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« Hâtons-nous de raconter les délicieuses histoires du
peuple avant qu'il ne les ait oubliées » (C. Nodier, 1840)
 

 
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Histoire de France : magazine (numéro 31), revue historique

Vous êtes ici : Accueil > Le Magazine 36 pages > Numéro 31 (Juillet/Août/Septembre (...)
Le Magazine 36 pages
Au sommaire du NUMÉRO 31 : tournois ; crieurs et réclame ; Marion du Faouët ; forgerons guérisseurs ; thériaque ; comètes...
Numéro 31
(Juillet/Août/Septembre 2009)
 
Menant de bonne heure une existence errante, courant foires et pardons en compagnie d’une bande de vagabonds et de voleurs dont elle devient le chef, Marie Tromel met la région du Faouët en coupe réglée, rançonnant paysans ou colporteurs, forçant les sacristies et, bien que sous le coup d’un bannissement, toujours échappe à la justice avant d’être (...)
Publié le mercredi 27 janvier 2010, par Redaction
 
 
La France pittoresque, c'est aussi le premier magazine de la petite Histoire de France : une revue de 36 pages couleur lancée l'hiver 2001/2002, s'appuyant sur des chroniques d'époque et abondamment illustrée de gravures anciennes. Pour partir sur les traces de ses ancêtres et mieux connaître ses racines.

Constituée d'ARTICLES DE FOND permettant au lecteur de connaître les POINTS-CLÉS de chaque thème abordé, ainsi que les ANECDOTES historiques et piquantes qui s'y rapportent, cette publication aborde tous les aspects d'une vie oubliée ou méconnue, des traditions aux légendes, en passant par les métiers, les industries, les inventions, les fêtes, les institutions, les rites ou encore les personnages ayant marqué leur temps. Lancée en décembre 2001, cette revue sans publicité de la France d'autrefois, porte un regard original et inhabituel sur notre passé. Magazine culturel et de loisir mettant en avant l'Histoire enrichissante et piquante, sa ligne éditoriale en rend la lecture accessible à tous.

Au sommaire de ce numéro...

Recevant leurs premiers statuts au XIIIe siècle et placés sous la juridiction du prévôt des marchands et des échevins, les crieurs, nés du besoin de faire crier les avis d’intérêt particulier, (...)
 
Tout crieur avait le droit de demander aux buveurs attablés quel prix le marchand leur avait fait, et de crier le prix indiqué par eux. Lorsque le marchand lui fermait sa porte, le crieur devait (...)
 
En 1642, les crieurs obtinrent de nouveaux statuts. Pour être admis dans la corporation, il fallait être enfant légitime, faire profession de la religion catholique, et être de bonnes vie et mœurs. (...)
 
Longtemps certains forgerons limousins eurent la réputation de guérir qui la fièvre des bois, qui l’hypertrophie de la rate, qui les tumeurs de l’abdomen, lors de séances rituelles de « martelage du (...)
 
Une légende affirme qu’au VIIe siècle, un sexagénaire atteint d’une hernie pratique l’incubation devant les reliques de saint Artémios, qui apparaît et lui dit : « Va chez le forgeron Théodore qui reste (...)
 
Exigeant bravoure et adresse à manier à cheval la lance et l’épée, les tournois, déjà pratiqués au IXe siècle, constituent l’amusement principal des princes et des nobles, donnant aux chevaliers l’occasion (...)
 
Les rois, princes et grands seigneurs qui voulaient ouvrir un tournoi, longtemps auparavant envoyaient dans les provinces voisines, et souvent jusque dans les royaumes étrangers, des hérauts (...)
 
Selon une ordonnance de Philippe VI de Valois, devait être exclu des tournois : 1° Quiconque des nobles et chevaliers aura dit ou fait quelque chose contre la sainte foi catholique ; et s’il (...)
 
La légende affirme qu’en punition d’un méfait que l’histoire passe sous silence, le chapitre de Bayeux avait été condamné à députer tous les ans, à Rome, un de ses chanoines, pour y chanter l’épître de la (...)
 
Si au XXe siècle il n’est pas de pacifique rentier, d’honnête père de famille qui se fasse scrupule, après le repas, d’aller au café voisin jouer sa partie de carambolages, histoire de faire la (...)
 
En 1876, à l’occasion des fêtes du jour de l’an, un montreur de puces exhiba, rue Vivienne à Paris, les merveilles de son savoir-faire, chaque objet, disposé sur un petit plateau, étant visible très (...)
 
L’affectation, jugée indécente, de l’habillement des deux sexes, fut à son comble sous Charles VI, les femmes s’affublant d’inventions diaboliques telles queues ou robes décolletées à la grand’ gore (...)
 
La mise au point, au début du XIXe siècle, des briquets oxygénés ou phosphoriques, imparfaits et dangereux mais utiles pour se procurer enfin le feu rapidement et avec économie, prépare l’avènement, (...)
 
