Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 10), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 10 (Avril/Mai/Juin 2004)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 10 : port du voile ; fantasmagorie ; vêtement paysan ; pierres scandaleuses ; Antonin Carême ; couturières...
Numéro 10
(Avril/Mai/Juin 2004)
 
Au cœur du Paris du XIXe siècle, celui des artistes et des flâneurs, on rencontrait au détour d’une rue ou d’un jardin public de truculents personnages, véritables saltimbanques à la notoriété fugace, qui animaient la capitale et dont seule l’Histoire pittoresque mentionne l’existence pour en conserver le (...)
Publié le mardi 12 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Prenant peu à peu le nom de potage car servie avec force légumes et herbes potagères, la soupe ordinaire aurait pris ses marques chez les Gaulois, qui utilisaient le bouillon de cuisson de leurs (...)
 
Avant l’avènement du premier restaurant, qui fut établi par Champ-d’Oiseau, rue des Poulies à Paris, les aubergistes, ou traiteurs...
 
Au XVIe siècle, l’arrivée des herbes aromatiques dope l’imagination des cuisiniers qui, déjà, ne manquaient pas d’idées pour accommoder les noms de leurs préparations à l’assaisonnement qu’ils y (...)
 
Réprimées par les autorités, les velléités paysannes d’imiter le costume des bourgeois se manifestent au lendemain du Moyen Age. Si lente est la gestation de la tenue vestimentaire campagnarde qu’il (...)
 
A la fin du XVIIe siècle, madame de Sévigné conseille après moult réticences à sa fille de se coiffer « à la paysanne », mode instaurée par la coiffeuse Martin et dite à la (...)
 
Au temps de Louis XV, les campagnardes possèdent presque toutes des croix ou des anneaux d’or et d’argent. Il faut en effet qu’une paysanne soit réduite à l’indigence pour ne pas avoir au moins un (...)
 
En 1836, un véritable séisme secoue le monde de la presse. D’œuvre par excellence, le journal devient mercantile, l’objectif, vilipendé par certains, étant désormais de séduire le plus grand nombre de (...)
 
Art de faire apparaître des fantômes et des images de corps animés à l’aide des illusions de l’optique, la fantasmagorie est cet ancêtre du cinéma qui fait fureur en France dès 1798, lorsque le Liégeois (...)
 
La fantasmagorie optique connaît ses premières heures de gloire avec le moine Grundler, un siècle avant l’apparition du fantascope. Mais on ignore comment il parvenait alors à faire se donner en (...)
 
« Après plusieurs détours propres à changer l’impression du bruit profane d’une grande cité, après avoir parcouru les cloîtres carrés de l’ancien couvent, décorés de peintures fantastiques, et traversé mon (...)
 
Devant la pénurie parisienne de viandes et autres denrées de première nécessité, causée en 1793 par les ennemis de la République et de la Révolution, l’Assemblée générale de la Section du Finistère prend (...)
 
Féru d’alchimie, un certain Duchanteau se livra, peu avant la Révolution, à une curieuse expérience dans son laboratoire parisien situé près de l’église Saint-Roch. Tous les ouvrages s’accordant à dire (...)
 
Équiper » des insectes en vue d’en faire de véritables messagers militaires ne relèverait plus de la science-fiction depuis 1916 : des expériences visant à remplacer les célèbres pigeons voyageurs par (...)
 
Marque ostensible du respect ou de la crainte des dieux, symbole d’une grande dévotion se substituant au sacrifice humain, ou façon pour un meurtrier involontaire d’exorciser sa culpabilité, le (...)
 
Enjeu de moult batailles eu égard à son relief et à sa proximité de Paris, Montmartre est déjà un lieu de culte au VIIIe siècle. L’édification d’un monastère en fait un haut lieu de pèlerinage, avant (...)
 
A côté de ses célèbres moulins, Montmartre abritait plusieurs fontaines dont les eaux passaient pour avoir de curatives voire de magiques vertus. Montmartre était autrefois couvert de moulins ; au (...)
 
Femmes stériles et maris impuissants invoquaient naguère des saints dénoncés par la religion, qui en avait condamné le culte comme superstitieux et scandaleux. Les statues de leurs idoles Paterne, (...)
 
Gros blocs présentant une forme conique les faisant ressembler grossièrement à d’énormes phallus, ces symboles primitifs de la puissance créatrice sont nombreux dans le Sud-Ouest, longtemps l’objet de (...)
 
Personnifiant initialement la fécondité du sol, Priape était un dieu pastoral et maritime, protecteur des troupeaux, des abeilles, des pêcheurs. L’empire romain en fit un dieu de la virilité, de la (...)
 
