LA FRANCE PITTORESQUE
Quod erat demonstrandum
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Publié le lundi 11 juillet 2016, par Redaction
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Ce qui était à démontrer
 

« Je termine ce premier point par ces lettres d’un sens un peu présomptueux que les sophistes d’une autre époque mettaient à la fin de leurs ouvrages pour se rendre hommage à eux-mêmes : Q.E.D. (Quod erat demonstrandum), d’où il ressort que c’est présentement démontré, désormais incontestable et classé parmi les axiomes. » (Alphonse KARR)

« Si ce coup d’œil rapidement jeté sur la population de Paris a fait concevoir la rareté d’une figure raphaëlesque, et l’admiration passionnée qu’elle y doit inspirer à première vue, le principal intérêt de cette histoire se trouvera justifié : Quod erat demonstrandum. » (BALZAC)

« Que conclure de tout ceci ? Qu’Euripide est le Voltaire de la scène grecque ; qu’il y a de grande rapports entre son siècle et le dix-huitième de notre ère ; qu’il est difficile d’être neuf par le temps qui court, et que M. de La Harpe jugeait les Anciens sans les avoir lus : Quod erat demonstrandum. » (Revue de Paris)

« Les juifs sont infidèles aussi bien que les musulmans : cependant il y dans le camp bien peu de médecins qui ne soient juifs, et l’on s’en sert sans scandale et sans scrupule. On peut donc également se servir des mahométans : Quod erat demonstrandum. » (Walter SCOTT, Richard en Palestine)

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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