Afin de juguler les pertes financières considérables dues à l’importation de soierie étrangère tout en fournissant un emploi valorisant aux déshérités, les gouvernements ont appuyé l’établissement de pépinières et de manufactures à travers l’ensemble du pays, dès le XVe siècle.
Quoiqu’on n’ait pas négligé les filatures de soie partout où les vers qui nous donnent ce fil précieux peuvent éclore facilement et être nourris, il est cependant certain qu’il y a encore bien des endroits où l’on pourrait étendre ce commerce. Mais il faudrait des plantations de mûriers...
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