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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 23), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 23 (Juillet/Août/Septembre (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 23 : Bertrand d’Ogeron ; la Gazette ; fête des Ecoliers ; crayon moderne ; vouivre ; ancestrale harpe...
Numéro 23
(Juillet/Août/Septembre 2007)
 
Un Mémoire que Bertrand d’Ogeron fit présenter à la cour en 1669, relate les progrès faits sous sa conduite. « Il y avait à la Tortue et sur la côte de Saint-Domingue, environ quatre cents hommes lorsque j’en fus nommé gouverneur il y a quatre ans. On en compte aujourd’hui plus de quinze cents ; et cette augmentation est arrivée pendant la guerre, malgré (...)
Publié le dimanche 17 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Instituée par Louis XI en 1479 en l’honneur de l’illustre roi des Francs considéré à tort comme le fondateur de l’Université de Paris, la Saint-Charlemagne, jour de congé pour les écoliers, ne s’imposa (...)
 
Conquérant, législateur, politique, amateur et protecteur des lettres, des sciences et des arts, Charlemagne avait le goût et le sentiment innés de ce qui rend l’homme puissant et noble sur la terre. (...)
 
L’institution de la Saint-Charlemagne fut très sérieusement menacée lors de la Révolution. Le procès-verbal de la séance du 28 janvier 1793 du Conseil Général de la Commune, qui siégeait à (...)
 
Souvenirs des ornements dont les rois et leurs premiers officiers se paraient lors d’importants événements, les chaperon, manteau, mortier, épitoge ou encore rabat, qu’arborent les magistrats des (...)
 
La robe ordinaire des avocats a toujours été de couleur noire, de même que celle des autres officiers de justice : mais il n’est pas douteux que leur robe de cérémonie était la robe rouge ou (...)
 
Sous la Révolution, la proscription de l’ancien costume parlementaire s’appliqua également au tribunal de cassation. Aux termes du décret des 11 et 18 février 1791, les membres de ce tribunal, ainsi (...)
 
En 1688, Antoine Briasson, qui tenait alors une librairie rue Mercière à Lyon, donna une nouvelle édition de L’aimable Mère de Jésus, recueil de méditations tendrement mystiques composé par un jésuite (...)
 
Le bouillon blanc, que ses feuilles molles et si douces au toucher font appeler couramment molène, figure en toute première ligne parmi les plantes médicinales de la pharmacopée populaire. La vertu (...)
 
Dans son Dictionnaire Rouchi-Français, Hécart avance la signification suivante de l’expression muche-pot : « Le mot mucher en langage rouchi, et aussi, paraît-il, en patois picard, veut dire cacher. (...)
 
Si les anciens usèrent pour écrire de tablettes de cire gravées au stylet, ils n’en connurent pas moins la plume et l’encre liquide, qui très tôt se répandirent en Europe. Noire, l’encre provenait d’une (...)
 
Parmi les anciens manuscrits qui nous restent, il en est beaucoup dont les titres, les initiales, les vignettes, les encadrements sont ornés d’argent et d’or ; quelques-uns sont entièrement écrits (...)
 
Animal fabuleux s’abritant notamment dans les grottes de Franche-Comté et de Bourgogne, la vouivre serait un serpent ailé au corps de feu, mourant de tristesse et de désespoir pour peu qu’un homme (...)
 
La légende prétend que la vouivre, appelée dragon-volant par les paysans de l’Ain et du Dauphiné, eut l’audace de venir, en plein XIXe siècle, dans les environs de Lyon. En 1851, par une belle soirée (...)
 
Un soir d’automne, un paysan franc-comtois nommé Jean-Claude, dont l’enfance avait été bercée au récit des légendes de la vouivre, après avoir longé les prés humides d’Epenouse, arriva à la source de la (...)
 
En 1715, l’extravagance de l’ambassadeur envoyé par le Shah de Perse auprès de Louis XIV pour faire appliquer un traité signé en 1708, bouscule le protocole établi et fait craindre le pire pour les (...)
 
On avança souvent que l’ambassade persane fut organisée par les ministres de Louis XIV, Pontchartrain principalement, pour flatter sa vanité si rudement châtiée dans sa vieillesse. La Palatine (...)
 
Bâtie au cœur du Larzac par les Templiers vers le milieu du XIIe siècle, la Couvertoirade peut s’enorgueillir de posséder château et remparts qui en firent une inexpugnable citadelle n’ayant de prise (...)
 
