A la chute de l’Empire, aucune question économique n’était plus importante à Nantes et dans quelques villes portuaires que celle des sucres. Une lutte s’engagea entre les raffineries de la variété coloniale et les sucreries de betterave, les premières ayant été ruinées par les longues guerres maritimes favorables aux secondes. Tandis que le sucre de betterave s’emparait en triomphateur de tous les marchés de la France, le sucre des colonies...
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