LA FRANCE PITTORESQUE
Danse du chevalet
pour éviter un divorce
(Extrait de l’article paru dans le numéro 38)
Publié le jeudi 7 avril 2011, par Redaction
Imprimer cet article

De l’obstination de Pierre II d’Aragon, seigneur de Montpellier repoussant en 1207 les propositions de réconciliation d’une épouse dont il s’était séparé et qui ne lui avait pas encore donné d’héritier, découle le chibalét, mettant en scène un cheval empli de paille refusant l’avoine qu’on lui présente et entouré d’une troupe de comparses aux jambes garnies de grelots

Restée pendant plusieurs siècles sous la domination de ses seigneurs, et réunie à la couronne seulement sous Philippe le Bel, la ville de Montpellier dut sans doute à son indépendance, de rester longtemps elle-même. Un des traits distinctifs la recommandant tout particulièrement est le goût prononcé de ses habitants pour le chant et la danse, parmi lesquelles une plus singulière que toutes les autres...

Copyright © LA FRANCE PITTORESQUE
Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

Imprimer cet article

LA FRANCE PITTORESQUE