En 1861, l’administration, chargée de veiller aux intérêts de la santé publique mais aussi à ceux du commerce, laisse entrer au port de Saint-Nazaire un navire chargé de sucre en provenance de la Havane, alors foyer épidémique de la fièvre jaune. La découverte d’une possible transmission de la maladie de l’homme à l’homme ébranle les certitudes scientifiques...
On était le 25 juillet, et plus de dix jours s’étant écoulés sans qu’il y ait eu un seul mort ou malade à bord du navire, l’Anne-Marie put, selon les règlements en vigueur, entrer librement dans le port...
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