
Contemporaine de l’engouement naissant pour le café, madame de Sévigné écrit le 10 mai 1676 à sa fille : « Vous voilà donc revenue du café ; mademoiselle de Méri l’a aussi chassé de chez elle honteusement. Après de telles disgrâces, peut-on compter sur la fortune ? » Si de 1680 à 1688 elle ne le mentionne qu’en passant, on n’y avait pourtant pas renoncé, et la polémique demeurait...
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