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Histoire du costume, costumes anciens : décolletage poitrine, exhibition et nudité, seins et vêtements décolletés durant fêtes et festins

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Mode, Costumes
Variations des costumes depuis les Gaulois jusqu’au XIXe siècle. Histoire du costume, vêtement, coiffures, chaussures. Mode vestimentaire
Décolletage : de l’indémodable
propension à l’exhibition des seins
(D’après « Les seins dans l’histoire », paru en 1903)
Publié / Mis à jour le dimanche 22 mai 2022, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 8 mn
 
 
 
Que ce soit au Moyen Age avec le lancer d’habits les plus intimes de la part de dames assistant aux tournois, au XVIe siècle avec une fête des Innocents donnant lieu à des jeux qui l’étaient bien moins, durant la Régence avec les Fêtes d’Adam, sous le Directoire avec les vêtements imitant le linge mouillé, ou encore sous l’Empire avec la mode des vêtements légers et transparents, le « décolletage » de jeunes femmes exhibant leur poitrine à l’occasion de fêtes publiques ou de festins, fait l’objet de récits fleuris de la part des chroniqueurs du temps

Froissart raconte, en ses Chroniques, qu’à l’entrée de la reine Isabeau de Bavière (1389) – qui passe pour avoir inauguré, en France, le décolletage, ce « sourire du corsage » qui fait la joie des yeux – on avait dressé à la porte Saint-Denis un échafaud, sur lequel était assise une femme allaitant un petit enfant, représentant la Vierge et l’enfant Jésus.

Aux tournois du Moyen Age, les dames, dans leurs plus beaux atours, se passionnaient pour les jouteurs en champ clos, et se dépouillaient de leurs voiles, de leurs écharpes et même de leurs coiffes pour les lancer dans l’arène. Un chroniqueur, le roi d’armes Perceforest, cite un tournoi où les femmes, dans leur enthousiasme, allèrent jusqu’à jeter à leurs chevaliers leurs vêtements les plus intimes : « Si bien, dit-il, que quand elles se virent à telle point, elles furent toutes comme honteuses, mais, voyant que toutes étoient de même, elles se prirent à rire, ayant donné leurs habits et joyaux de si grand cœur qu’elles ne s’apercevoient de leur dévestement », cite Les Beaux-Arts illustrés.

Naissance de Vénus. Peinture d'Alexandre Cabanel (1863)

Naissance de Vénus. Peinture d’Alexandre Cabanel (1863)

En 1313, Philippe le Bel, pour célébrer la consécration de ses fils dans l’ordre de la chevalerie, offrit à ses sujets des fêtes publiques et « esbattements » durant quatre jours. « On y remarquait des ribauds dansant en chemise... Adam et Eve dans leur plus simple appareil ». A une solennité semblable, où Charles VI conférait au fils du duc d’Anjou la même dignité, il y eut, dans l’abbaye de Saint-Denis, des réjouissances et représentations scéniques qui durèrent trois jours ; entre autres divertissements, un bal de nuit masqué « pour dispenser de rougir », écrit un religieux scandalisé. Le saint lieu n’imposa aucune retenue : les seigneurs « s’abandonnèrent au libertinage et à l’adultère ».

Les étalages de nudités féminines sont un des ornements les plus communs aux fêtes solennelles et entrées triomphales. A l’entrée d’Henri IV d’Angleterre dans Abbeville (1430), des jeunes filles « au naturel » représentent des sirènes se jouant dans des bassins. De même pour l’entrée de Louis XI à Paris (31 août 1461 : à la fontaine du Ponceau, trois « seraines (sirènes), dit Jean de Troyes, toutes nues, et leur voyoit-on le beau tetin droit, séparé, rond et dur, qui estoit chose bien plaisante », dont le témoignage est retranscrit dans le Grand dictionnaire universel du XIXe siècle.

Cette fontaine est transformée en jardin, à la réception de Marie d’Angleterre, seconde femme de Louis Xll, « dedans ledit jardin étoient trois pucelles : Beauté, Lyesse et Prospérité, et à la porte aux peintres, cinq autres pucelles : France, Paix, Amitié, Confédération et Angleterre », toutes vêtues de soleil. Au vieux roi, on présente « une dame veuve montrant ses mamelles » ; que représentait cette dame et pourquoi veuve ? Le 17 juin 1491, pour l’entrée de Charles VIII dans Abbeville, des « pucelles » figurent le « moyen estat » (bourgeoisie) – la ville – et la Vierge, allaitant un enfant – le dauphin – qui mourut peu après en bas âge.

