Passée la nostalgie d’un Paris jadis parcouru par les seuls chevaux, le poète Méry loue en 1862 les aménagements entrepris par un Haussmann entrevoyant l’essor inéluctable de la voiture ahippe mise au pas
Au XVIIIe siècle, les médecins faisaient encore leurs visites à cheval, à une époque où la capitale ne connaissait ni les petites voitures, ni les fiacres de place, ni les cabriolets-milords, ni les omnibus, écrit notre poète ; on rencontrait parfois une chaise à porteurs devant le pavillon...
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