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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 33), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 33 (Janvier/Février/Mars (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 33 : poudre de sympathie ; carrosses ; Laffemas et manufactures ; travail du dimanche ; blanchisseuses ; Carême...
Numéro 33
(Janvier/Février/Mars 2010)
 
Dès le XIIe siècle, nombre d’ordonnances défendent aux filles publiques de porter vêtements et bijoux que la mode fait rechercher par les dames de qualité, le XIXe siècle voyant éclore l’idée d’un moyen d’identification. Déjà, sous le règne de saint Louis, les filles publiques se faisaient distinguer par des ceintures où brillait l’éclat de l’or. En vue (...)
Publié le vendredi 29 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Vers le milieu du XVIIe siècle, quelques docteurs, parmi lesquels Digby, mirent en faveur une doctrine médicale séduisante et d’une application facile, consistant à opérer à l’aide de poudre de (...)
 
Le Journal des savants rapporte qu’en avril 1686, un certain Marchand de la Rochelle étant à Fontenay, se piqua sous la langue près de la gencive avec l’os de la cuisse d’une sarcelle qu’il mangeait, (...)
 
Digby expliquait ainsi l’interaction entre le sang sur la jarretière de Jacques Howel et la poudre de sympathie : « Premièrement, le soleil et la lumière attireront d’une grande distance et estenduë, (...)
 
Officiellement instaurée par l’empereur romain Constantin en 321, l’observation du dimanche comme jour du Seigneur consacré au repos, pénètre la civilisation chrétienne avec une série de canons et lois (...)
 
En 1816, l’abbé de la Mennais estimait de son « devoir d’appeler l’attention publique sur l’affligeant spectacle que Paris offre régulièrement une fois la semaine depuis nos fatales révolutions », une (...)
 
Période annuelle de jeûne et d’abstinence débutant le lendemain du mardi-gras et s’achevant à Pâques, le carême ne fut réellement réglementé qu’à compter du IVe siècle, des conciles menaçant de lourdes (...)
 
Il n’est pas surprenant qu’on ait dans les premiers siècles du christianisme mangé des œufs, sans scrupule, même au temps de carême, l’opinion des Pères et des conciles ayant d’abord établi que la (...)
 
Au XVIIe siècle, ce n’était pas seulement à Paris que l’autorité veillait : à Toulouse, un arrêt du Parlement, du 22 février 1663, interdit aux boulangers et pâtissiers de cette ville de fabriquer et de (...)
 
Présenté par la littérature comme doué d’une excellente mémoire et d’une intelligence presque humaine, l’éléphant, dont le plus grand ennemi serait le dragon, s’avèrerait en outre mélomane selon quelques (...)
 
Selon le Roman d’Alexandre, dont la première version date du IIIe siècle, « les deux plus contraires bestes et plus grant adversaires, c’est le dragon et l’éléphant, qui à merveilles se heent [haïssent] (...)
 
Au Moyen Age, une pratique voulait qu’on se vouât aux saints les plus renommés en nouant un fil autour du membre malade, avant d’en faire la mèche d’un cierge brûlé en l’honneur du thaumaturge s’il y (...)
 
Deux célèbres guerriers de la Grande-Bretagne, Néventer et Derrien, qui vivaient au commencement du IVe siècle, revenant d’un pèlerinage en Orient, passaient sur le territoire arrosé par la rivière de (...)
 
Au Moyen Age existait la coutume du jactus lapilli ou « jet de pierre », déjà connue du droit romain pour la dénonciation du nouvel œuvre, procédure permettant de s’opposer aux modifications de l’état (...)
 
Le 5 novembre 1567, le roi Charles IX « ayant esté adverty par Jean des Gallans, sieur de Pezerolles, qu’il avoit un secret en main pour transmuer tous métaux imparfaicts, en fin or et argent », (...)
 
Cultivée pour ses propriétés tinctoriales dans quelques provinces de France les premiers siècles de notre ère, la garance devient l’apanage de la Flandre puis de la Hollande à la fin du Moyen Age, (...)
 
Des expériences de culture de la garance démontrèrent que la plante non seulement n’épuisait pas la terre, mais encore que les labours qu’elle exigeait disposaient cette terre à produire en abondance (...)
 
En 1821, le conseil général du Vaucluse vota une tablette de marbre avec une inscription, qui fut placée dans le Musée Calvet, à Avignon : « A Jean Althen, Persan, introducteur et premier cultivateur (...)
 
