LA FRANCE PITTORESQUE
Coronavirus : mortelle mascarade
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Publié le mercredi 15 juillet 2020, par Redaction
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Dans une interview de 40 minutes, Denis Rancourt, ancien professeur de l’Université d’Ottawa, décrypte les véritables causes de la surmortalité attribuée au coronavirus, et aborde la question de l’opportunité d’imposer aux populations le port du masque en milieu clos
 

En annonçant le statut de pandémie le 11 mars 2020, l’OMS aurait-elle été à l’origine d’un « homicide de masse » ? C’est la question qu’on peut se poser en observant la mortalité toutes causes confondues en fonction du temps sur l’hiver 2020, avec la présence d’un pic anormal qui ressort dans certaines juridictions à travers le monde et de manière synchrone juste après cette déclaration.

Les analyses de Denis Rancourt, ancien professeur de l’Université d’Ottawa et chercheur à l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario (OCLA), montrent que ce pic de surmortalité juste après l’annonce de l’OMS de façon synchrone dans des pays sur différents continents ne peut pas être un pic de surmortalité lié à des mécanismes biologiques (une épidémie virale respiratoire) mais bien à des décisions politiques (« sanitaires ») disproportionnées et particulièrement défavorables aux personnes avec la moins bonne santé d’un point de vue immunitaire.

Masque de la peur. Chromolithographie de Pierre Courbe (vers 1890)
Masque de la peur. Chromolithographie de Pierre Courbe (vers 1890)

D’autre part, l’OMS qui n’avait jusqu’à présent jamais recommandé le port du masque dans la population civile a soudainement changé de discours le 5 juin 2020, sans apporter aucune preuve scientifique démontrant un intérêt de cette mesure dans le cadre d’épidémies virales respiratoires, et en ignorant les potentiels dangers du port du masque qu’elle-même reconnaît.

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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