Les religieux de Bourg-Saint-Andéol croient aux choses solides : leur première église, placée sous la double invocation de saint Andéol et de saint Polycarpe, est édifiée sur la crypte où furent enfouies les reliques d’Andéol. La pureté est atteinte durant le IXe siècle, où deux sanctuaires prennent place dans la ville.
Les enterrements n’ont pas toujours la réserve requise. A la mort de M. du Sault, l’interdiction d’enterrer les défunts dans les édifices religieux est en vigueur. Son fils veut passer outre la règle et conduire le corps dans la chapelle de Saint-Jean-Baptiste. Le consul s’y oppose. Le mort devra attendre trois ans avant de pouvoir reposer en paix.
La règle pour l’évêque de Viviers est de ne pas être trop sédentaire. Jean de Montchenu en fera les frais. A la porte de la ville, entraînant derrière lui sa clique de dignitaires...
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