LA FRANCE PITTORESQUE
Règles de beauté féminine : 30 critères
exigés par les auteurs de la Renaissance
(D’après « L’art de la beauté chez la femme. Secrets de la toilette », paru en 1858)
Publié le jeudi 14 mars 2013, par Redaction
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Si la célèbre courtisane Lola Montès écrit en 1858 qu’il est « fort heureux pour la race humaine que tous les hommes n’aient pas exactement un goût correct en matière de beauté féminine, car si tous avaient ce goût il en résulterait vraisemblablement des luttes fatales pour décider qui posséderait les quelques types de beauté parfaite », plusieurs auteurs des XVIe et XVIIe siècles ont tenté de consigner les critères de la beauté féminine, Brantôme allant jusqu’à détailler dans ses Dames galantes les 30 choses exigées pour considérer une beauté comme parfaite
 

C’est à Pierre Charron (1541-1603) qu’appartient le mérite d’avoir réuni, condensé en quelques pages aphoristiques au XVIIe siècle, la théorie complète de la beauté physique et de la beauté morale, telle qu’on l’envisageait de son temps, d’après les observations des anciens. « La beauté, dit-il, est une pièce de grande recommandation au commerce des hommes. C’est le premier moyen de conciliation des uns et des autres, et est vraisemblable que la première distinction, qui a été entre les hommes, la première considération, qui donna proéminence aux uns sur les autres, a été l’avantage de la beauté.


Portrait d’Agnès Sorel du XVe siècle
(Musée des Beaux-Arts, Angers)

« C’est aussi une qualité puissante ; il n’y en a point qui la surpasse en crédit, ni qui ait tant de part au commerce des hommes. Il n’y a barbare si résolu qui n’en soit frappé. Elle présente au devant, elle séduit et préoccupe le jugement, donne des impressions et presse avec une grande autorité : Socrate l’appelle une courte tyrannie ; Platon le privilège de la nature. Car il semble que celui qui porte sur le visage les faveurs de la nature imprimées en une rare et excellente beauté, ait quelque légitime puissance sur nous, et que, tournant nos yeux à soi, il y tourne aussi nos affections, et les y assujettisse malgré nous.

« Aristote dit qu’il appartient aux beaux de commander, qu’ils sont vénérables après les dieux, qu’il n’appartient qu’aux aveugles de n’en être pas touchés. Cyrus, Alexandre, César, trois grands commandeurs des hommes, s’en sont servis en leurs grandes affaires, voire Scipion, le meilleur de tous : beau et bon sont cousins, et s’expriment par mêmes mots en grec et en l’Ecriture sainte. Plusieurs grands philosophes ont acquis leur sagesse par l’entremise de leur beauté : elle est considérée même et recherchée aux bêtes.

« Il y a diverses considérations en la beauté. Celle des hommes est proprement la forme et la taille du corps ; les autres beautés sont pour les femmes. Il y a deux sortes de beautés : l’une arrêtée qui ne se remue point, et est en la proportion et couleur des membres ; un corps qui ne soit enflé ni bouffi, auquel d’ailleurs les nerfs ne paraissent point, ni les os ne percent point la peau, mais plein de sang, d’esprit et embonpoint, ayant les muscles relevés, le cuir poli, la couleur vermeille ; l’autre mouvante, qui s’appelle grâce, qui a la conduite des mouvements des membres, surtout des yeux. Celle-là seule est comme morte ; celle-ci est agreste et vivante. Il y a des beautés rudes, fines, aigres ; d’autres douces, voire encore fades. »

Chaque partie du corps possède sa beauté, son expression spéciale, son genre d’effet, ajoute Lola Montès dans L’art de la beauté chez la femme, mais c’est dans la physionomie seule que se reflètent les qualités morales en même temps que les qualités physiques ; c’est là qu’on va chercher, qu’on tâche de saisir le témoignage des qualités dont l’imagination ravie poursuit la possession. Et elle poursuit : aucun homme honnête, aucun homme raisonnable, ne recherchera la possession conjugale d’une femme, uniquement parce qu’il lui a reconnu soit une jolie jambe, soit une belle chute de reins, soit une tournure ravissante ; il ressentira pour elle le caprice du moment, qu’emporte presque aussitôt le caprice du moment qui suit.

