LA FRANCE PITTORESQUE
Enquête sur un éventuel séjour de Molière
à la Ferrière-aux-Etangs, en Normandie
(D’après « Bulletin de la Société historique
et archéologique de l’Orne », paru en 1886)
Publié le jeudi 3 janvier 2013, par Redaction
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Le témoignage d’un inconnu affirmant en 1822 que Molière avait pu séjourner en Normandie dans un château nommé Ferrière et y laisser des documents écrits de sa propre main que renfermerait une malle jusqu’alors demeurée introuvable, fut à l’origine de plusieurs investigations, parmi lesquelles une minutieuse enquête menée à la fin du XIXe siècle autour de personnages liés à la commune de la Ferrière-aux-Etangs et aux pérégrinations de la troupe du célèbre dramaturge et comédien
 

Vers 1822, un inconnu, déjà âgé, entrait à la Bibliothèque du Roi, et demandait, au cabinet des manuscrits, si l’on y possédait quelques papiers contenant de l’écriture de Molière. On lui répondit que l’on ne connaissait que sa signature sur une quittance. L’inconnu ajouta qu’il y avait, « dans un-château de Normandie ou d’une province voisine, dans un lieu qu’il nomma Ferrière ou la Ferrière, une malle renfermant des papiers ayant appartenu à Molière, et, parmi lesquels, il s’en trouvait d’écrits par lui. » Il promit de revenir et d’en apporter quelques-uns, mais, depuis, on ne le revit point, et l’on dut croire qu’il était mort.

A cette époque vivait à Paris un certain Beffara, ancien commissaire de police, à qui la connaissance approfondie des hommes avait inspiré un véritable culte pour leur peintre immortel. Ce Beffara, qui fut le premier molièriste, avait déjà consacré plusieurs publications à notre grand comique, quand il recueillit, à la Bibliothèque royale, l’anecdote du mystérieux vieillard. En chercheur scrupuleux, qui ne dédaigne aucune piste, il adressa, le 20 juin 1828, à vingt maires de communes nommées Ferrière ou la Ferrière, dans les départements de l’Eure, de l’Orne et du Calvados, une lettre-circulaire de deux pages in-8°, pour les inviter à faire recherche d’une malle renfermant des papiers ayant appartenu à Poquelin-Molière.

Chapelle du château de la Ferrière-aux-Etangs

Chapelle du château de la Ferrière-aux-Etangs

Legendre, alors maire de la Ferrière-aux-Etangs, reçut sans trop de surprise la circulaire de Beffara, car une tradition du pays qu’il habitait, voulait que Molière fût venu au château de la Ferrière, situé dans la commune voisine de Dompierre. La tradition du pays, erronée en cela, rattachait la présence de Molière à la Ferrière à la possession de cette seigneurie par Louis Berryer, le célèbre commis de Colbert. Louis Berryer, le prétendu Alidor de la satire IX, assez important, disait-on, pour avoir été diffamé par Boileau, avait aussi pu l’être assez pour avoir été diverti par Molière. Mais, Berryer n’ayant acheté le château de la Ferrière qu’en 1671, douze ans après la fin des pérégrinations de l’illustre théâtre, n’a jamais pu y recevoir Molière, comme, n’ayant commencé qu’en 1679 ses constructions d’églises, il n’a jamais pu être cet

... homme d’honneur, de piété profonde
Et qui veut rendre à Dieu ce qu’il a pris au monde,

dont la satire IX parlait, dès 1667. Il paraît avoir été, en revanche, le Criton de la Bruyère.

Le chartrier du château de la Ferrière ayant été saccagé pendant la Révolution, Legendre n’avait qu’un faible espoir de retrouver les précieux manuscrits ; il ne retrouva en effet rien du tout, et ses dix-neuf collègues de Normandie ne furent pas plus heureux.

