Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
LE 19 mars DANS L'HISTOIRE [VOIR]  /  NOTRE LIBRAIRIE [VOIR]  /  NOUS SOUTENIR [VOIR]
 
« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
NOUS REJOINDRE SUR...
Nous rejoindre sur FacebookNous rejoindre sur XNous rejoindre sur LinkedInNous rejoindre sur VKNous rejoindre sur InstragramNous rejoindre sur YouTubeNous rejoindre sur Second Life

Histoire de France : magazine (numéro 20), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 20 (Octobre/Novembre/Décembre (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 20 : évolution du climat ; jeu de paume ; syphilis ; île Maquerelle ; mode des fards ; noueurs d’aiguillette...
Numéro 20
(Octobre/Novembre/Décembre 2006)
 
On prête au sourcil de lune qui s’épanouit sous les rayons d’un astre rythmant selon nos ancêtres la ménorrhée, la faculté de faciliter celle-ci, mais aussi de chasser le diable, préserver du poison ou fortifier l’estomac. Pour les Grecs, l’armoise (Artemisia vulgaris) tenait son nom d’Artémis Illythie, la déesse des accouchements et surtout divinité (...)
Publié le samedi 16 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Diabolique selon les moralistes, nocive pour la santé selon les médecins, la mode des fards, aussi ancienne que le désir de réparer les outrages du temps, infeste la cour de Catherine de Médicis, (...)
 
Dans une lettre du Spectateur, ouvrage paru au début du XVIIIe siècle, « un simple bourgeois de la ville » fustige les demoiselles qui se fardent et qui, ayant « reçu de la Nature des yeux passables », (...)
 
Les médecins du XVIIe siècle condamnaient ce qu’ils estimaient être de dangereuses pratiques, et faisaient aux femmes, dans le naïf espoir de les corriger, un effrayant tableau des infirmités qu’elles (...)
 
Colportée par Villon, non démentie par Brantôme et attisée par Dumas, la légende associant le nom du philosophe nominaliste à celui d’une reine de France présumée coupable d’orgies sanglantes, valut à (...)
 
On rechercherait inutilement le paradoxe de l’âne de Buridan dans les œuvres du philosophe, et en particulier dans son Éthique, où il s’occupe de la liberté, et dans ses questions sur le livre VII de la (...)
 
Ancêtre du tennis, le jeu de paume se pratique dans les cloîtres avant de séduire les monarques qui légifèrent lorsque l’exercice, gagnant le peuple, devient source d’addiction et de contrefaçon. Avec (...)
 
Le futur Henri IV avait pratiqué la paume très jeune à Pau, et une lettre de Jeanne d’Albret nous apprend que le jeu du château, détruit pendant les troubles, fut reconstruit par ses soins, afin, (...)
 
Au XVIIe siècle, le jeu de paume fut associé à l’extraordinaire développement du théâtre en donnant asile aux troupes nomades dans leurs pérégrinations. Hormis quelques salles parisiennes royales ou (...)
 
Le sacré et le profane concourent à rendre la fête printanière des kyriolés extrêmement agréable et chère aux populations y participant, alliant procession religieuse et banquet sans le moindre (...)
 
« Convenus entre Madame Dorothée, princesse de Salm, abbesse, et les dames chanoinesses à elle jointes, d’une part, et les dames doyennes, chanoinesses et Chapitre, d’autre part », les 455 articles (...)
 
L’exercice de la profession de sage-femme était jadis soumis à l’approbation du curé, qui devait s’assurer des mœurs de la prétendante, lui inculquer les règles en matière de baptême notamment, et lui (...)
 
Des siècles durant, Église, magistrats et peuple prêtent à certains le pouvoir de frapper d’impuissance les jeunes époux en nouant l’aiguillette, maléfice passible de la peine capitale. Se délier des (...)
 
Non seulement l’Église crut au pouvoir des noueurs d’aiguillettes, mais de surcroît plus d’un prêtre s’exerça à cette pratique. Un procès-verbal dressé de 1325 à 1350 fait état d’un charme jeté sur Louis (...)
 
Selon le père Crespet, on peut nouer l’aiguillette pour empêcher l’homme marié seulement, parfois pour empêcher la femme mariée seulement, afin que l’un, ennuyé de l’impuissance de l’autre, commette (...)
 
Peu connu, le monitoire, dont l’usage remonte au XIIe siècle, est une institution caractéristique de la procédure criminelle sous l’Ancien Régime. Ses origines canoniques sont nettement accentuées, le (...)
 
