LA FRANCE PITTORESQUE
De visu
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Publié le mardi 19 avril 2016, par Redaction
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De vu, pour l’avoir vu
 

« Il n’est peut-être pas un étudiant allemand qui ne connaisse de visu, pour les avoir traversés jeune et à pied, les montagnes, les cours d’eau, les villes de son pays. » (ZELLER)

« Non content de ce qu’il pouvait étudier de visu, Vauban envoyait de tous côtés des agents actifs, dont il contrôlait sévèrement les rapports, et entretenait une correspondance dont l’immensité eût fait frémir vingt paperassiers d’administration. » (Louis COMBES)

« Si, à défaut d’une démonstration explicite et présente, nous sommes sûrs d’une démonstration implicite et passée, nous ne demandons pas autre chose, et nous affirmons, quoique ce ne soit pas de visu. » (DAMIRON)

« J’ai vu, monsieur le comte, le jeune M. de Gabriac, qui m’a donné de vos nouvelles, comme je n’en ai pu jamais avoir moi-même, je veux dire de visu. (DE BONALD)

« A Rome, un nouvel ordre religieux, les Socconi, a été établi dans un but de police religieuse. Ils entrent dans les maisons les jours d’abstinence, découvrent les pots et les marmites, et s’assurent de visu que la loi du maigre est fidèlement observée. » (PROUDHON, De la Justice dans la révolution)

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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