En 1873, le maire de la Ferrière-aux-Etangs, Morin-Pillière, reçut de Paris une nouvelle lettre, relative à la valise légendaire. Ballande, ayant, organisé au Théâtre Italien une exposition molièresque, son secrétaire, Monval, plus tard bibliothécaire de la Comédie Française, avait repris l’idée de Beffara, en étendant cette fois son enquête à toutes les communes de France appelées la Ferrière. Morin-Pillière accueillit d’autant plus favorablement les recommandations contenues dans cette lettre, qu’il se rappelait, vers 1840, avoir entendu, au collège de Falaise, Hurel, son régent de rhétorique, dire fièrement, en fermant un exemplaire cartonné du Théâtre classique : « Molière est venu chez nous, au château de la Ferrière ! »

Il chercha donc avec un zèle opiniâtre, à la Ferrière et dans les environs, mais il ne fut point récompensé de ses peines, et les maires des autres Ferrières françaises n’obtinrent pas un résultat meilleur. Et cependant, dans notre pays, la tradition subsistait, vivace comme toutes celles qui, acceptées et transmises par plusieurs générations, ont des racines profondes.

Sans avoir, quant à nous, jamais eu l’espérance de retrouver l’inestimable valise, nous avons pensé qu’il serait intéressant d’examiner la tradition que nous venons de constater. Pour le faire, nous avons recherché tout d’abord quels personnages de notre pays, avaient pu connaître Molière. Nous en avons rencontré quatre que nous voulons présenter aujourd’hui : l’acteur Charles Dufresne, le poète les Isles-le-Bas, et — chose qu’il importe de noter — les châtelains de la Ferrière eux-mêmes, Christophe de Halley et Marie de Falaise.

Charles Dufresne, qui signait bourgeois d’Argentan en Normandie, était à la fois le directeur nominal, le metteur en scène et le peintre décorateur de la troupe de Molière. Sa famille, qui paraît originaire de Nantes, s’était installée dans notre pays, au commencement du XVIIe siècle, mais il ne semble pas cependant qu’il y soit né, les registres baptismaux des deux paroisses d’Argentan étant muets sur sa naissance. Il est certain que la famille Dufresne a fourni à l’histoire artistique de notre pays deux véritables célébrités : Claude Dufresne, peintre du duc d’Orléans, et Charles-Louis Dufresne de Postel son fils, membre de l’Académie royale de peinture. Charles Dufresne, le compagnon de Molière, que l’on a souvent confondu avec son neveu Charles-Louis, était le frère et non le fils de Claude.

Molière et sa troupe

Molière et sa troupe

Ce fut au mois de juin 1642, à Montfrin, petite ville d’eaux, située sur les bords du Rhône, que Charles Dufresne, directeur d’une troupe de campagne, paraît, pour la première fois, avoir entrevu Molière. Louis XIII, après l’arrestation de Cinq-Mars, regagnait mélancoliquement Paris. Il s’arrêta quelques jours à Montfrin, pendant qu’à Tarascon, de l’autre côté du Rhône, Richelieu gisait, atteint d’un mal incurable. Pour distraire le roi d’une pénible tragédie dont le dénouement était proche, Mme de Rohan lui donnait la comédie chaque soir.

Les comédiens, à Montfrin, étaient Charles Dufresne, le directeur de la troupe ambulante, Nicolas Desfonlaines, l’acteur-poëte, auteur des Galantes vertueuses, François Delacour et Pierre Réveillon ; les comédiennes Madeleine Dufresne, la soeur du directeur, et une débutante, qui allait rendre immortel dans l’histoire du théâtre son nom encore obscur de Madeleine Béjart ; les spectateurs, un duc d’Enghien, qui devait être le grand Condé, et, derrière le fauteuil du roi, un jeune valet de chambre tapissier, qui remplaçait son père pour un trimestre ; il s’appelait Jean-Baptiste Poquelin de Molière. Molière, en quittant Montfrin, suivit la cour à Paris et Dufresne s’en fut avec sa troupe à Lyon, où, le 8 février 1643, il maria sa sœur avec François Delacourt. Le frère du peintre et le fils du tapissier suivirent jusqu’en 1648 des chemins différents, mais ils se rencontrèrent cette année-là à Paris, où.Molière cherchait pour sa troupe, dont les affaires étaient fort embrouillées, un directeur nominal. Il accepta avec joie pour cela Charles Dufresne qui, outre son nom, apportait à la compagnie des pinceaux suffisants pour brosser une toile de fond et des habits assez propres pour jouer les seconds tyrans.