Mais il s’avouera très bien à lui-même qu’une tête expressive l’a charmé, parce que c’est rendre hommage à l’intelligence, au sentiment, et qu’un tel hommage ne compromet en rien sa dignité. « Il n’y a rien de plus beau en l’homme que l’âme, et au corps que le visage, qui est comme l’âme raccourcie, disait Charron (De la sagesse, chapitre XI) : c’est le monstre et l’image de l’âme, c’est son écusson à plusieurs quartiers, représentant le recueil de tous les titres de sa noblesse, planté et colloqué sur la porte et au frontispice, afin que l’on sache que c’est là sa demeure et son palais, c’est par lui que l’on connaît la personne. C’est un abrégé. Voilà pourquoi l’art, qui imite la nature, ne se soucie, pour représenter la personne, que de peindre ou tailler le visage. »

Ce prestige de la physionomie, cette idéalisation morale de la beauté matérielle expliquent comment il se fait que, chez les poètes ou les grands prosateurs, un seul trait captive en faveur de celle qui en est l’objet, tandis qu’une description minutieuse de ses attraits vous laisse froid. Homère, Virgile l’ont admirablement compris. « Hélène est belle ! » écrivait Homère il y a près de trois mille ans, et la beauté d’Hélène est parvenue jusqu’à nous comme une vérité consacrée. Cependant le poète nous dit à peine, et presque sans le vouloir, qu’elle a le bras blanc et de beaux cheveux (Iliade, livre II, v. 121 et 419). Racontant ailleurs que la fille de Tyndare, couverte d’un voile de fin lin, sort de sa chambre et traverse les portiques de Troie devant quelques vieillards qui ne font que l’entrevoir, il ajoute que ceux-ci, après l’avoir suivie de l’oeil, se disent entre eux : « Belle comme elle est, qu’elle quitte pourtant nos murs et qu’elle s’éloigne, de peur qu’en restant auprès de nous elle ne cause notre ruine et celle de nos enfants ! » Plus loin, d’autres vieillards s’écrient, à la vue de l’épouse de Ménélas (Iliade, livre III, v. 156) : « Non, on ne saurait en vouloir à deux peuples d’endurer, depuis si longtemps de si grands maux pour l’amour d’une si belle femme ; car elle ressemble vraiment aux déesses immortelles ! »

Au XVIe siècle, Jean Liébaut (1535-1596) écrit : « Observez chez la femme un corps très délicat tant à voir qu’à manier ; la chair tendre ; la couleur blanche et claire ; la peau nette ; la tête bien séante ; la chevelure fort plaisante ; les cheveux mollets luisants et longuets ; le visage rondelet, gai et modeste ; la nuque blanche comme lait ; le front ouvert, large, poli et luisant ; les yeux grosselets, étincelants et amoureux ; les sourcils en demi-cercle, plats, menus, dûment séparés ; la bouche vermeille, accompagnée de lèvres tendrelettes, des dents menues, bien jointes, bien rangées, blanches comme l’ivoire, en moindre nombre et non si mordantes, ni si tranchantes que celles des hommes ; les gencives mollettes ; les joues vermeilles, comme la rose ; le menton orbiculaire ; le cou grêle, longuet et comme dressé sur les épaules rondes ; la gorge délicate, blanche comme la neige ; la voix et le parler doux ; la poitrine pleine, large et ronde ; les mamelles fermes et solides ; les côtés mollets ; le ventre de rondeur orbiculaire ; le dos plat et dressé ; les bras étendus ; les mains longuettes et rondes ; les doigts ayant jointures bien réglées ; les flancs et les cuisses fermes et massives ». Selon ce médecin, « il n’y a rien au corps de la femme que par ordre, symétrie, figure et habitude ne démontre que la vénusté et netteté lui est propre, tellement qu’il semble que Dieu, créant le corps de la femme, ait amassé en lui toutes les grâces que le monde universel pourrait comprendre. »

