
Selon le père Crespet, on peut nouer l’aiguillette pour empêcher l’homme marié seulement, parfois pour empêcher la femme mariée seulement, afin que l’un, ennuyé de l’impuissance de l’autre, commette l’adultère ; et on peut la nouer pour un mois, un an voire à jamais ou du moins autant que l’aiguillette durera. Il rapporte l’étrange observation, sur les aiguillettes nouées, de « taches comme verruques qui estoient comme marques des enfans qui eussent...
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