Le voyage retour de Caillié en Europe, entamé le 4 mai 1828 après sa découverte de Tombouctou, fut également émaillé d’épreuves, la traversée du désert du Sahara étant source d’indicibles fatigues : les puits sont rares ; ceux qu’on trouve contiennent de l’eau saumâtre et presque non potable, et souvent encore il faut les déblayer...
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