Le livre de la Louange et beauté des dames, cité par Jean Nevisan (Sylviæ nuptialis, lib. II, p. 182), exige pour une beauté parfaite la réunion de trente choses dont François Corniger donne la nomenclature dans une pièce de vers latins, imités ainsi par Joachim Blanchon, poète limousin du XVIe siècle :

Trente points à la femme il faut pour être belle :
Trois de blanc, trois de noir, trois de rouge couleur ;
Trois de court, trois refaits, trois de longue valeur ;
Trois grêles, trois serrés, trois de large modèle ;
Et trois serrés encor : poil blond candide en elle ;

La peau blanche et les dents ; l’oeil noir est le meilleur ;
Noir sourcil, noir chose ; et au corps la longueur,
Comme au poil et aux mains de forme naturelle ;
Pied court, oreille et dent ; ceinture et fait estroit,
La bouche ; tout ainsi que l’entr’oeil, large soit
La carrure et le bas, refait ledit fait d’elle
Et la cuisse et la grève ; et la lèvre et le crin,
Et les doigts déliés ; chef, et nez, et terrin,
Moyen et compassé comme Hélène fut telle.

Les Espagnols ont consacré, dans une forme aphoristique et poétique, le concours indispensable des trente choses exigibles pour qu’une beauté soit parfaite ; ce que Brantôme (1535-1614) traduit ainsi en son premier livre de Vie des dames galantes :

Trois choses blanches : la peau, les dents et les mains ;
Trois noires : les yeux, les sourcils et les paupières ;
Trois rouges ; les lèvres, les joues et les ongles ;
Trois longues : le corps, les cheveux et les mains ;
Trois courtes : les dents, les oreilles et les pieds ;
Trois larges : la poitrine, le front et l’entre-sourcil ;
Trois choses estroites : la bouche, l’une et l’autre, la ceinture ou la taille, et l’entrée du pied ;
Trois grosses : le bras, la cuisse et le mollet ;
Trois déliées : les doigts, les cheveux et les lèvres ;
Trois petites : les testons, le nez et la teste.
Christine de Pisan instruisant son fils

Christine de Pisan instruisant son fils

Charron assigne à la beauté, pour caractères principaux « un front large, carré, tendre, clair et serein ; des sourcils bien rangés, menus, déliés, l’œil bien fendu, gai, brillant ; un nez bien vide ; une bouche petite aux lèvres coralines ; un menton court et fourchu ; des joues relevées, et, au milieu, le plaisant gelasin (rire) ; oreille ronde et bien troussée ; le tout, avec un teint vif, blanc et vermeil. » Cependant, dit ailleurs le même Charron, « il existe une admirable diversité des visages, et de cette diversité vient qu’il n’y a personne qui ne soit trouvé beau par quelqu’un ; artifice de nature qui a posé en cette partie quelque secret de contenter l’un ou l’autre en tout le monde. » Ainsi, le type de la vraie beauté étant passé, il n’en résulte pas que, pour être trouvée belle, il faille se rapprocher de ce type ; les idées à cet égard sont infiniment variées ; chacun sent, chacun apprécie la beauté à sa manière ; d’une époque à l’autre, même parmi des nations voisines, l’appréciation ne se ressemblerait souvent pas, et peut-être faut-il encore voir en cela des vues providentielles à l’endroit du rapprochement, du mélange des races, renchérit la comtesse de Landsfeldt : Le Français sera porté de sympathie vers l’Espagnole ou l’Italienne, et l’Espagnole ou l’Italienne préféreront presque toujours les Français à leurs compatriotes ; il en sera de même des races allemandes, des races slaves, etc.

