Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
LE 23 avril DANS L'HISTOIRE [VOIR]  /  NOTRE LIBRAIRIE [VOIR]  /  NOUS SOUTENIR [VOIR]
 
« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
NOUS REJOINDRE SUR...
Nous rejoindre sur FacebookNous rejoindre sur XNous rejoindre sur LinkedInNous rejoindre sur VKNous rejoindre sur InstragramNous rejoindre sur YouTubeNous rejoindre sur Second Life

Livre histoire LANSARGUES. Une villette de la baronnie de Lunel par Louis Grasset-Morel

Vous êtes ici : Accueil > Librairie : Monographies > Hérault (Languedoc-Roussillon) > LANSARGUES. Une villette de la (...)
Librairie : Monographies
Monographies d’histoire locale. Catalogue ouvrages, livres villes et villages de l’Hérault (Languedoc-Roussillon)
LANSARGUES. Une villette
de la baronnie de Lunel
(par Louis Grasset-Morel)
Publié / Mis à jour le samedi 24 septembre 2011, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Plus que l’histoire de Lansargues, Louis Grasset-Morel reconstitue la vie civile, administrative et religieuse de cette villette, communauté rurale dont la population, qui s’adonnait essentiellement à l’agriculture, a toujours fait preuve d’un travail acharné, récompensé par une constante fertilité. La liberté presque complète dont elle bénéficia tout au long de son existence ne l’empêcha pas d’accueillir avec enthousiasme, mais sans excès, les principes de la Révolution, mais surtout, lui a conféré un statut particulier et une organisation spécifique.

Dès le Moyen Âge et jusqu’à la Révolution, Lansargues fit partie de la baronnie de Lunel. Cette seigneurie était composée de la ville de Lunel et de villages, plus ou moins importants, qui portèrent le nom de villette. Le joug des seigneurs de Lunel ne pesa jamais trop lourdement sur celles-ci. La nécessité pour la population de « se serrer près d’un centre commun » obligea les habitants des campagnes à se rapprocher et demander abri et protection au village, accroissant sa population, en particulier lorsque les bourgs d’Obillon, Moulines et Saint-Denis-de-Ginestet furent ruinés.

Deux consuls, assistés d’un conseil politique de douze membres veillaient sur la communauté. Le régime municipal qui la régissait la mettait à peu près au rang des communautés sous l’autorité directe du roi, dont elle finit par dépendre. Tout était soigneusement prévu dans son administration. Des préposés aux finances, à la police, à la voirie, tous élus, occupaient des charges gratuites...

 
 
Même section >

Suggérer la lecture de cette page
Abonnement à la lettre d'information La France pittoresque

Saisissez votre mail, et appuyez sur OK
pour vous abonner gratuitement
Éphéméride : l'Histoire au jour le jour. Insertion des événements historiques sur votre site

Vos réactions

Prolongez votre voyage dans le temps avec notre
encyclopédie consacrée à l'Histoire de France
 
Choisissez un numéro et découvrez les extraits en ligne !