Pour avoir supposément tenu quelques propos antigouvernementaux, un ivrogne notoire se voit accusé de conspirer contre Bonaparte, et sert malgré lui les intérêts de Fouché lorsqu’un attentat est (...)
 
La légende affirme que Nogent-sur-Oise doit son ancien nom, conservé jusqu’en 1906, à Maure et Brigide, princesses écossaises qui, vouées à une vie sainte et virginale, voyagèrent en France sous Clovis (...)
 
Selon Grégoire de Tours et de son temps (fin du VIe siècle), la colline sous laquelle étaient enterrées les corps des saintes dont on avait perdu la connaissance, était si couverte d’épines, de (...)
 
Peu usitées durant les premiers siècles du Moyen Age, les contemporains leur préférant les litières ou montant à cheval, les voitures roulantes reprennent l’avantage au XIVe siècle notamment sous la (...)
 
Des constructeurs s’étant avisés d’adapter des roues aux chaises portatives, ce moyen de transport fut tout de suite en faveur et, en 1686, un privilège était accordé au sieur Fresny de Rivière, pour (...)
 
On lit dans Ménage, que l’on donna d’abord le nom de fiacres aux carrosses de louage dont les pèlerins se mirent à faire usage pour aller de Paris aux lieux qui possédaient la châsse de saint Fiacre, à (...)
 
Autorisée par le roi après que les religieux de Cherbourg s’y fussent d’abord opposés avant d’y voir une façon de compléter leurs revenus, la foire Saint-Clair s’avérait également lucrative pour le (...)
 
Si les jeux furent peu nombreux en Picardie pendant la guerre de Cent Ans, particulièrement affectée par ce conflit, les hommes de ce temps gardaient en vrais enfants une curiosité naïve, un besoin (...)
 
Au milieu du XVIIIe siècle, Alléon Dulac disait : « La différence qui se trouve entre la châtaigne et le marron vient de ce que l’arbre qui a produit celui-ci a été enté. La réputation des marrons de (...)
 
L’idée de Roux, dit Marsilly, huguenot et fils d’un épicier de Nîmes, d’attenter aux jours de Louis XIV, naquit d’un ressentiment d’avoir perdu, avec son frère, la somme de 50 000 livres avancée à (...)
 
Chargées de l’entretien du linge des familles aisées et bien que jamais érigées en corporation régulière, les blanchisseuses ou lavandières doivent se plier au XVIIe siècle aux exigences d’une (...)
 
L’origine des bateaux-lavoirs remonte au XVIIe siècle. Le 16 septembre 1623, un traité assurait à un entrepreneur le droit à perpétuité de mettre sur la Seine « des bateaux pour servir à laver la (...)
 
« Il n’y a pas de ville où l’on use plus de linge qu’à Paris », écrit Mercier vers 1780 dans son Tableau de Paris. Et d’affirmer que « telle chemise d’un pauvre ouvrier, d’un précepteur et d’un commis (...)
 
Sans avoir fréquenté l’école ni reçu aucune culture, sans parenté ni alliance, le dauphinois Barthélemy de Laffemas, de chaussetier de l’écurie du prince de Béarn, se hisse au rang de porte-parole des (...)
 
Parmi les mesures préconisées par Laffemas et devant modifier les conditions générales de l’industrie, figurait la refonte générale des règlements de communautés. Les intéressés eux-mêmes, marchands ou (...)
 
Pour sortir l’industrie française de l’ornière, Laffemas se montra très supérieur à son temps. Se préoccupant de reconstituer le personnel de l’industrie, un grand nombre d’ouvriers, parmi les plus (...)
 
À la tête d’une immense fortune étrangement et en hâte amassée, l’alchimiste Etienne Vinache est jeté à la Bastille où il se « suicide » un mois plus tard, le lieutenant de police se déplaçant en personne (...)
 
Interrogé par d’Argenson, un nommé Thuriat, que Vinache avait pris à son service en août 1702 en qualité d’artiste pour la chimie, révéla qu’il avait eu connaissance d’un projet des domestiques de (...)
 
Dès le XIIe siècle, nombre d’ordonnances défendent aux filles publiques de porter vêtements et bijoux que la mode fait rechercher par les dames de qualité, le XIXe siècle voyant éclore l’idée d’un (...)