
Dans une lettre du
Spectateur, ouvrage paru au début du XVIII
e siècle, « un simple bourgeois de la ville » fustige les demoiselles qui se fardent et qui, ayant « reçu de la Nature des yeux passables », se donnent ensuite, « par leur propre industrie, un beau sein, des lèvres vermeilles, des joues d’un teint de lis et de roses, et des sourcils tirez au pinceau »...
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