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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 22), revue historique

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Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 22 : palais de l’Elysée ; faire ripaille ; routes françaises ; oeufs nivernais ; orpailleurs ; heures des repas...
Numéro 22
(Avril/Mai/Juin 2007)
 
Parmi les seigneurs entretenant des intelligences avec les ennemis du duc, se trouvaient deux gentilshommes de grands chemins, qui détroussaient les passants, rançonnaient les voyageurs, vivaient enfin d’exactions, de rapine, de vols et de meurtres : Aynard de Cordon, seigneur des Marches et de la (...)
Publié le dimanche 17 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

En 1576, tandis qu’édits et ordonnances se succèdent depuis un siècle en faveur de la réparation des chemins ruinés par la corruption des péagers, le brigandage et les abus des riverains, les Etats (...)
 
Le grand chemin de Paris à Orléans, dont la continuation fut décidée par lettres patentes du 15 février 1556, était une allée pavée, d’environ 4 mètres de large, au centre de la route, avec, de chaque (...)
 
A la faveur des guerres, les brigands s’étaient multipliés et redoublaient d’audace. La tentation était grande pour les bandits de s’embusquer derrière une haie, à un passage difficile ou montueux, et (...)
 
Dans les mains d’envoyeux, les œufs en nombre impair peuvent nuire à la récolte d’autrui, une conjuration « par le bien fait » permettant seule de s’en mettre à l’abri. Mais coquilles et œufs pondus la (...)
 
Pendant l’Exposition de Chicago de 1893, les camelots vendaient des œufs portant l’empreinte d’une photographie. Il ne s’agissait pas, comme on pourrait le croire, d’une image sur papier, collée sur (...)
 
Si les ouvriers du Moyen Age se nourrissent déjà de trois repas quotidiens, les gens aisés se contentent de deux : le dîner, pris le matin vers 10 heures et le souper, le soir vers 6 heures. Ces (...)
 
Deux siècles et demi avant que cela devînt une coutume, Louis XII s’avisa de prendre son dîner à midi au lieu de huit heures, après son mariage avec Marie d’Angleterre, « jeune guilledine [haquenée] qui (...)
 
L’heure du théâtre avait naturellement varié en même temps et dans le même sens que celle du dîner. Une ordonnance de novembre 1609 enjoignait aux comédiens de commencer à deux heures ; ce moment fut (...)
 
En dépit des protestations de l’Église, la passion du travestissement est au XIVe siècle bien enracinée en France et bientôt, aux faux-visages succèdent les loups qui, portés dans les rues, favorisent (...)
 
Au XVIe siècle on courut, la nuit, et quelquefois le jour, en masques par les rues depuis la veille de la Saint-Martin jusqu’à la semaine sainte. Cela était permis « à toutes gens aux jours et heures (...)
 
Sculpteur et graveur italien, Nini voyage avant de s’établir à Chaumont, employé comme graveur sur verre dans un château reconverti en usine, avant d’exceller dans la confection de médaillons que (...)
 
Il suffisait aux Gaulois de tendre la main pour recueillir dans les nombreux cours d’eau aurifères ce précieux métal dont le Nouveau Monde abreuvera 1500 ans plus tard l’ancien. Au XVIIIe siècle, le (...)
 
Un arrêt du Conseil d’Etat du 9 novembre 1751, nous révèle que la cour des Monnaies de Toulouse fut dès le Moyen Age en possession de la juridiction et de la police des orpailleurs. Le roi y stipule (...)
 
A la fin du XIXe siècle, un certain Clément Trouillas, qui gardait ses chèvres près du hameau des Avols en Ardèche, ramassa une pierre singulièrement lourde et la tenait à la main au moment où l’une (...)
 
Construit en 1718 au lieu dit les Gourdes que bordent jardins maraîchers et guinguettes, l’hôtel d’Évreux fut notamment propriété d’une Pompadour y voyant un lieu sûr la préservant de Parisiens hostiles, (...)
 
En avril 1797, les Hovyn, alors simples locataires de l’Élysée, s’acquittèrent des formalités nécessaires pour donner des bals les 4, 7 et 10 de chaque décade : il y avait alors en effet plus de 1800 (...)
 
Une lettre d’Alphonse Taillandier, président de la Chambre des députés, adressée en 1848 au ministre de l’Instruction publique, donne à penser que l’Élysée fut alors pressenti pour devenir une (...)
 
