
Après que Tronchin eût inoculé avec succès les deux enfants du duc d’Orléans en 1756, Louis XV consentit à lui donner une audience et lui réserva son plus gracieux accueil. On le dit cultivé ; on vante son austérité de mœurs et son extrême sobriété. Il ne se livre à aucun excès de table, ce qui à l’époque passe pour un prodige. Les carrosses encombrent la rue où il habite, au point que la circulation en est interrompue...
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