On attribue à Félibien le résumé suivant de la beauté, au XVIIe siècle : « La tête devra être bien arrondie et paraître plutôt petite que grosse. Le front blanc, lisse, découvert (sans que les cheveux y descendent trop bas), ni plat ni proéminent, mais comme la tête, bien arrondie, et plutôt petit en proportion que grand. Les cheveux noirs, bruns, luisants, ou châtain-clair, point rares, mais abondants et ondoyants, et s’ils tombent par légères boucles, c’est pour le mieux. Le noir sert particulièrement à faire ressortir la blancheur du cou et de la peau. Les yeux noirs, châtains ou bleus ; clairs, brillants et vifs, et plutôt grands en proportion que petits. Les sourcils bien partagés, abondants, semi-circulaires, et plus larges au milieu qu’aux bouts, d’un tour net mais pas sec. Les joues ne devront pas être larges, devront avoir une certaine rondeur, avec le rouge et le blanc gracieusement fondus ensemble, et devront paraître fermes et douces. L’oreille devra être petite, bien enroulée, et avoir une agréable teinte de rouge.

« Le nez devra être placé de façon à diviser le visage en parties égales, devra être de dimensions moyennes, droit et bien d’équerre, quoique s’élevant un peu au milieu, ce qui, on le conçoit, peut lui donner un aspect très gracieux. La bouche devra être petite et les lèvres non égales en épaisseur ; elles devront être bien tournées, minces plutôt que grosses, douces même à l’œil et teintes d’un rouge vif. Une bouche vraiment jolie ressemble à un bouton de rose commençant à s’épanouir. Les dents devront être de moyenne dimension, bien rangées et égales. Le menton, d’une dimension moyenne, blanc, lisse et agréablement arrondi. Le cou devra être blanc, droit et d’une coupe lisse, onduleuse, flexible ; plutôt long que court, moindre au-dessus, et augmentant légèrement vers les épaules ; la blancheur et la délicatesse de sa peau devra se continuer ou plutôt s’accroître jusqu’au sein ; la peau, en général, devra être blanche, convenablement carminée et avoir un air de santé florissante.

Les épaules devront être blanches, doucement déployées et avec une apparence de force beaucoup plus douce que celle des hommes. Les bras devront être blancs, ronds, fermes et lisses, et plus particulièrement du coude aux mains. La main devra s’unir insensiblement au bras ; elle devra être longue et délicate ; en elle les joints et les parties nerveuses même devront être sans aucune dureté au sécheresse. Les doigts devront être fins, longs, ronds et lisses ; plus petits et s’amoindrissant aux bouts, et les ongles ronds au bout et transparents. La poitrine doit être blanche et charmante, ni trop grande ni trop petite ; les seins égaux en rondeur et fermeté, s’élevant et très distinctement séparés. Les côtés devront être longs, les hanches plus développées que les épaules, et descendre en s’arrondissant et s’amoindrissant graduellement jusqu’au genou. Le genou devra être uni et bien arrondi. Les jambes droites, mais variées par une rondeur convenable de leurs parties les plus charnues et finement tournées, blanches et petites à la cheville. »

Il est, cependant, fort heureux pour la race humaine que tous les hommes n’aient pas exactement un goût correct en matière de beauté féminine, écrit Lola Montès en 1858, car si tous avaient ce goût il en résulterait vraisemblablement des luttes fatales pour décider qui posséderait les quelques types de beauté parfaite. Ce vieillard qui se réjouissait que tous ne vissent pas de même , parce que, s’il en était autrement, tous auraient couru après sa femme, n’était pas tout à fait bête.