Et pendant onze années, de 1648 à 1659, Molière et Dufresne ne se quittèrent pas Charles Dufresne, directeur, ou plutôt, comme on disait alors, orateur de la troupe, préparait, à chaque étape, ses représentations et discutait ses intérêts. Aussi le rencontrons-nous partout où le passage de Molière a été constaté : à Albi, en 1647 ; à Nantes et à Fontenay-le-Comte, en 1648 ; enfin à Toulouse, en 1649. En 1653, il inscrit à Lyon, comme il l’avait déjà fait dans plusieurs actes de baptême, son nom au-dessous de celui de Poquelin, sur le contrat de mariage de Duparc et de la Gorla. Peu de temps après — c’est la seule trace de sa carrière d’acteur que nous ayons pu retrouver — il joue Céphée dans l’Andromède de Corneille, un rôle insignifiant dans une tragédie médiocre. Enfin, en 1659, après Pâques, « le sieur du Fresne, nous dit La Grange dans son registre, sortit de la troupe de Molière et se retira à Argentan, son pays natal. »

Nous avons vu qu’il n’y était probablement pas né, mais, comme il signait bourgeois d’Argentan, l’erreur de La Grange est fort explicable. Le comédien se fit-il bourgeois pour tout de bon ? Après la distraction quotidienne d’un gîte nouveau, ne rencontra-t-il pas un invincible ennui dans la petite maison de la rue du Vicomte ? Il est permis de le penser, car les registres d’Argentan ne mentionnent pas son décès. Les gens de théâtre, dans la retraite la plus douce, regrettent jusqu’aux misères du métier qu’ils ont quitté, et laissent fatalement, Brisacier ou Florise, la demeure bourgeoise ou seigneuriale pour s’en aller, au fond de quelque bourgade, remonter sur les tréteaux des comédiens errants. Ainsi fit sans doute notre Charles Dufresne.

Mais il est fort admissible qu’ayant dirigé pendant onze ans la troupe de Molière, il l’ail emmenée un jour dans sa province si, dans un château, il devait y avoir des fêtes, et si, dans ce château, Molière était connu. Tel semble avoir été le cas au château de la Ferrière. La seigneurie de la Ferrière, dès le IXe siècle, était possédée par une famille du même nom. Celte famille avait une généalogie, tant soit peu légendaire et tout à fait païenne, d’après laquelle, en l’an 868, un certain Rioul de la Ferrière, aurait martyrisé le pieux saint Baomer. Mais, à la fin du XVIe siècle, Pierre de la Ferrière étant mort sans enfants, sa soeur, Marie, épouse, de Jean de Falaise, fit passer dans une maison nouvelle la terre de la Ferrière. La petite fille de Jean, Marie de Falaise, héritière du domaine à la mort de Gabriel, son frère, le possédait à l’époque qui nous occupe.

Marie de Falaise avait, en premières noces, épousé Claude de Goué, seigneur de Fougerolles. Veuve avec six.enfants, elle épousa, en 1633, Christophe de Halley, chambellan du duc d’Orléans, fils de Martin de Halley, conseiller au parlement de Rouen. Cette alliance conduisit naturellement la châtelaine de la Ferrière dans la capitale de la Normandie, où elle dut, ainsi que son mari, en 1643, assister aux représentations de la troupe de Molière. En dehors des soirées consacrées au public, les comédiens cherchaient alors un gain supplémentaire dans des visites ou représentations privées données dans les hôtels des seigneurs et des magistrats.