En 1861, l’administration, chargée de veiller aux intérêts de la santé publique mais aussi à ceux du commerce, laisse entrer au port de Saint-Nazaire un navire chargé de sucre en provenance de la (...)
 
Né en 1784 à Paris d’une famille pauvre, Marie-Antoine Carême passe en quelques années de l’officine d’un gargotier aux dîners d’apparat de l’Empire et de la Restauration, acquérant vite une renommée que (...)
 
L’Art culinaire nous apprend qu’après l’arrivée de l’armée russe aux portes de Paris, Carême reçut une lettre signée du tsar Alexandre Ier, le mettant « en réquisition pour ordonner et diriger le banquet (...)
 
Dans son discours préliminaire du Pâtissier royal, Carême porte un jugement sévère sur ses confrères écrivains ou cuisiniers, qu’il accuse de disserter sur l’art culinaire et de ne pas le traiter... « (...)
 
Métier jadis réservé à la gent masculine, la confection de vêtements est longtemps l’apanage d’une corporation faisant valoir ses droits à grand renfort de plaintes, amendes et autres saisies, bien (...)
 
En 1675, le roi ayant entendu « la demande de plusieurs femmes et filles appliquées à la couture pour habiller jeunes enfants et femmes », celles-ci ayant montré que « ce travail était le seul moyen de (...)
 
Des modistes soignant leur mise et jacassant sur les trottoirs, aux jeunes coursières délurées apparaissant au XVIIIe siècle, le monde de la mode a séduit les voyageurs étrangers dont les relations ne (...)
 
Élevé au rang d’offrande cultuelle par les peuples antiques, le sanglier s’affiche fréquemment sur les monnaies gauloises. Mais s’il force le respect, il n’en demeure pas moins une proie de choix dont (...)
 
Pris jeune, le sanglier est susceptible d’éducation, s’attachant alors à son maître et recherchant ses caresses. On a vu des sangliers se livrer à certains exercices, prendre des attitudes variées, (...)
 
Fixée voici près de 1700 ans par le concile de Nicée, la date de Pâques est synonyme de réjouissances populaires où les célèbres œufs occupent une place de choix. Qu’ils soient peints et offerts à la (...)
 
La tradition de l’« œuf surprise », peint et décoré, serait née en France sous François Ier. Mais c’est le roi Soleil qui en fait une véritable institution à Pâques, un peintre ayant en charge la (...)
 
Le retour de ces chères cloches de Pâques chargées de friandises est chaque année source d’émerveillement chez des bébés guettant le passage des voyageuses aux robes d’airain. Ce périple fait l’objet (...)
 
Au cœur du Paris du XIXe siècle, celui des artistes et des flâneurs, on rencontrait au détour d’une rue ou d’un jardin public de truculents personnages, véritables saltimbanques à la notoriété fugace, (...)
 
Chanteuse de rue, elle forgea son succès sur le mystère. En ne dévoilant jamais son visage, elle s’assurait de captiver son auditoire...
 
Appelé sapôn par les Grecs, le savon est décrit par Pline comme le produit dont les Massaliotes se servent pour rendre les cheveux blonds. Préparé par les industrieux Marseillais à l’aide de graisse (...)
 
En 1790, paraît à Marseille un écrit dénonçant les méthodes frauduleuses de certains fabricants. Pour sa protection, le savon de Marseille exigea plus encore. Marseille comptait alors une cinquantaine (...)
 
Sous le règne de Louis XIV, les producteurs marseillais de savon doivent successivement lutter contre deux fléaux : les privilèges royaux accordant des monopoles en désavantageant la ville, et la (...)
 
Jouissant d’une position géographique stratégique mais aujourd’hui écologiquement menacée, cette île découverte au XVIIIe siècle fut reconnue propriété française en 1931. Autrefois riche du célèbre guano, (...)
 
Le 9 frimaire de l’an II (1793), le gouvernement mettait en garde les Français contre un dangereux gaspillage : « User de tout ce qui peut être utile et n’abuser de (...)
 
Écrits à la main sur du vélin, les bréviaires des chapelains et prêtres pauvres furent jadis enfermés dans une cage de fer scellée contre le pilier le plus visible et le plus clair de la (...)
 
Qui connaît aujourd’hui l’ancienne place du Châtelet, étroite, mal nivelée, encaissée entre des maisons grises, toujours mouillée par l’eau d’une fontaine, où l’on ne voyait ni arbres, ni enfants, ni cette (...)