Détail du Meurtre de la reine Galswinthe peint au XIXe siècle par Philastre fils

Détail du Meurtre de la reine Galswinthe
peint au XIXe siècle par Philastre fils

Quelle que soit l’époque à laquelle on remonte, quel que soit le peuple dont on interroge les annales, toujours la beauté des femmes apparaît comme une cause inévitable de luttes, de jalousies, de rivalités, de scandales, de crimes, mais aussi de grandes choses, de créations inattendues, de dévouements sublimes. On cite la triste destinée de Galswinthe, reine de Soissons, ainsi que les attentats de Frédégonde ; on connaît la funeste rivalité de cette concubine avec Brunehaut, et ces querelles permanentes entre les rois de la famille mérovingienne, querelles entretenues, attisées par les femmes.

Au XIIe siècle, Alix de Champagne, fille du comte Thibault IV, épouse de Louis VII et reine de France, passait pour une princesse accomplie, tant sous le rapport de ses attraits physiques que sous celui des dons de l’intelligence. La reine Blanche de Castille, femme de saint Louis, ornement d’une cour brillante, ne fut point inférieure en beauté à la femme de Louis VII : mais c’était une beauté plus régulière et peut-être plus froide. Au XIVe siècle, plusieurs femmes exceptionnelles tenaient le sceptre de la beauté : en Orient, Irène, femme de Mahomet III ; Savina-Bey, princesse tartare, bru de Tamerlan ; en Europe, Christine de Pisan, qui occupait un rang distingué parmi les écrivains français de son temps. Au XVe siècle, apparaissent toutes ces héroïnes de la galanterie, et toutes ces femmes poètes non moins remarquables par leur caractère et leur esprit que par leurs appâts séducteurs : Agnès Sorel, Valentine de Milan, Barbara Torella Strozzi, Torelli-Castiglione, etc.

En fermant le Moyen Age, en ouvrant le spectacle agrandi des temps modernes, le XVIe siècle produit des femmes qui rappellent l’attitude poétique ou mondaine de leurs devancières, et d’autres femmes qui s’élevèrent au niveau des grandes idées philosophiques de l’époque. Telles sont Diane de Poitiers, Marie d’Angleterre, Marguerite Paléologue, Julie de Gonzague, Elisabeth de Portugal, Christine de Danemark, etc.

Au XVIIe siècle, la beauté prit une expression nouvelle sans rien perdre de son influence, comme le prouvent les triomphes des maîtresses des rois et des succès galants de Marion de Lorme, de la duchesse de Mazarin, et de tant d’autres. « La beauté sans les grâces, disait Ninon de Lenclos, est un hameçon sans appât. » Elle avait raison ; elle donnait l’exemple à côté du précepte ; aussi, jusqu’à la fin de sa vie, eut-elle d’assidus adorateurs. Ne faisant pas de ses charmes un honteux trafic, elle se donnait à ceux qui lui plaisaient, les quittait aussitôt que cessait le prestige, et convolait à d’autres amours.

Au XVIIIe siècle, Marie-Thérèse avec son type de grandeur souveraine ; Marie Leczinska avec sa noble et touchante modestine ; madame Roland avec sa passion tribunitienne ; Charlotte Corday, Marie-Antoinette, madame de Polignac, Joséphine de Beauharnais, présentent, dans le beau, dans la perfection des formes ou des traits, autant de caractères à part qu’il faudrait analyser, s’il s’agissait d’écrire la physiologie morale et pittoresque de la femme célèbre.

Si l’observateur philosophe pouvait aujourd’hui pénétrer en imagination dans le boudoir de toutes ces femmes éminentes, s’il pouvait interroger ceux qui façonnaient leur toilette, qui dressaient l’édifice de leur coiffure, enluminaient leurs traits et dérobaient à l’âge quelques-unes de ses rides, on aurait le secret de bien des énigmes, la raison cachée de bien des faits extraordinaires. Il faudrait recommencer l’histoire et subordonner à une mouche, à une dent postiche, à un grain de vermillon ou de muse, comme, dans la comédie, à un simple verre d’eau, une foule d’événements de la plus haute gravité.

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