Christophe de Halley, issu d’une famille parlementaire, dont la résidence professionnelle était Rouen, fut vraisemblablement présent à ces représentations et à ces visites. La troupe de Molière devait alors d’ailleurs, l’intéresser doublement, comme protégée par Gaston d’Orléans, son prince, et comme possédant pour étoile, Madeleine Béjart, qui régnait sur le coeur d’un autre chambellan du duc, le comte de Modène. Un compatriote de Marie de Falaise, qui nous parle à la fois dans ses oeuvres poétiques de Molière et des seigneurs de la Ferrière, assistait aussi sans doute aux représentations de Rouen. C’était Les IsIes-le-Bas, écrivain singulier, tour à tour mystique et profane, satirisant un jour les huguenots en bon catholique et célébrant le lendemain Apollon en vrai païen.

Signature de Molière

Signature de Molière

N’est-il pas naturel que Christophe de Halley, ayant connu Molière à Rouen et préparant une fête à la Ferrière, l’y ait mandé avec la troupe de l’Argentenais Dufresne ? Un vaste château, construit au XVIIe siècle près du bourg de Dompierre, avait remplacé l’antique forteresse de la Ferrière. Sans grand mérite architectural, il n’en formait pas moins, avec son entourage, terrasses et jardins, fontaines et charmilles, un décor achevé pour les scènes pittoresques de quelque roman comique. Il avait des salles et des galeries pour les comédies et les bals, des bosquets et des mails pour les causeries et les jeux. Des cuisines voûtées, aux cheminées gigantesques, permettaient d’y traiter toute la province. Une avenue seigneuriale, longue d’une lieue, conduisait du bourg de la Ferrière à la cour d’honneur du château. Par là, si jamais il y vint, dut arriver le char des comédiens illustres. La fête terminée, il disparut sans doute lentement, comme dans une pièce de Banville, de l’autre côté du vallon, sur le chemin de Bretagne.

Or en 1650, au mois de juin, un mariage paraît en réalité avoir été célébré au château de la Ferrière. Ce ne furent point, comme on l’a pensé à tort, les noces de Christophe de Halley et de Marie de Falaise, mais probablement celles de l’un des enfants dé Claude de Goué. Nous ne saurions indiquer l’itinéraire encore incomplètement relevé de la troupe de Molière. Mais Monval, l’érudit directeur du Molièrisite, a bien voulu nous signaler, dans cet itinéraire, une lacune, entre un passage à Narbonne en janvier 1650 et un séjour à Pézenas au mois de décembre suivant.

Si les fêtes données par Christophe de Halley ont eu lieu en juin 1650, rien n’empêche que la troupe de Molière ne soit venue à celle époque, rehausser par des représentations dramatiques l’éclat de noces seigneuriales. Il est certain toutefois que le chemin de Narbonne à Pézenas ne passe point par la Ferrière-aux-Étangs. Mais Chappuzeau nous apprend, dans son Théâtre Français, que les comédiens de campagne revenaient chaque année à Paris, au commencement du carême, tant pour y prendre des leçons auprès des maîtres de l’art que pour y recruter de nouveaux compagnons. Molière donc, revenu à Paris, selon la coutume, au commencement du carême de 1650, a pu de là se rendre au château de la Ferrière, appelé dans le pays de son directeur Dufresne, par Christophe de Halley, son ancien spectateur de Rouen.

