Histoire de France, Patrimoine, Tourisme, Gastronomie, Librairie
LE 19 avril DANS L'HISTOIRE [VOIR]  /  NOTRE LIBRAIRIE [VOIR]  /  NOUS SOUTENIR [VOIR]
 
« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
NOUS REJOINDRE SUR...
Nous rejoindre sur FacebookNous rejoindre sur XNous rejoindre sur LinkedInNous rejoindre sur VKNous rejoindre sur InstragramNous rejoindre sur YouTubeNous rejoindre sur Second Life

Livre histoire AUNEAU (Documents historiques et statistiques sur les communes du canton d'). Tome I par Edouard Lefèvre

Vous êtes ici : Accueil > Librairie : Monographies > Eure-et-Loir (Centre) > AUNEAU (Documents historiques et (...)
Librairie : Monographies
Monographies d’histoire locale. Catalogue ouvrages, livres villes et villages de l’Eure-et-Loir (Centre)
AUNEAU (Documents historiques
et statistiques sur les communes
du canton d’). Tome I
(par Edouard Lefèvre)
Publié / Mis à jour le vendredi 29 juillet 2011, par Redaction
 
 
Temps de lecture estimé : 1 mn
 

Á l’origine, le berceau d’Auneau paraît avoir été situé à Saint-Rémy, où s’éleva une église sur la fontaine sacrée des druides, primitif baptistère des néophytes chrétiens. Quand le château fut construit, les habitants vinrent chercher aide et protection sous les murs du donjon ; les habitations se groupèrent et donnèrent ainsi naissance à la commune. Vers 1100, Hugues, seigneur de Gallardon, Auneau et autres lieux, donna plusieurs biens aux religieux de Bonneval, et en particulier, la chapelle de Saint-Nicolas, qui était située dans l’enceinte du château et qui fut à l’origine du prieuré d’Auneau.

Á la fin du XVe siècle, la contrée était ravagée tout autant par la rigueur extrême des hivers, par la pluie qui empêchait les récoltes, et la lourdeur des impôts, que par la soldatesque barbare. Devant la bonté de Charles VIII et la constante sollicitude de Louis XII pour le bonheur des classes inférieures, le peuple se rattacha résolument à une royauté protectrice, au point qu’Henri IV, au coeur des troubles de la Ligue, dira plus tard en parlant d’Auneau : "Il n’y a rien a craindre ici pour moi". Mais bientôt, sous François Ier, s’ajoutèrent aux misères de la famine, de la peste et de la gabelle, celles causées par de nouvelles levées de francs-archers.

Chaque paroisse devait équiper et entretenir un homme qui souvent se transformait en bandit dès qu’il devenait soldat et pillait les pauvres gens. Le monarque, dont la captivité ruina la France, jeta un regard bienveillant sur la Beauce, cherchant à réparer les dommages causés dans le pays et, en 1545, il autorisa Philippe de Sarrebruche et Louis et Jacob de Silly, seigneurs de la Roche-Guyon et d’Auneau, à fermer et fortifier Auneau...

 
 
Même section >

Suggérer la lecture de cette page
Abonnement à la lettre d'information La France pittoresque

Saisissez votre mail, et appuyez sur OK
pour vous abonner gratuitement
Éphéméride : l'Histoire au jour le jour. Insertion des événements historiques sur votre site

Vos réactions

Prolongez votre voyage dans le temps avec notre
encyclopédie consacrée à l'Histoire de France
 
Choisissez un numéro et découvrez les extraits en ligne !