D’après Houdoy, le roi Henri II fut reçu, devant le Châtelet, par une Minerve en effigie, portant des fruits de sa main droite et, de sa gauche, « elle espreignoit sa mamelle d’où sortait du lait, signifiant la douceur qui provient des bonnes lettres ». A l’entrée d’Henri IV dans Amiens, trois jeunes « nymphes », avec le costume approprié, jettent au roi des fleurs et disent quelques vers à sa louange.

L’Allemand Burchard, maître des cérémonies au Vatican, sous le pontificat d’Alexandre Borgia, nous a laissé dans une page de son journal (Diarium) un aperçu des divertissements auxquels se plaisaient le pape et la duchesse Lucrèce, sa fille : « Le dernier dimanche du mois d’octobre, sur le soir, le duc de Valentinois donna un repas, dans sa chambre du palais apostolique, où assistaient cinquante courtisanes, honnêtes dames de plaisir.

« Après le repas, elles dansèrent avec les serviteurs et tous ceux qui étaient là, habillées d’abord, puis nues. Ensuite, les tables étant enlevées, on posa des flambeaux par terre et on jeta autour des châtaignes que les courtisanes allaient ramasser nues, marchant sur les pieds et sur les mains, passant et repassant au milieu des candélabres allumés. Le pape, le duc de Valentinois et sa sœur Lucrèce étaient à ce spectacle et le regardaient. »

Ces courtisanes, attachées publiquement à la cour pontificale, d’où leur nom italien (cortigiane, habituées de la Cour), devenu par la suite le nom générique de toute une classe de femmes, n’étaient pas à proprement parler des prostituées. « Le mot de courtisane, dit H. Estienne, qui est le moins deshonneste synonyme de putain, a pris son origine de la cour de Rome, à sçavoir des premières dévottes qui fréquentoient plus que très familièrement, jour et nuit, avec les prélats de Rome. » Voilà pourquoi Burchard les appelle « honnêtes ».

L’abbé et seigneur de Brantôme raconte qu’à la cour de France, on donnait parfois des séances de prestidigitation au milieu desquelles apparaissaient les plus belles dames, nues comme Eve, et dans les poses les plus séduisantes. Bouchot, dans les Femmes de France, rappelle, avec l’anecdote précédente, que le jour des Innocents on allait surprendre les femmes au lit pour leur donner le fouet. Dulaure, dans Des divinités génératrices, s’est étendu longuement sur les abus de cette joviale coutume. Clément Marot fait allusion à cet usage dans la menace épigrammatique qu’il adresse à la volage Marguerite de Valois :

Très chère sœur, si je savois où couche
Vostre personne, au jour des Innocents,
De bon matin j’yrois à vostre couche,
Voir ce gent corps que j’aime entre cinq cents.
Adonc ma main, veu l’ardeur que je sens,
Ne se pourroit bonnement contenter
Sans vous toucher, tenir, taster, tenter,
Et si quelqu’ung survenoit d’aventure,
Semblant feroys de vous innocenter :
Seroit-ce pas honneste couverture ?

Antony Meray ajoute qu’à ces anniversaires licencieux, on absolvait les fornications et les adultères ; aussi s’empressait-on de commettre ces péchés, quelques jours avant la sainte fête, pour avoir le bénéfice de ces absolutions. Les Innocents étaient donc le prétexte de jeux qui ne l’étaient pas toujours.

Concert champêtre, par le Titien (XVIe siècle)

Concert champêtre, par le Titien (XVIe siècle)

Dans une des fêtes de Chenonceaux, que Catherine offrit à Henri III, en 1577, et qui coûta 100 000 francs, le service fut fait par les dames de la cour, « à moitié nues et ayant leurs cheveux espars comme les nouvelles espousées ». La soirée se termina par la représentation d’une de ces farces italiennes qui, au témoignage de l’Estoile, « n’enseignent que paillardises ». Henri III, en sa qualité d’affilié à l’une des confréries de pénitents appelés « les battus », abusait de la flagellation : il lui prit un jour fantaisie d’aller fouetter le garde des sceaux de Morvilliers ; une autre fois, en compagnie de Charles IX, il va au quai des Augustins, à la demeure de Mlle de Nantouillet « pour la fouetter » ; était-ce à l’époque des Innocents ?

Au dire du garde des sceaux du Vair, le prince « fit donner assignation à toutes les p... les plus célèbres de Paris, qu’il invita à Saint-Cloud et les y fit mener dans des carrosses ; où étant, il les fit dépouiller toutes nues dans le bois, puis fit aussi dépouiller tous nus les Suisses et les y lâcha à la chasse, voyant le plaisir ».

