques des Thiernois, les responsables de la Compagnie des rizières rédigèrent un mémoire, arguant que « la culture du riz ne serait permise nulle part si les rizières engendraient des (...)
 
Au Moyen Age, la chanson politique ou satirique se transportait en tout lieu par l’intermédiaire des ménestrels ; mais la satire qui s’adresse aux yeux, et que traduisait seulement une sculpture ou (...)
 
On trouve dans les Capitulaires des rois carolingiens de nombreuses traces de l’intérêt qu’inspiraient à cette époque les causes des indigents, veuves, pupilles et orphelins. Ainsi en 805, on (...)
 
Lorsque vers 1772 Lavoisier éclaira physiciens et chimistes qui n’avaient qu’une notion illusoire de la constitution de la matière, deux hypothèses étaient alors acceptées : l’antique doctrine des (...)
 
En honneur à l’époque de la plénitude du pouvoir temporel des archevêques de Besançon, le surnom Chrysopolis donné un temps à la ville serait une traduction grecque fantaisiste de « je suis une monnaie (...)
 
La témérité de l’abbé Bullet fut compensée, sur le terrain de l’érudition franc-comtoise, par la circonspection du bénédictin Berthod. Dans une note « sur le nom de Chrysopolis », qui fait partie d’une (...)
 
Très tôt se forma à Paris une confrérie des marchands qui, recevant par la Seine les denrées dont ils faisaient commerce et sur lesquelles ils percevaient des droits, prirent le nom de marchands de (...)
 
Les règlements imposés par la hanse donnaient lieu à des contraventions et à des querelles fréquentes. Souvent des marchands étrangers passaient les limites sans prendre d’associé. Quand la corporation (...)
 
Outre le privilège exclusif du commerce de la Seine, la hanse parisienne possédait des droits régaliens, traitait avec les seigneurs, levait des impôts. Lorsqu’en 1213 elle voulut établir un troisième (...)
 
Issue de la foudre, la fougère, dont la « graine » était jadis recueillie le jour de la Saint-Jean en observant un rituel magique, passait aux yeux des anciens pour protéger du tonnerre, dompter le (...)
 
La baguette divinatoire trouve des succédanés pour toutes ses fonctions dans certaines fleurs, bleues d’ordinaire et couleur de ciel, dont les croyances primitives attribuaient sans doute la (...)
 
Nés de l’imagination et de l’ingéniosité d’hommes de science et de lettres, le clavecin oculaire avait la prétention de charmer l’ouïe et la vue, cependant que l’orgue des saveurs offrait de jouer (...)
 
Arrêté séance tenante le 25 juin 1836 tandis qu’il vient de manquer assassiner le roi à l’aide d’une canne-fusil, Alibaud, jeune Nîmois de 26 ans et ancien militaire, revendique pour lui seul la (...)
 
L’existence d’Alibaud durant les trois mois qu’il passa chez Batiza à Paris au 12 rue Saint-Sauveur, fut une révolte sourde contre la nécessité. Il était occupé depuis le matin jusqu’à neuf heures du (...)
 
L’arrêt condamnant Alibaud à la peine de mort fut prononcé le samedi 9 juillet 1836 à quatorze heures, et Louis passa la journée du lendemain comme il avait passé toutes celles qui l’avaient précédée (...)
 
A partir de la fin du XIIe siècle, le luxe de la table s’accroît rapidement, malgré les lois somptuaires publiées par Philippe-Auguste qui n’arrêtent point les progrès de la gourmandise, comme il est (...)
 
Tous les produits distingués dégustés lors du festin du Moyen Age, n’étaient pas consommés sans un accompagnement continu de breuvages de toute espèce. On débuta vraisemblablement par le cidre de (...)
 
Autrefois usitée quand la nullité du mariage était demandée pour fait d’impuissance du mari, l’épreuve du Congrès s’introduisit par l’impudence d’un jeune accusé qui offrit de démontrer le contraire devant (...)