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Livre histoire DABO (Le comté de Dagsbourg, aujourd'hui). Archéologie et histoire par J.-L. Dugas de Beaulieu

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DABO
(Le comté de Dagsbourg, aujourd’hui)
Archéologie et histoire
(par J.-L. Dugas de Beaulieu)
Publié / Mis à jour le lundi 7 avril 2014, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Lorsque la contrée de Dabo passa sous la domination de la France, après avoir été successivement possédée par les Celto-Gaulois, les Triboques, les Romains, les Alémani et les rois francs, puis réunie à l’empire d’Allemagne avec le titre de comté, administrée pendant plus de huit siècles par trois dynasties différentes, elle était déchue de son antique splendeur.Elle avait possédé autrefois plusieurs villes commerçantes ; des burgs aux donjons élevés gardaient les débouchés de ses vallées dans lesquelles paissaient de nombreux troupeaux ; des habitations et des métairies s’étaient implantées partout où les terres étaient cultivables.

Des nations aujourd’hui éteintes s’étaient succédé : le Celte marchant à la suite de son chef Hésus qui lui apprit à défricher les forêts, à ensemencer le sol et à se prosterner devant le menhir que sa main avait élevé ; puis le Triboque qui céda sa place aux légions romaines qui apportaient la richesse, le luxe et les arts ; les hordes germaniques, enfin, qui firent tomber les populations sous leurs glaives comme les épis sous la faux du moissonneur.

Les guerres et la peste furent les deux fléaux qui provoquèrent la disparition de la population et l’écroulement des châteaux. « Des tas de pierres moussues sont tout ce qui reste de villages dont on ne connaît plus même le nom ». Puis la puissance féodale se consolida, couronnant le sommet des monts de ses burgs inaccessibles au pied desquels vinrent se grouper les serfs ; l’agriculture et l’élevage renaquirent mais les guerres incessantes, la peste et la famine accablèrent à nouveau les populations et rendirent le pays à son état primitif...

 
 
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