Se déroulant à Saint-Lumine lors de la Pentecôte et nécessitant de longs préparatifs, la fête du Cheval Mallet serait liée à un ancien droit seigneurial : mettant en scène, une semaine durant, un cheval (...)
 
La cérémonie du Cheval Mallet n’était-elle point ancestrale ? Ne tient-elle pas au culte des druides, ainsi que le font présumer le chêne, le cheval et les baguettes fleuries ? Ces deux hommes, armés (...)
 
La civilisation antique avait produit des troupes de musiciens faiseurs de tours, chanteurs ou autres artistes dont le rôle était d’amuser dans les intérieurs. A Rome, les pantomimes et la musique (...)
 
Dans ses Antiquités de Vésone, W. de Taillefer suit, à partir de Périgueux, le tracé de la route de Saintes, près de laquelle, dans la commune de Marsac, avait été découvert en 1754 la célèbre colonne (...)
 
Si, au XIVe siècle, la médecine ne sort pas des vieilles ornières, si la chirurgie, tout en conservant, en France comme en Italie, le caractère clinique qu’elle avait repris à Salerne, ne fait pas de (...)
 
Instrument sacré connu dès l’Antiquité mais dont le nom apparaît au VIe siècle, la harpe est tenue en haute estime tant chez les princes que les particuliers et troubadours. Portative et prétendument (...)
 
Mme de Genlis n’était pas seulement une excellente exécutante ; elle avait une vocation irrésistible de professeur. Quoi qu’elle apprît, elle avait hâte de l’enseigner. Aux fêtes qu’elle donna à son (...)
 
On connaît les merveilles racontées par les écrivains de l’Antiquité au sujet de la harpe d’Éole, qui, exposée, dit-on, à un courant d’air, résonnait d’elle-même, et faisait entendre un délicieux mélange de (...)
 
Liée à celle des charpentiers, la corporation des tonneliers acquiert son indépendance en 1376, le métier étant parfois raillé voire méprisé dans certaines provinces, mais jouissant d’une excellente (...)
 
Par un atour des maîtres muitiers et tonneliers de Metz confirmé en 1320, ces derniers s’obligèrent à perpétuité envers la ville à porter secours aux incendies avec leurs muids ; en reconnaissance, (...)
 
En appliquant le nom de verbena à une plante particulière, les modernes imaginèrent qu’il s’agissait de celle à laquelle les Anciens avaient attribué des propriétés médicales, sacrées, magiques et (...)
 
Publication prolongeant l’action du Bureau d’adresse et de rencontre créé par le chirurgien et médecin du roi Renaudot, la Gazette est le premier journal français. Paraissant tous les huit jours et (...)
 
Voltaire écrit dans son Encyclopédie méthodique, au mot Gazette : « Relation des affaires publiques. Ce fut au commencement du XVIIe siècle que cet usage utile fut inventé à Venise, dans le temps que (...)
 
Parmi les contrefaçons de la Gazette de Renaudot, citons le Courrier universel, fidèle rapporteur des choses les plus remarquables qui se sont passées dès le commencement de l’année de 1631 jusques à (...)
 
Utilisé dès le XIe siècle, le crayon de plomb est bientôt détrôné par celui de plombagine, anglais et préfigurant le crayon moderne, avec sa mine entourée de bois et ne déchirant pas le papier, l’Histoire (...)
 
Dans son rapport du 25 mai 1796, l’Institut ne tarit pas d’éloges sur Conté : « Pour bien faire connaître à l’Institut le degré de confiance que méritait dès lors le travail préliminaire de ce citoyen, et (...)
 
S’attachant affection et respect des flibustiers pourtant habitués à n’obéir qu’à eux-mêmes, l’angevin Bertrand d’Ogeron, nommé gouverneur de l’île de la Tortue et de Saint-Domingue en 1665, ouvre à la (...)
 
L’aversion des Frères de la Côte pour les Espagnols était surtout aigrie par un levain de ressentiment personnel de ce qu’ils se voyaient interdire la chasse et la pêche, qu’ils croyaient avec raison (...)
 
Un Mémoire que Bertrand d’Ogeron fit présenter à la cour en 1669, relate les progrès faits sous sa conduite. « Il y avait à la Tortue et sur la côte de Saint-Domingue, environ quatre cents hommes lorsque (...)
 
Riches en sources d’eaux minérales, les paysans basques, à l’exemple de leurs voisins, les entouraient jadis d’un culte superstitieux, usant également de curieux remèdes contre les maladies liées au (...)