
L’existence d’Alibaud durant les trois mois qu’il passa chez Batiza à Paris au 12 rue Saint-Sauveur, fut une révolte sourde contre la nécessité. Il était occupé depuis le matin jusqu’à neuf heures du soir, ne pouvait sortir qu’en donnant de mauvaises raisons, mais cela ne servait de rien : il ne parvenait pas à rencontrer le roi. Pourtant la belle saison arrivait. Peut-être Louis-Philippe descendait-il dans le jardin particulier attenant aux Tuileries...
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