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Livre histoire Noyon (Autour de). Sur les traces des Barbares par Amédée de Caix de Saint-Aymour

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Monographies d’histoire locale. Catalogue ouvrages, livres villes et villages de l’Oise (Picardie)
NOYON (Autour de)
Sur les traces des Barbares
(par Amédée de Caix de Saint-Aymour)
Publié / Mis à jour le mardi 29 mai 2018, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

En 1917, Noyon présentait les blessures causées par le passage des Allemands en août et septembre 1914 : le pont de pierre qui datait du règne de Louis XV, détruit par l’arrière-garde anglaise, était remplacé par une étroite passerelle de fer, quelques maisons conservaient les traces des bombes du 12 septembre et les affiches posées par la municipalité pour désigner les abris indiquaient que toute crainte des zeppelins et des avions n’avait pas disparu.

Le mont Ganelon empreint de nombreuses légendes qui se racontaient jadis durant les veillées dans les villages alentour, fit partie de la ligne fortifiée qui pendant trois ans servit de barrière à l’envahisseur et protégea Paris. Les terrains au nord de ses dernières pentes présentaient encore les premiers vestiges des tranchées et des réseaux de fils de fer barbelés.

Aux mains des soldats français depuis la bataille de la Marne, Ribécourt subit régulièrement les obus ennemis. Son château, construit dans le troisième quart du XVIIIe siècle par le chevalier de Raray, fut détruit et la mairie n’était plus qu’un amas de gravois. Dreslincourt, de l’autre côté de la ligne de démarcation, était au contraire sous la domination de l’ennemi.

Le domaine qui appartint autrefois aux maisons nobles de Roye et de Humières, qui possédait un manoir féodal, souffrit énormément de l’invasion. Dès leur arrivée le 30 août 1914, les cavaliers allemands prirent le maire comme otage et l’obligèrent à dormir à la belle étoile sur une botte de paille, tandis que leur général investissait le château...

 
 
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