C’était la troisième fois que la volonté puissante de Louis XIV employait le même moyen de correction envers les pirates d’Alger. Cinq ans auparavant, le bombardement célèbre qui réduisit en cendres presque toute la ville, avait forcé ces derniers à demander une paix qui leur fut accordée à des conditions qu’ils violèrent.
Le brigandage ayant repris son cours, le maréchal d’Estrées parut devant Alger, la ville étant presque entièrement abîmée par une grêle de dix mille bombes.
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