LA FRANCE PITTORESQUE
Omne tulit punctum
qui miscuit utile dulci
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Publié le jeudi 23 juin 2016, par Redaction
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La perfection, c’est de réunir l’utile et l’agréable (HORACE, Art poétique, vers 343)
 

« Votre tableau des effets de l’aimant, m’a été rendu fort fidèlement et en très bon état ; et j’en ai fait un des plus beaux et des plus utiles ornements de mon cabinet : Omne tulit punctum qui miscuit utile dulci. » (BOILEAU, A Brossette)

« Il est certain que les ouvrages qui joignent l’instruction à l’agrément ont la première place auprès de moi ; Horace, que je ne me lasserai point de vous citer, pensait aussi de même : Omne tulit punctum qui miscuit utile dulci. » (D’ALEMBERT)

« A l’un et l’autre de l’écriteau, se dessinent, sur un fond noir, une mappemonde et une sphère céleste, et au milieu des deux globes, on lit en grosses lettres jaunes : Pension et demi-pension des jeunes citoyens ; puis au-dessous, ce vers latin : Omne tulit punctum qui miscuit utile dulci. » (Victor DUCANGE, L’Artiste et le Soldat)

« Le célèbre professeur Rollin avait grande raison de comparer les ouvrages utiles aux arbres, que la nature produit avec peine, et les ouvrages de pur esprit, aux fleurs des champs, qui croissent et qui meurent si vite. La perfection consiste, comme dit Horace, à joindre les fleurs aux fruits : Omne tulit punctum qui miscuit utile dulci. » (VOLTAIRE)

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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