L’auteur dresse d’abord un vaste panorama de l’instruction publique dans le département, du IIIe au XVe siècle, du XVe au XVIIIe et à l’époque même où il écrit : il évoque donc l’Académie de Bordeaux, les facultés et les collèges, les institutions et les pensionnats, les écoles primaires, gratuites ou spéciales, les sociétés savantes et les musées, les bibliothèques et les nombreux établissements de charité.
Ensuite, il traite de l’administration : de l’organisation ecclésiastique et civile, des Finances et de la Justice , de la Marine, de l’Armée et des Ponts-et-Chaussées. Tout cela selon l’état ancien et l’état actuel, décrit de la manière la plus détaillée qui soit.
Enfin, il consacre une longue partie de son ouvrage à l’industrie et au commerce : à l’état des bâtiments marchands du port de Bordeaux, à la quantité de marchandises expédiées à l’étranger, de 1730 à 1740, à l’importation et à l’exportation d’une manière générale, à l’entrée et à la sortie des denrées coloniales de 1764 à 1778...
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