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Livre histoire MARSEILLE-EN-BEAUVAISIS (L'histoire de) par Emile Altette

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Librairie : Villes / Dép.
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MARSEILLE-EN-BEAUVAISIS
(L’histoire de)
(par Emile Altette)
Publié / Mis à jour le dimanche 13 avril 2014, par Redaction
 
 
 

Dans son ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, François Ier ne prescrivait aux curés chargés de « faire des registres en forme de preuve » que l’inscription des baptêmes. Quarante ans plus tard, l’ordonnance de Blois ajouta les « mariages, morts et enterrements de personnes ». Bien que devenue une obligation civile, la tenue des registres n’en gardait pas moins un caractère confessionnel. On y inscrivait les baptêmes et non les naissances ; les sépultures et non les décès ; les bénédictions nuptiales et non les mariages. Les registres étaient divisés en synodes jusqu’en 1674, date à laquelle apparurent le premier calendrier civil et le premier registre sur papier timbré.

La première mention de naissance date de 1733. Depuis le XIe siècle, les enfants étaient baptisés dès les premiers jours de leur naissance, alors qu’auparavant, les baptêmes n’avaient lieu que la veille de Pâques ou de la Pentecôte. Si les fidèles appliquèrent scrupuleusement pendant de longues années les recommandations du Concile de Trente de 1563 qui préconisaient un baptême aussi proche de la naissance que possible, la tendance à Marseille-en-Beauvaisis en 1931 était de le faire coïncider avec la fête du bourg, propice aux réunions familiales. La nomination des garçons était réservée aux parrains et celle des filles aux marraines.

Dès 1788, l’esprit de la Révolution souffla sur le choix des prénoms. Le 1er mars 1803, la sœur du fondateur de l’hospice reçut celui de Philosophie. Un mois plus tard, une loi interdit d’inscrire sur les actes de naissance de l’état civil d’autres prénoms que ceux en usage dans les différents calendriers ou ceux des personnages connus de l’histoire ancienne. Cela n’empêcha pas qu’un nouveau-né soit prénommé France-Joffre-Roland en 1915. Le premier acte de mariage...

 
 
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