
Au nombre des superstitions corses ayant encore cours au XIX
e siècle, on comptait la
fattura, c’est-à-dire le
mauvais-œil. On ne désigne alors jamais personne comme possédant cet esprit malfaisant ; mais si quelqu’un s’approche d’un enfant et lui dit qu’il est
beau,
sage, etc., il faut qu’il y joigne :
Que Dieu le bénisse...
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