
Malgré leur simplicité, les perruques ecclésiastiques eurent le don de déplaire aux outrés d’alors : on s’avisa de les regarder comme de vrais bonnets capables de porter atteinte à la disposition des canons interdisant aux prêtres la faculté de se couvrir la tête lorsqu’ils remplissent les fonctions du saint ministère. Ceux qui souhaitaient conserver la perruque malgré les interdictions...
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