La meilleure traduction qu’on ait faite des lettres de Cicéron, est de lui ; elle est enrichie de notes judicieuses et utiles. Il avait été précepteur du fils du duc d’Orléans, régent du royaume, et mourut, dit-on, de chagrin de n’avoir pu faire auprès de son élève la même fortune que l’abbé Dubois.
Il ignorait apparemment que c’est par le caractère et non par l’esprit, que l’on fait fortune. On a aussi de l’abbé Mongault, une bonne traduction de l’Histoire d’Hérodien.
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