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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 32), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 32 (Octobre/Novembre/Décembre (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 32 : thé ; roi des ribauds ; industrie cotonnière ; Quevaise ; dames blanches ; René Caillié...
Numéro 32
(Octobre/Novembre/Décembre 2009)
 
Sur le territoire des Nans, dans le Jura, au sommet d’une montagne boisée, existait il y a plus d’un siècle certain manoir qui n’était qu’un monceau de ruines, le donjon de la Berne. La tradition affirme que Claude-Antoine Bell, originaire de Supt, meunier aux Nans, revenant d’une foire de (...)
Publié le jeudi 28 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Précurseur des commissaires de police, le roi des ribauds, né du besoin d’encadrer les hordes de pillards et paillards gravitant autour de l’armée royale, garde bientôt les portes du palais, se fait (...)
 
D’après un capitulaire de Charlemagne sur la police intérieure des domaines royaux, les officiers du palais (ministeriales palatini) préposés à la surveillance et à la garde de ces domaines avaient (...)
 
La royauté des ribauds étant tombée en quenouille après la mort du bon seigneur de Grignaux, « ce fut une dame, et une grande dame quelquefois », écrit Rabutaux dans son curieux mémoire sur la (...)
 
Au XIIIe siècle, la dévotion introduit dans le costume un nouvel ornement, les patenôtres, désignant ce que nous appelons aujourd’hui un chapelet. D’or ou d’argent pour les riches, voire incrusté de (...)
 
Jusqu’au XVIe siècle, il y avait parmi le peuple, quelquefois même parmi les militaires, peu de gens, excepté les clercs, en état de suivre l’office divin le livre à la main, encore moins assez riches (...)
 
Dès le XVIIIe siècle, Moncrabeau s’illustre par l’esprit humoristique de ses habitants, une Diète s’étant constituée ayant en charge l’envoi de brevet et lettres patentes à tout hâbleur passé maître dans (...)
 
Constituant deux des communautés les plus importantes, travaillant notamment pour l’Eglise et la noblesse, ce qui leur confère de confortables privilèges, les tailleurs d’images représentent par la (...)
 
Dans le tableau du port de Dieppe, de Vernet (1765), on voit un colporteur, sa hotte sur le dos, toute bourrée de ces menus ouvrages, dont la provenance nous est indiquée par le crucifix d’ivoire (...)
 
Au début du XXe siècle, les ivoiriers dieppois, arrière-garde d’une armée décimée, nous renseignent sur le mal dont souffre leur profession et les remèdes à essayer : « L’ivoire, disent-ils tous, n’est (...)
 
Dès le VIe siècle, le génie du commerce faisant entreprendre quelques voyages lointains, un moine égyptien, Cosmas, qui fut d’abord marchand à Alexandrie, explora l’Ethiopie et l’Inde, nous laissant le (...)
 
Souvent de violentes querelles s’élevèrent, non seulement entre individus, mais entre des villes, pour la possession de reliques. Ainsi, lorsque saint Martin, évêque de Tours, rendit le dernier soupir (...)
 
Cette façon de caractériser un compte, un mémoire sur lequel il y a beaucoup à rabattre, ne date pas, comme on le croit trop généralement, de la première représentation du Malade imaginaire, mais (...)
 
De l’habitude du marronnier du 20 mars, « messager du printemps » enraciné aux Tuileries, d’étaler précocement ses feuilles, notamment lorsque l’Aiglon vit le jour en 1811, naquit le sens figuré du mot « (...)
 
En 1875, un chroniqueur de la Semaine des familles invitait Alphand, directeur général des promenades de Paris, à faire sonder les flancs du vénérable marronnier du 20 mars : « Je ne voudrais pas (...)
 
Commise en 1828, une erreur du Cabinet noir, chargé depuis Louis XIII de violer le secret des lettres afin de garantir la « sûreté de l’Etat », contraint le gouvernement à en révéler officiellement (...)
 
En usage chez les Chinois dès la plus haute antiquité, le thé, auquel ils prêtent des vertus digestives et dépuratives, est introduit par les Hollandais en Europe au XVIIe siècle à la faveur d’un (...)
 
Scarron faisait usage du thé en 1659, et en 1680, Madame de la Sablière qui eut l’idée d’y mêler du lait. La princesse de Tarente en prenait douze tasses par jour, et affirmait à Madame de Sévigné dans (...)
 
