
En 1765, l’intendant d’Auvergne écrivait à Louis XV pour lui narrer les détails de la mort de la Bête. « Sire, nous sommes d’une joie inexprimable : M. Anthoine, porte-arquebuse de Votre Majesté, a tué la bête du Gévaudan. Averti que cet animal faisait des ravages dans les bois de l’abbaye royale de Chazes, il envoya des valets de limiers et les chiens de la louveterie de Votre Majesté...
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