Le mot industrie ne s’imposa définitivement dans son acception actuelle que sous le Second Empire. Au XVIIe siècle, il n’y a pas de grande industrie au sens où nous l’entendons aujourd’hui ; il y a des (...)
 
Longtemps en France la puissance paternelle ne fut autre que celle du droit romain, excepté toutefois dans les pays coutumiers. En 1790 l’Assemblée constituante généralisa, dans toute l’étendue du (...)
 
Une fort curieuse cérémonie se déroula le 31 décembre 1907 dans les caves de l’Opéra Garnier, qui ont la proportion de magnifiques souterrains, dans lesquels passe même une rivière. Un groupe de (...)
 
On attribue deux miracles à Dagobert, roi d’Austrasie exilé à l’âge de 4 ans par des conspirateurs ayant tué son père, plus tard assassiné dans la forêt de Woëvre en 679, et dont on retrouve le tombeau en (...)
 
Dans les villes du Midi, la multiplication des confréries religieuses depuis le rétablissement du culte catholique par Louis XIII, est source de rivalités, comme à Pau où en 1716, les influents (...)
 
Les confréries de Pénitents bleus de l’Agenais ne tardèrent pas à s’apercevoir que la cagoule « violine » très difficile à nettoyer, prenait à l’usage des irisations polychromes supportant mal la (...)
 
Tenu en haute estime, l’art céramique gaulois disparaît avec l’invasion barbare pour renaître au XIIe siècle, enrichi du procédé de l’émail imperméabilisant la poterie. A la faveur des guerres et à l’aube (...)
 
Dans une quittance du 7 mars 1548, « Masseot Abaquesne, esmailleur en terre », reconnaît avoir reçu la somme de « cent escus d’or soleil sur et tant en diminuant que rabattant sur le prix et sommes (...)
 
Avant que Palissy songeât à créer ses rustiques figulines, une mystérieuse et unique fabrique s’était élevée dans le bourg d’Oiron ou de Saint-Porchaire (distants de 30 km), près de Thouars, et produisit (...)
 
Si l’on eût prêté au début du XVIIe siècle quelque attention aux expériences d’un médecin de Tournon au sujet d’une fontaine qui brusle près de Grenoble, on aurait alors déjà pu jouir des bienfaits du gaz (...)
 
Il est peu d’étymologistes qui n’aient avancé, peu de dictionnaires qui n’aient répété que faire ripaille tenait sa source de la vie débauchée menée par Amédée VIII de Savoie dans sa retraite près de (...)
 
Parmi les seigneurs entretenant des intelligences avec les ennemis du duc, se trouvaient deux gentilshommes de grands chemins, qui détroussaient les passants, rançonnaient les voyageurs, vivaient (...)
 
Si des accusations d’un genre tout différent de la supposée bonne chère furent émises contre Amédée VIII, elles semblent, si elles étaient fondées, de nature à détruire mieux encore les premières. Pogge, (...)
 
L’acte le plus remarquable du ministère du chancelier Maupeou, fut la dissolution violente du parlement en 1771, afin de réformer en profondeur le pouvoir judiciaire. La vénalité des offices était (...)
 
Dans son Dictionnaire argotique, Francisque Michel donnait de voyou la définition suivante : « faubourien de Paris, homme, enfant mal élevé. Ce mot indique bien l’homme de la voie publique, de la rue (...)
 
Sous l’Ancien Régime, un mariage par procuration était valable, si l’on en juge par la loi au Digeste de ritu nuptiarum, et sur une décrétale de Boniface VIII. Il est même à remarquer que le pape (...)
 
Survivance de la pyrrhique des Grecs, le Bacchu-Ber est la seule danse d’épées en chaîne connue en France, qui se déroule chaque année à Pont-de-Cervières dans les Hautes-Alpes, le 16 août, composée de (...)
 
Danse armée des Grecs, d’un caractère à la fois guerrier et religieux, la pyrrhique tenait une grande place chez les Spartiates, chez les Crétois, et en général chez les peuples doriens, dans (...)
 
L’arrivée en 1749 du premier rhinocéros jamais vu en France, si elle attise la curiosité tant des Parisiens et provinciaux que de la Cour, et fait naître les coiffures à la rhinocéros, n’empêche pas la (...)