A Douai, le 3 septembre 1662, pour la translation, dans l’église des Recollets, des reliques de saint Prosper, une estrade entre autres, élevée dans la Basse-Rue, devant la porte de Mlle Léonore, présentait le Théâtre d’Amour ou « les Vanités du Monde » : des courtisanes étalaient et offraient leurs charmes « par dérision des pauvres dévotes qui n’avoient pas d’autre amant que Jésus » ; sur la place publique , c’était « la Tentation de saint Antoine », avec toutes les exhibitions de la chair féminine que comporte ce spectacle.

Sous la Régence, en 1722, le duc d’Orléans inventa les Fêtes d’Adam, qui se célébraient à Saint-Cloud et où les compagnons de joie étaient costumés « en peau ». Suivant Richelieu, on y amenait de nuit et les yeux bandés des « femmes publiques » ; le Régent et ses roués portaient le masque. Ou bien on faisait répéter les ballets de l’Opéra aux jeunes choristes des deux sexes, en costume de nos premiers parents. Mme de Caylus, dans ses Mémoires, rappelle les bruits qui circulaient sur les soupers où le Régent et sa fille, la duchesse de Berry, s’enivraient en commun et la fameuse séance de peinture où la duchesse posa toute nue devant le duc d’Orléans.

La Guimard, qui fit tant de passions, dansait sans voile devant ses adorateurs, en catimini ; elle écrivait, un jour, au prince de Soubise : « ... Un soir, souvenez-vous-en ! vous avez voulu (j’allais m’endormir) que je danse une gargouillage dans le plus simple appareil : c’était ridicule pour moi plus encore que pour vous ; pourtant j’ai dansé... » Ses admirateurs, dont un évêque, in partibus, M. de Jarente, la comparaient aux trois Grâces réunies.

Sous le Directoire, la licence de la mode ne le cède pas à la dissolution des mœurs ; c’est le triomphe de la ligne courbe et du nu, entrevu sous les étoffes transparentes : en plein hiver, on porte des robes de linon ! « Nos jeunes femmes, écrit Mme de Genlis, dans une critique de la toilette des Merveilleuses au Longchamp de 1797, ne veulent plus porter maintenant qu’une simple mousseline bien claire et sans apprêt... Avant tout, les vêtements d’aujourd’hui doivent ressembler à du linge mouillé, afin de coller plus parfaitement sur la peau. J’espère qu’incessamment elles se montreront en sortant du bain, afin de dessiner encore mieux les formes. »

Sous le Consulat et l’Empire, à la mode grecque succède la mode romaine, la nudité étant toujours regardée comme le plus élégant accessoire du vêtement. A un bal de la duchesse de Berg, la reine Hortense avait organisé un quadrille de Vestales : l’Opéra de ce nom faisait alors fureur et tout était à la « Vestale ». La reine de Hollande figurait dans son quadrille avec le costume d’une prêtresse vouée à la chasteté, malgré une grossesse de huit mois ! – elle portait alors dans son sein le futur Napoléon III. En 1811, raconte Georgette Ducrest, à un bal travesti des Tuileries, la même souveraine parut en Péruvienne, se rendant au temple du Soleil : « son élégante tournure ressortait admirablement sous un vêtement tellement léger, qu’il semblait alourdi par les flexibles plumes de marabouts dont il était orné ». A ce bal, Marie-Louise avait adopté le costume de Cauchoise – nourrice sèche – qui convenait parfaitement à l’ampleur de son corsage.

Les dames de la cour et de la haute société du Second Empire, n’eurent rien à envier à celles du Premier, dont elles restaurèrent, ou peu s’en faut, les modes audacieuses. Ces grandes dames, dont Eugène Pelletan disait qu’elles dansaient « en costume abrégé » connaissaient sans doute le mot de Prosper Mérimée à une couturière en renom de la rue de la Paix : « Il n’y a que le nu qui habille ». Dans ses Lettres à une inconnue, le même romancier, familier de la cour impériale, parle en ces termes d’un bal donné à l’hôtel de la duchesse d’Albe, sœur de l’impératrice : « On était décolleté d’une façon outrageuse, par en haut et par en bas aussi... Il y avait des Anglaises incroyables. La fille de lord ***, qui est charmante, était en nymphe, driade, ou quelque chose de mythologique, avec une robe qui aurait laissé toute la gorge à découvert, si on n’y eût remédié par un maillot. Cela m’a semblé aussi vif que le décolletage de la maman, dont on pénétrait tout l’estomac d’un coup d’œil... La princesse Mathilde était en Nubienne, peinte en couleur bistre très foncé, beaucoup trop exacte de costume ».

La belle comtesse de Castiglione fit sensation à un bal costumé du ministère de la Marine, où « on la vit paraître presque sans voile, sous les atours de Salambô : on put admirer tout ce qu’il n’est pas d’usage de montrer dans les salons », rapporte Mme Carette dans Souvenirs intimes de la Cour des Tuileries.