On avait depuis longtemps cherché à acclimater le thé en Europe, Jean Nieuhoff écrivant déjà vers 1660 : « Sa semence noirâtre jetée en terre produit au bout de trois ans des jolis arbrisseaux de la (...)
 
En 1569 s’élève une première plainte contre l’exercice ancestral de la Quevaise au sein de plusieurs diocèses de Bretagne, qui prévoit non seulement le retour d’une terre au seigneur lorsque le (...)
 
Loin de n’exister qu’en Bretagne, le droit de Quevaise avait également été institué sous le nom de Maisneté en Artois, Picardie et Hainaut ; Madelstade en Flandre ; Accès ou Juveignerie en Alsace, où il (...)
 
Passionné dès l’enfance pour les voyages, Caillié, désargenté, s’embarque à 16 ans pour le Sénégal et prend part à plusieurs expéditions dont l’issue malheureuse n’entame pas sa soif de découverte, avant de (...)
 
Immobilisé à Timé par la fièvre en 1827, Caillié, qui s’apprêtait à quitter la ville lorsque le scorbut s’empara de lui, s’exprimera plus tard ainsi : « Mon palais fut entièrement dépouillé, une partie des (...)
 
Le voyage retour de Caillié en Europe, entamé le 4 mai 1828 après sa découverte de Tombouctou, fut également émaillé d’épreuves, la traversée du désert du Sahara étant source d’indicibles fatigues : les (...)
 
Les anciens attribuaient à plusieurs plantes potagères le pouvoir d’exercer une action sur la vue. Parmi les liliacées, l’ail et le poireau passaient pour diminuer l’acuité visuelle, l’oignon et la (...)
 
Le Journal des savants du 15 février 1677 nous apprend que l’Anglais Richardson, surnommé l’incombustible et le mangeur de feu, « mâche des charbons, que l’on voit longtemps ardents dans sa bouche ; (...)
 
Le vallon de Troussepoil était anciennement le repaire d’une grosse bête noire à long poil, faite comme un ours, qui ravageait le pays à plusieurs lieues à la ronde. Le monstre prenait plaisir à se (...)
 
Utilisée comme succédané de l’asphalte pour endiguer asthme, toux, hémorragies ou maladies de la peau, la résine des momies laisse bientôt la place au cadavre lui-même savamment et minutieusement (...)
 
Signes d’une activité commerciale et issus d’une fabrication confinée en Orient, les premiers vêtements de coton signalés en Europe comme des objets précieux datent de la période des croisades, et si la (...)
 
Selon Lasteyrie, la cause de l’industrie cotonnière en France paraissait encore avoir besoin de défenseurs vers le commencement du XIXe siècle : « Malgré tous les avantages du coton, on s’est récrié (...)
 
Au début du XIXe siècle, le versement d’une prime gouvernementale aux personnes se livrant à la culture du coton excita l’émulation de plusieurs agriculteurs dans diverses parties de la France, les (...)
 
Fondée vers 518, la communauté monastique du Moutier-Rozeille, en Creuse, semble promise à la prospérité, recevant même Charlemagne en 803, lorsqu’au milieu du IXe siècle elle assassine l’un de ses (...)
 
L’arrêté de 1671 qui autorisait les chanoines du Moutier à s’installer à Aubusson étant soumis à l’avis et l’approbation de l’évêque de Limoges, le prélat consulté, François de la Fayette, trouva l’occasion (...)
 
Revenantes ou druidesses, les dames blanches ou franches pucelles aimant à surprendre d’une voix douce et à la faveur de la nuit leurs « victimes » au détour de sentiers tortueux, si elles sont (...)
 
Rien de plus émouvant, de plus dramatique que l’évocation de cet esprit de malheur qu’est parfois la dame blanche, à une époque où la cité lyonnaise, éprouvée par de récents désastres, s’abandonnait aux (...)
 
Sur le territoire des Nans, dans le Jura, au sommet d’une montagne boisée, existait il y a plus d’un siècle certain manoir qui n’était qu’un monceau de ruines, le donjon de la Berne. La tradition (...)
 
Sous Charles VI, une révolte du peuple lyonnais contre les autorités alimentée par quelques séditieux ayant été endiguée, les habitants d’un quartier n’y ayant pas pris part, créent une fête par goût de (...)