Voilà, non pas un roman molièresque inventé pour flatter la vanité locale, mais une hypothèse basée sur des documents authentiques. Chose étrange ! A part Charles Dufresne, dont nous ne connaissons pas la fin, tous les personnages dont nous venons de grouper les noms autour du nom de Molière, eurent un destin malheureux, comme s’ils eussent ressenti les effets de cette sorte de jettatura molièresque, qui s’est étendue jusqu’aux manuscrits de l’auteur du Misanthrope. Les dernières années de Christophe de Halley et de Marie de Falaise ne furent point à l’abri de celle influence pernicieuse. La fortune pourtant ne faisait point défaut au châtelain de la Ferrière, avant qu’il s’abandonnât dans ses derniers jours, à une véritable manie de prodigalité. Il avait même pu acheter, en 1657, la terre de la Carneille, où était né les Isles-le-Bas, qui lui avait dédié sans tarder une tragédie du Royal Martyr : « Acceptez-la, lui disait-il, de la main de votre pauvre vassal, qui en a tracé les traits dans les solitudes de votre bourg de la Carneille. »

Mais Christophe de Halley, comme son compatriote le célèbre des Yveteaux, était un entêté de galanterie qui, malgré son âge, tenait toujours à séduire et ne s’effrayait point des séductions ruineuses. Celle d’une châtelaine des environs, la belle et insensible Catherine de Pellevé, lui coûta sa nouvelle seigneurie de la Carneille qu’il mit aux pieds de « sa chère ennemie pour reconnaître ses rares mérites. » Le domaine de la Ferrière lui-même fut bientôt compromis dans ce dispendieux commerce, et la pauvre Marie de Falaise, abandonnée et dépouillée, ne connut plus que les soucis et les chagrins dans la demeure où jadis, Molière avait peut-être amené les plaisirs. Elle mourut en octobre 1662, et les Isles-le-Bas, dont la muse devenait chaque jour plus austère, chanta sa mort comme une délivrance :

Elle est maintenant au trespas,
Car elle n’estoit icy bas,
Que pèlerine et passagère.
Sa demeure est dedans les cieux
Son âme n’est point estrangere
En Paradis comme en ces lieux.

Un an après, Christophe de Halley, mesquin parfois comme tous les prodigues, tentait discourtoisement de retirer à la belle Catherine la terre de la Carneille et se remariait à l’âge de soixante-dix ans avec une Rouxel-Médavy qui n’en avait que quatorze, sans profiter des enseignements, nouveaux encore, de l’Ecole des maris et de l’Ecole des femmes. Il mourut à demi ruiné, en 1671, après avoir aliéné la terre de la Ferrière.

Les Isles le-Bas, lui, mourut de faim à Paris, dans un taudis de la rue de la Harpe, après avoir rimé sur le trépas de Molière, comme il l’avait fait sur celui de Marie de Falaise. Mais, cédant cette fois à l’ardeur exagérée d’un zèle toujours croissant, et surtout en dépit d’avoir vu dédaigner par la troupe du Palais-Royal ses oeuvres dramatiques, il jeta sur la fosse du grand comique un sonnet injurieux :

De deux comédiens la fin est bien diverse :
Genest, en se raillant du baptesme chrestien,
Fut, mourant, honoré de ce souverain bien
De souffrir pour Jésus une mort non perverse.

Jean-Baptiste Poclin son baptesme renverse
Et, tout chrestien qu’il est, il devient un payen.
Ce céleste bonheur enfin n’estoit pas sien,
Puisqu’il en fist vivant un infâme commerce.

Satyrisant chacun, cet infâme a vécu
Véritable ennemi de sagesse et vertu ;
Sur un théâtre, il fut surpris par la mort mesme.

O le lugubre sort d’un homme abandonné :
Molière baptisé perd l’esprit du baptesme
Et, dans sa sépulture, il devient un mort-né !

Que faut-il maintenant conclure de cette enquête que nous venons de clore sur un document si triste ? Nous dirons tout simplement, et dans des termes à la précision desquels nous tenons, que, conformément à la tradition du pays, il n’est pas impossible que Molière soit venu à la Ferrière, mais que cela reste toutefois douteux, considérant le grand nombre d’hypothèses qu’il nous a fallu présenter dans cette enquête. Et pourtant comme nous eussions été heureux de pouvoir intituler triomphalement notre étude : Molière au château de la Ferrière-aux-Etangs.

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