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Livre histoire SAINT-CÉRÉ (Chronique de) de la Révolution à nos jours par Henri Bressac

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SAINT-CÉRÉ (Chronique de)
de la Révolution à nos jours
(par Henri Bressac)
Publié / Mis à jour le lundi 31 mars 2014, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

En à peine plus d’un siècle, de 1738 à 1789, Saint-Céré connaît deux bouleversements majeurs : tout d’abord, la réunion de la cité à la Couronne de France en 1738, et la Révolution française en 1789. En perdant son statut de vicomté autonome, Saint-Céré perdait ses libertés et franchises qui, depuis des siècles, avaient généré sa richesse et sa puissance régionale. Emportée par le tourbillon aveugle de la Révolution, la ville allait connaître les premières affres d’une centralisation des pouvoirs, sous l’emprise de personnes plus préoccupées par leur propre devenir que par le bien-être de leurs administrés.

Ainsi, le représentant Bo agit comme un véritable tyran, déportant les prêtres dans des conditions épouvantables, proscrivant repos du dimanche, changeant le nom même de la ville, dont la première partie « rappelait le fanatisme », pour la nommer Sen-Céré, ou Franc-Céré. La commune, si dynamique et libre autrefois, se retrouve alors sous la contrainte sanguinaire de la Terreur, où tout n’est que peur et délation. De plus, la misère est grande : les disettes, la famine et l’inondation spectaculaire du 8 octobre 1792 déclenchée par un violent orage, achèvent de ruiner la ville qui est paralysée : les denrées, le travail des hommes et des femmes, tout doit passer par l’organisation dictatoriale du nouveau régime. Il faudra attendre 1795 pour voir le commerce reprendre ses droits, les églises rouvrir leurs portes au culte catholique et les écoles à l’enseignement.

L’auteur présente les salons sous la Restauration, celui de Mme de Dourdon, les cercles et les cafés, comme celui de la Société, situé à l’ancien hôtel de Lapanouse. En 1826, l’éclairage de rues s’organise. En 1827, un collège pour les jeunes gens est ouvert. En 1830, l’hiver est tellement rigoureux que le vin se congèle dans les fûts et qu’il faut couper le pain à la hache...

 
 
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