Atrée et Rhadamiste l’avaient déjà placé au premier rang des poètes tragiques du second ordre. Il prononça son remerciaient en vers français ; lorsqu’il en fut à celui-ci :
« Aucun fiel n’a jamais empoisonné ma plume », des applaudissements universels confirmèrent le glorieux témoignage qu’il se rendait à lui-même, et flétrirent en même temps, par une condamnation authentique, tous ces écrivains nourris de fiel et d’amertume, qui transforment en une arène de combattants le champ paisible des belles-lettres.
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