En 1566, une série de dispositions émanées des parlements, de la couronne et des municipalités elles-mêmes, donnèrent aux échevins des villes, aux marguilliers des paroisses, ou à des établissements spéciaux créés sous le nom de bureaux des pauvres, le droit de lever sur tous les habitants une taxe d’aumône.
L’article 73 de l’ordonnance de Moulins stipulait que « les pauvres de chacune ville, bourg ou village seront nourris et entretenus par ceux de la ville, bourg ou village dont ils sont natifs et habitants, sans qu’ils puissent vaguer et demander l’aumône ailleurs...
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