
Cette façon de caractériser un compte, un mémoire sur lequel il y a beaucoup à rabattre, ne date pas, comme on le croit trop généralement, de la première représentation du Malade imaginaire, mais existait bien avant la célèbre scène où M. Argan règle le compte de son apothicaire, M. Fleurant, se récriant sur la cherté des drogues et diminuant chaque article d’un tiers. Molière n’a fait que traduire une opinion reçue...
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