Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
LE 28 mars DANS L'HISTOIRE [VOIR]  /  NOTRE LIBRAIRIE [VOIR]  /  NOUS SOUTENIR [VOIR]
 
« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
NOUS REJOINDRE SUR...
Nous rejoindre sur FacebookNous rejoindre sur XNous rejoindre sur LinkedInNous rejoindre sur VKNous rejoindre sur InstragramNous rejoindre sur YouTubeNous rejoindre sur Second Life

Livre histoire BOUVINES par Pierre Alain

Librairie : Monographies
Monographies d’histoire locale. Catalogue ouvrages, livres villes et villages du Nord (Nord-Pas-de-Calais)
BOUVINES
(par Pierre Alain)
Publié / Mis à jour le mardi 8 avril 2014, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

C’est avec un enthousiasme à la hauteur de son admiration pour Philippe Auguste que Pierre Alain raconte cet épisode essentiel de l’histoire de la France. À travers les portraits des acteurs de ce conflit et à travers les événements évoqués, il révèle l’état d’esprit d’une époque. Il rétablit d’abord le contexte qui fait la gloire de cette victoire, pas simplement pour les coups vaillants qui y furent échangés, mais surtout parce qu’elle défendit la France contre les ambitions excessives des rois d’Angleterre et l’orgueil cupide des hauts barons. En décryptant les aspirations et les ressentiments de chacun, il établit les causes et les circonstances des alliances dans les deux camps des belligérants. Jean sans Terre a su s’entourer de seigneurs dont la bravoure dépasse, semble-t-il, largement la sienne.

L’auteur est en effet sans concession envers celui qui adopta « une politique dont les résultats, en augmentant sa puissance, devait lui rendre les revenus et la sécurité nécessaires à son existence de tyran et de débauché ». Il considère que ses alliés ont commis une erreur capitale en lui confiant, seul, l’attaque par le Midi, alors que sa lâcheté et son égoïsme ne pouvaient servir leur cause. À l’heure de la bataille de Bouvines, les forces en présence sont inégales. Othon IV, Renaud de Dammartin et Ferrand, comte de Flandre sont à la tête d’une armée hétéroclite de cent cinquante mille hommes, alors que Philippe Auguste n’en menait que soixante-quinze mille, dont près de la moitié, fournis par les milices des communes...

 
 
Même section >

Suggérer la lecture de cette page
Abonnement à la lettre d'information La France pittoresque

Saisissez votre mail, et appuyez sur OK
pour vous abonner gratuitement
Éphéméride : l'Histoire au jour le jour. Insertion des événements historiques sur votre site

Vos réactions

Prolongez votre voyage dans le temps avec notre
encyclopédie consacrée à l'Histoire de France
 
Choisissez un numéro et découvrez les extraits en ligne !