Il est peu de fêtes où elle n’ait éveillé, par un savant déshabillage, toutes les jalousies féminines : Horace de Viel Castel décrit en détail, dans ses Mémoires, le costume de « Dame de Cœurs » que la comtesse portait à une autre soirée de la Marine, et il termine par cette remarque indiscrète : « La fière comtesse n’a pas de corset ; sa gorge, qu’entourait, sans en rien masquer du reste, une légère gaze, est vraiment admirable et se dresse fièrement ».

Bal des Quat'z'Arts. Dessin paru en 1901 dans le Tutu

Bal des Quat’z’Arts. Dessin
paru en 1901 dans le Tutu

Les costumes féminins des bals de l’Opéra avaient et ont encore des corsages réduits à leur plus simple expression, quelques-uns même une simple ceinture. Voici une anecdote d’Arnold Mortier (1843-1885), qui se serait passée à l’une de ces réunions chorégraphiques, en janvier 1877 : « Dans une loge d’entre-colonnes du second étage, d’autres fées du maillot prennent les poses les plus gracieuses et les plus provocantes. Un pierrot malin vide un sac de dragées dans le corsage excessivement ouvert d’une jolie laitière. La salle entière acclame ce haut fait : Rendez les dragées ! crie-t-on de toutes parts ».

A la toute fin du XIXe siècle, les organisateurs des bals des Quat’z’Arts, au Moulin Rouge et du Courrier français, à Trianon, en quête d’inventions originales et d’attractions sensuelles et sensationnelles, imaginèrent un défilé des ateliers, dont Ernest Laut fit une description complète, dans le programme offert aux visiteurs de l’Exposition de 1900 par les « Bonshommes Guillaume ». Nous ne retiendrons que les numéros les moins vêtus de ce cortège fameux.

Voici, porté par des esclaves, le palanquin sur lequel une merveilleuse Cléopâtre, presque nue sous la résille aux mailles d’or et d’azur, est étendue immobile, en une pose alanguie et lascive, aux pieds d’Antoine. Sous le vol lourd des éventails, elle semble en extase, tandis que, autour d’elle, des jeunes filles au corps superbe, à demi voilé sous des flots de gaze, balancent les guirlandes fleuries et les cassolettes, où se consument les plus doux parfums de l’Orient. Après l’Egypte, Rome. Des légionnaires entourent des martyrs chrétiens ; des esclaves traînent une cage de fer où un lion énorme s’apprête à dévorer deux jeunes martyres, toutes nues sous les flots de leurs longues chevelures.

Mesplès, dans une composition magistrale, qui est en quelque sorte la synthèse de ces voluptueuses manifestations d’art et de jeunesse, a groupé en un grouillement échevelé, qui donne le vertige, tous les personnages marquants de ces mémorables cortèges, avec leur costume plutôt atténué. Un autre dessin de E. Barcet, paru dans le Tutu, est comme un écho du bal des Quat’z’Arts, de janvier 1901. Ces fêtes, que tout Paris voulait voir, étaient très fermées ; seul, le monde des artistes y était admis, et sur invitations personnelles. Quelques étrangers s’étant introduits, sans cartes, au bal des Quat’z’Arts, on prit ce prétexte pour exercer des poursuites, au nom de la morale outragée, contre l’organisateur, le peintre Guillaume, et la magnifique Sarah Brown, le modèle des modèles, qui figurait Cléopâtre. Moins heureuse que Phryné, dont les charmes désarmèrent les Héliastes, Sarah Brown se vit condamner par un tribunal français à trois mois de prison.

En 1901, chaque semaine, le samedi, il y avait – en hiver au Moulin-Rouge, en été au Jardin de Paris – des redoutes publiques où l’on voyait défiler le Cortège de Vénus, En route pour Cythère, Nymphes et Sirènes, l’Amour et les fleurs, etc., mais les personnages de ces « cortèges symboliques » étaient moins court-vêtus et des maillots, couleur cuisse de nymphe émue, atténuaient et estompaient la vigueur de la carnation.

Les bals du Courrier français offrirent des fêtes du même genre, où défilaient les professionnelles du nu, sans compter d’autres attractions alléchantes, telles que tableaux vivants, poses plastiques, concours de seins. Dans les tableaux vivants, deux jeunes et jolies filles représentaient les héroïnes du tableau de Bayard, Duel de femmes, et montraient aux spectateurs émerveillés les splendeurs de leurs torses. Sous ce même titre, on joua à l’Olympia une pièce écrite tout entière en vue du tableau final, reproduction de la même peinture. Mais la censure interdit aux deux adversaires de montrer à nu leurs poitrines.


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