Un article publié dans l’Ami des sciences de 1858, signé Brento, nous apprend comment se fit la découverte du briquet oxygéné : « Vers 1830, Thénard racontait publiquement, à ses élèves, que les briquets (...)
 
Selon le Journal des Connaissances utiles, l’histoire de l’introduction des allumettes allemandes en France et en Angleterre est assez curieuse. Vers 1832, un voyageur arrivait de Berlin à Paris, (...)
 
Le 14 juin 1791, les plus sincères patriotes ne s’insurgent pas contre une idéologie révolutionnaire débouchant sur la promulgation d’une loi visant à proscrire la constitution de « syndicats » (...)
 
Favorisée d’une station très courte de saint Lomer et de son passage lorsqu’il se rendait à Chartes au VIe siècle, Le Pas-Saint-L’Homer, dans l’Orne, en conserve un souvenir traditionnel depuis qu’il (...)
 
Lorsque Lomer, venu de Chartres pour évangéliser vers la fin du VIe siècle les habitants de l’immense forêt ayant donné son nom à une vaste région du Perche, celle-ci formait alors un massif dans lequel (...)
 
Si les adeptes de Thémis n’ont pas placé le sac à procès dans le plateau des balances qui figurent, avec le glaive et le bandeau, les attributs classiques de l’austère déesse de la justice, ils n’ont (...)
 
L’absence du sac au sein des tarifs édictés par le législateur concernant les frais de procédure était une bonne fortune pour un chicaneur émérite, et constituait une question de principe à faire juger, (...)
 
C’est sur la minuscule île de Sable qu’échouent en 1761 les rescapés du naufrage de l’Utile, transportant des esclaves, les survivants de l’équipage s’en échappant deux mois plus tard en laissant leur « (...)
 
Concoctée par Mithridate dès le Ier siècle avant J.-C., la thériaque, ainsi baptisée par Andromaque qui en enrichit la préparation des indispensables trochisques de vipère, et à laquelle on prête la (...)
 
Toutes les vipères n’étaient pas bonnes dans la confection de la thériaque. Non seulement il convenait d’utiliser la vipère Hajé, bien plus venimeuse que les autres, mais selon Matthiole, « Galien a (...)
 
C’était une grande fête quand la Compagnie des Apothicaires était dans le dessein de composer publiquement la thériaque d’Andromaque. On allait, d’abord, chez les magistrats, c’est-à-dire chez le (...)
 
A Paris, et dans la plupart des grandes villes de France, les garçons bouchers de chaque quartier se rassemblaient ordinairement tous les ans le jeudi gras, et promenaient par la ville, au son des (...)
 
Si quelque 1300 détenus sont tués lors des massacres de septembre 1792, les prisons parisiennes en abritent encore plusieurs centaines lorsque Grandpré effectue quelques mois plus tard une visite à (...)
 
Lors de l’inauguration de la statue de Parmentier à Montdidier en 1886, le Nouvelliste de Rouen raconta l’histoire de Mustel, précurseur de l’agronome. Né à Rouen en 1725, ce Mustel embrassa la carrière (...)
 
Objet d’effroi pour les grands comme pour les peuples, les comètes, percées à jour vers 1680, passaient jadis, et bien que peu d’années ne fussent marquées par quelque calamité, pour annoncer la mort (...)
 
Un curieux passage du chroniqueur anonyme dit l’Astronome se rapporte à l’apparition en 837 de celle qui sera plus tard nommée la comète de Halley : « Au milieu de ces saints jours [la solennité de (...)
 
En novembre 1680, apparut une énorme comète qui, « s’étant élancée, dit Lemonnier, avec la plus grande rapidité du fond des cieux, parut tomber perpendiculairement sur le soleil, d’où on la vit presque (...)
 
La première ménagerie française d’intérêt scientifique, accueillant les animaux vivants et curieux que s’empressent d’y envoyer les souverains étrangers des contrées les plus diverses et les plus (...)
 
Lorsque Bernardin de Saint-Pierre demanda qu’on lui livrât vivants les animaux de la ménagerie de Versailles, il promit d’en avoir grand soin. « Leur logement et leur nourriture seront de peu de (...)
 
Menant de bonne heure une existence errante, courant foires et pardons en compagnie d’une bande de vagabonds et de voleurs dont elle devient le chef, Marie Tromel met la région du Faouët en coupe (...)
 
Le fait que durant plusieurs années, les attaques de Marion du Faouët et de sa bande aient pu se perpétuer impunément, au grand jour, qu’ils aient été connus de tous et que la maréchaussée n’ait pas (...)
 
Après que les juges aient apposé leurs signatures et paraphes au bas de la transcription de l’interrogatoire de Marion, la prisonnière est emmenée. Elle est nu-pieds, en chemise, marche péniblement (...)
 
Nés du besoin des habitants d’une ville de savoir à qui facilement s’adresser pour les diverses nécessités de la vie, les premiers annuaires se heurtent pourtant à l’indifférence du public puis aux (...)