Le registre d’un tabellion de Lunéville, de 1502 à 1509, reproduit le contrat passé entre un maître pelletier et son apprenti : « Sachent tous que Didier le maçon demeurant à Hudiviller a reconnu de son (...)
 
Voulant faire disparaître la division de la France en 32 provinces, l’Assemblée nationale avait rendu, le 22 décembre 1789, un décret scellant « une nouvelle division du royaume en départements, tant (...)
 
Rattachée tardivement à quelques îlots utilisés comme pâturages, l’île Maquerelle, propriété de l’abbaye de Saint-Germain, est tour à tour un terrain d’entraînement pour soldats, un cimetière improvisé lors (...)
 
Le 18 avril 1684, le roi ayant été informé « que divers particuliers des environs des rivières de Seine, Marne, Oise, Gisors et d’Andelle et des étangs circonvoisins, chassent, tirent sur les cignes qui (...)
 
Fruit d’une passementerie forgeant ses premières dents au XIVe siècle, la dentelle française éclot avec le goût pour les fraises godronnées, avant de plier sous des lois somptuaires profitant aux (...)
 
Le 6 février 1620 paraissait l’ « Ordonnance du Roy pour réprimer le luxe et superfluité qui se voient dans les habits et ornements d’iceux », tandis que la « Déclaration du Roy portant réformation des (...)
 
Depuis fort longtemps on faisait de la dentelle dans la ville d’Alençon et ses environs, imitant même le genre de Venise. Plus de 8000 personnes, femmes, enfants, vieillards, vivaient de cette (...)
 
Terrassant l’Europe à la fin du XVe siècle, la syphilis était pourtant connue des Anciens, les Arabes préconisant, pour la vaincre, l’usage d’un mercure tant décrié par Galien. Administré en friction (...)
 
Certains médecins attribuèrent à l’apparition de la syphilis des causes extravagantes. Ainsi Jean Linder suppose que le mal vénérien a été produit par l’accouplement d’hommes avec des singes ; Van (...)
 
Présenté comme une combinaison de plusieurs végétaux, la plupart provenant des contrées équatoriales les plus éloignées, le rob antisyphilitique fut composé par Boyveau, né vers 1750 et qui avait étudié (...)
 
Dû par le voyer de Carhaix au sire de Quélen et à ses chevaliers, le banquet appelé le devoir de manger, avait lieu en janvier. Servi en un lieu choisi par le seigneur, le copieux dîner d’étrennes (...)
 
Le jour de l’Assomption 1891, le maire d’une commune de l’Isère prohibant le matin même le port d’emblèmes religieux, voit en neuf demoiselles s’affichant en robes blanches et accompagnées du curé (...)
 
Dans son numéro du 12 septembre 1891, L’Intransigeant, faisant allusion à la décision du maire de la Mure, écrivait : « Cet extraordinaire imbécile, qui fut quelque peu candidat officiel aux dernières (...)
 
La nuit du 19 octobre 1726, on vit « à Paris et dans presque toutes les provinces du royaume une aurore boréale plus surprenante et plus longue qu’aucune qui ait encore paru. Elle commença sur les (...)
 
A la fin du XVe siècle l’or et l’argent, que les pays nouvellement découverts fournissaient en abondance, se répandant successivement dans les diverses contrées de l’Europe, causa une dépréciation (...)
 
Une légende affirme que lorsque Charlemagne était à Zurich, il fit annoncer dans la ville et les environs, qu’à l’heure de ses repas, tous ceux qui auraient une plainte à lui adresser, ou un acte de (...)
 
En 1931, un chroniqueur de la Revue scientifique, amusé de voir ses contemporains rendre la T.S.F. responsable d’un supposé bouleversement climatique, exhume rapports et témoignages des années 1820 (...)
 
Au commencement de l’ère chrétienne, le sol de notre pays était presque exclusivement recouvert de forêts nombreuses et de marécages fangeux. Sur le modèle des institutions monastiques fondées en (...)
 
Fondateur de la revue scientifique La Nature, Gaston Tissandier y consacre en 1890 un article aux travaux de Marius Villard, architecte à Valence, qui vient de retracer l’histoire météorologique de (...)
 
Austreberthe, Filbert ou Jean-Baptiste sont autant de noms évocateurs dans la péninsule de Jumièges fertile en tenaces croyances du Moyen Age, où saints et loups ont acquis une renommée que (...)
 
On prête au sourcil de lune qui s’épanouit sous les rayons d’un astre rythmant selon nos ancêtres la ménorrhée, la faculté de faciliter celle-ci, mais aussi de chasser le diable, préserver du poison ou (...)