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Livre histoire VILLOTRAN et LA NEUVILLE-GARNIER. Histoire de deux seigneuries par Mme Paul Mellon

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VILLOTRAN et
LA NEUVILLE-GARNIER
Histoire de deux seigneuries
(par Mme Paul Mellon)
Publié / Mis à jour le mardi 15 avril 2014, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

La terre de Villotran, fief de la châtellenie d’Auneuil, arrière-fief de l’évêché de Beauvais, donnant droit de haute, basse et moyenne justice, était déjà érigée en seigneurie au commencement du XIIIe siècle. À partir du XVe siècle et pendant près de trois cents ans, de 1444 à 1718, les seigneurs de Villotran appartinrent à l’importante famille des Gaudechart, même si, la terre ayant été divisée à plusieurs reprises, d’autres portèrent le titre de seigneur de Villotran. Puis, Nicolas Oudaille, bourgeois de Paris, racheta à Alexandre de Gaudechart sa terre et la seigneurie, s’engageant à rembourser ses différentes créances. Tombé malade en 1731, il fut malheureusement « traité à la mode ridiculisée par Molière » et son décès survenu trois mois plus tard ne passa pas inaperçu dans le village, puisque pendant quarante jours le clerc de l’église sonna « matine et les appaux pour feu M. Oudaille ».

La seigneurie passa alors à la famille Titon dont certains membres eurent un destin hors du commun. Le premier connu, Jean-Baptiste Maximilien, dont la fortune tient du roman, fut tenu sur les fonts baptismaux par Maximilien, duc de Béthune, le célèbre Sully, et par la maréchale de l’Hôpital ; honneur qu’il dut à son père Claude, brodeur considéré qui ornait probablement les vêtements du célèbre ministre et de l’ancienne maîtresse d’Henri IV. À la fin de sa vie, celui qui fut armurier et fils d’artisan, jouissait en riche seigneur plusieurs fois millionnaire, des biens et des honneurs dont il était comblé, au milieu de ses enfants, tous pourvus d’offices et de titres. Les générations....

 
 
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